Song | Vestige |
Artist | Nicolas Gémus |
Album | Hiboux |
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作词 : Nicolas Gémus/Jonathan Harnois | |
作曲 : Nicolas Gémus | |
Toi qui dors, les petits poings fermés, | |
Toi qui t’envoles encore, la tête sur l’oreiller, | |
Toi qui gardes le fort, de notre paradis perdu, | |
Toi le vestige du trésor, de notre espèce disparue. | |
Moi, qui sors, usé de la fabrique, | |
On se moque bien de mon sort, je n’suis qu’un rouage mécanique, | |
Alors quand la nuit, me viennent des pensées toxiques, | |
Tu deviens la galaxie, où mon coeur gravite. | |
Ceux qui ont tués mon pauvre père à l’ouvrage, | |
Ceux qui promettent l’horizon, au bout de la chaîne de montage, | |
Oui ceux qui veillent à t’faire chausser les mêmes souliers, | |
J’te promets qu’c’est pas demain la veille qu’ils mettront leurs chaînes à tes pieds. | |
Parce que toi, ton corps, est un sanctuaire sacré, | |
Parce que toi, tu dors encore, la tête pleine de liberté, | |
Parce que tu brilles si fort d’une lumière disparue, | |
Et tu me donnes envie de croire que tout n’est pas perdu. |
zuo ci : Nicolas Ge mus Jonathan Harnois | |
zuo qu : Nicolas Ge mus | |
Toi qui dors, les petits poings ferme s, | |
Toi qui t' envoles encore, la t te sur l' oreiller, | |
Toi qui gardes le fort, de notre paradis perdu, | |
Toi le vestige du tre sor, de notre espe ce disparue. | |
Moi, qui sors, use de la fabrique, | |
On se moque bien de mon sort, je n' suis qu' un rouage me canique, | |
Alors quand la nuit, me viennent des pense es toxiques, | |
Tu deviens la galaxie, ou mon coeur gravite. | |
Ceux qui ont tue s mon pauvre pe re a l' ouvrage, | |
Ceux qui promettent l' horizon, au bout de la cha ne de montage, | |
Oui ceux qui veillent a t' faire chausser les m mes souliers, | |
J' te promets qu' c' est pas demain la veille qu' ils mettront leurs cha nes a tes pieds. | |
Parce que toi, ton corps, est un sanctuaire sacre, | |
Parce que toi, tu dors encore, la t te pleine de liberte, | |
Parce que tu brilles si fort d' une lumie re disparue, | |
Et tu me donnes envie de croire que tout n' est pas perdu. |
zuò cí : Nicolas Gé mus Jonathan Harnois | |
zuò qǔ : Nicolas Gé mus | |
Toi qui dors, les petits poings fermé s, | |
Toi qui t' envoles encore, la t te sur l' oreiller, | |
Toi qui gardes le fort, de notre paradis perdu, | |
Toi le vestige du tré sor, de notre espè ce disparue. | |
Moi, qui sors, usé de la fabrique, | |
On se moque bien de mon sort, je n' suis qu' un rouage mé canique, | |
Alors quand la nuit, me viennent des pensé es toxiques, | |
Tu deviens la galaxie, où mon coeur gravite. | |
Ceux qui ont tué s mon pauvre pè re à l' ouvrage, | |
Ceux qui promettent l' horizon, au bout de la cha ne de montage, | |
Oui ceux qui veillent à t' faire chausser les m mes souliers, | |
J' te promets qu' c' est pas demain la veille qu' ils mettront leurs cha nes à tes pieds. | |
Parce que toi, ton corps, est un sanctuaire sacré, | |
Parce que toi, tu dors encore, la t te pleine de liberté, | |
Parce que tu brilles si fort d' une lumiè re disparue, | |
Et tu me donnes envie de croire que tout n' est pas perdu. |