Song | Les hommes |
Artist | Saez |
Album | God Blesse |
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Ils naissent un matin et comble de bonheur | |
Poussent un premier cri qu'ils pousseront toujours | |
Qu'ils sont beaux d'innocence et qu'ils sont beaux d'espoir | |
Qu'ils sont beaux de jeunesse, qu'ils sont tristes d'y croire | |
Puis comprennent un peu mieux, mieux de jour en jour | |
Que la vie c'est de vivre, sans jamais voir le jour | |
Que la vie c'est de vivre, vivre de jour en jour | |
Que vivre c'est frémir, et frémir à toujours | |
Ils parlent d'être libres, de fortunes, de pays | |
De femmes à conquérir, ils parlent de partir | |
Puis ils parlent d'amour comme on parle d'un rêve | |
Qu'on fait de jour en jour, jour après jour | |
Et puis voilà l'amour, et c'est alors qu'on s'aime | |
Et qu'on va s'inventer qu'on est roi qu'on est reine | |
On se prend à rêver qu'à deux on est invincible | |
Quand il n'est plus qu'attendre, à se partager | |
Alors ils marchent ensemble, en pauvres condamnés | |
Alors ils rêvent ensemble, de rêves fatigués | |
Alors ils marchent ensemble, car il faut bien vieillir | |
Puis ils vieillissent ensemble car il faut bien mourir | |
Ils meurent au matin, non ce n'est pas le soir | |
Ils meurent un matin bouffés par leur mémoire | |
Poussent un dernier cri, avant l'éternité | |
Car ici respirer rime avec agonie | |
Quand soudain le néant fait place à l'Infini | |
Quand enfin le silence nous ramène à la vie | |
Quand enfin délivrés de la pénitence | |
Jaillit de l'Imparfait la nouvelle naissance |
Ils naissent un matin et comble de bonheur | |
Poussent un premier cri qu' ils pousseront toujours | |
Qu' ils sont beaux d' innocence et qu' ils sont beaux d' espoir | |
Qu' ils sont beaux de jeunesse, qu' ils sont tristes d' y croire | |
Puis comprennent un peu mieux, mieux de jour en jour | |
Que la vie c' est de vivre, sans jamais voir le jour | |
Que la vie c' est de vivre, vivre de jour en jour | |
Que vivre c' est fre mir, et fre mir a toujours | |
Ils parlent d' tre libres, de fortunes, de pays | |
De femmes a conque rir, ils parlent de partir | |
Puis ils parlent d' amour comme on parle d' un r ve | |
Qu' on fait de jour en jour, jour apre s jour | |
Et puis voila l' amour, et c' est alors qu' on s' aime | |
Et qu' on va s' inventer qu' on est roi qu' on est reine | |
On se prend a r ver qu'a deux on est invincible | |
Quand il n' est plus qu' attendre, a se partager | |
Alors ils marchent ensemble, en pauvres condamne s | |
Alors ils r vent ensemble, de r ves fatigue s | |
Alors ils marchent ensemble, car il faut bien vieillir | |
Puis ils vieillissent ensemble car il faut bien mourir | |
Ils meurent au matin, non ce n' est pas le soir | |
Ils meurent un matin bouffe s par leur me moire | |
Poussent un dernier cri, avant l'e ternite | |
Car ici respirer rime avec agonie | |
Quand soudain le ne ant fait place a l' Infini | |
Quand enfin le silence nous rame ne a la vie | |
Quand enfin de livre s de la pe nitence | |
Jaillit de l' Imparfait la nouvelle naissance |
Ils naissent un matin et comble de bonheur | |
Poussent un premier cri qu' ils pousseront toujours | |
Qu' ils sont beaux d' innocence et qu' ils sont beaux d' espoir | |
Qu' ils sont beaux de jeunesse, qu' ils sont tristes d' y croire | |
Puis comprennent un peu mieux, mieux de jour en jour | |
Que la vie c' est de vivre, sans jamais voir le jour | |
Que la vie c' est de vivre, vivre de jour en jour | |
Que vivre c' est fré mir, et fré mir à toujours | |
Ils parlent d' tre libres, de fortunes, de pays | |
De femmes à conqué rir, ils parlent de partir | |
Puis ils parlent d' amour comme on parle d' un r ve | |
Qu' on fait de jour en jour, jour aprè s jour | |
Et puis voilà l' amour, et c' est alors qu' on s' aime | |
Et qu' on va s' inventer qu' on est roi qu' on est reine | |
On se prend à r ver qu'à deux on est invincible | |
Quand il n' est plus qu' attendre, à se partager | |
Alors ils marchent ensemble, en pauvres condamné s | |
Alors ils r vent ensemble, de r ves fatigué s | |
Alors ils marchent ensemble, car il faut bien vieillir | |
Puis ils vieillissent ensemble car il faut bien mourir | |
Ils meurent au matin, non ce n' est pas le soir | |
Ils meurent un matin bouffé s par leur mé moire | |
Poussent un dernier cri, avant l'é ternité | |
Car ici respirer rime avec agonie | |
Quand soudain le né ant fait place à l' Infini | |
Quand enfin le silence nous ramè ne à la vie | |
Quand enfin dé livré s de la pé nitence | |
Jaillit de l' Imparfait la nouvelle naissance |