Ophe lie

Ophélie
Ophe lie Lyrics

Song Ophélie
Artist Daniel Lavoie
Artist Laurent Guardo
Album La Licorne Captive
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[00:00.000] 作曲 : Laurent Guardo
[00:01.000] 作词 : Arthur Rimbaud
[00:32.00] Sur l'onde calme et noire où dorment les étoiles
[00:38.10] La blanche Ophélia
[00:42.00] flotte comme un grand lys
[00:45.00] Flotte très lentement,
[00:48.00] couchée en ses longs voiles
[00:51.00] On entend dans les bois lointains des hallalis.
[01:03.45] Voici plus de mille ans que la triste Ophélie
[01:10.00] Passe, fantôme blanc,
[01:13.00] sur le long fleuve noir
[01:16.00] Voici plus de mille ans que sa douce folie
[01:22.50] Murmure sa romance
[01:27.00] à la brise du soir.
[02:03.30] Le vent baise ses seins
[02:07.00] et déploie en corolle
[02:09.45] Ses grands voiles bercés
[02:13.00] mollement par les eaux
[02:16.10] Les saules frissonnants
[02:20.00] pleurent sur son épaule
[02:22.45] Sur son grand front rêveur
[02:26.00] s'inclinent les roseaux.
[02:32.10] Les nénuphars froissés
[02:35.20] soupirent autour d'elle
[02:38.00] Elle éveille parfois,
[02:41.00] dans un aune qui dort
[02:44.00] Quelque nid, d'où s'échappe un petit frisson d'aile
[02:51.15] Un chant mystérieux tombe des astres d'or.
[03:32.00] O pâle Ophélia!
[03:35.00] belle comme la neige!
[03:38.00] Oui, tu mourus, enfant,
[03:41.45] par un fleuve emporté
[03:45.45] C'est que les vents tombant des grands monts de Norvège
[03:51.00] T'avaient parlé tout bas de l'âpre liberté.
[04:00.00] C'est qu'un souffle,
[04:02.00] tordant ta grande chevelure
[04:06.50] A ton esprit rêveur portait d'étranges bruits
[04:13.00] Que ton coeur écoutait le chant de la Nature
[04:19.35] Dans les plaintes de l'arbre
[04:24.00] et les soupirs des nuits.
[04:57.00] C'est que la voix des mers folles
[05:01.00] immense râle
[05:03.50] Brisait ton sein d'enfant,
[05:06.50] trop humain et trop doux
[05:10.00] C'est qu'un matin d'avril,
[05:13.00] un beau cavalier pâle
[05:16.00] Un pauvre fou,
[05:19.00] s'assit muet à tes genoux!
[05:26.00] Ciel! Amour! Liberté! Quel rêve, ô pauvre Folle!
[05:32.00] Tu te fondais à lui comme une neige au feu
[05:38.00] Tes grandes visions étranglaient ta parole
[05:45,00] Et l'Infini terrible effara ton oeil bleu.
[06:26.00] Et le Poète dit qu'aux rayons des étoiles
[06:32.00] Tu viens chercher, la nuit,
[06:35.00] les fleurs que tu cueillis
[06:38.00] Et qu'il a vu sur l'eau,
[06:41.30] couchée en ses longs voiles
[06:45.00] La blanche Ophélia flotter,
[06:40.30] comme un grand lys
[00:00.000] zuo qu : Laurent Guardo
[00:01.000] zuo ci : Arthur Rimbaud
[00:32.00] Sur l' onde calme et noire ou dorment les e toiles
[00:38.10] La blanche Ophe lia
[00:42.00] flotte comme un grand lys
[00:45.00] Flotte tre s lentement,
[00:48.00] couche e en ses longs voiles
[00:51.00] On entend dans les bois lointains des hallalis.
[01:03.45] Voici plus de mille ans que la triste Ophe lie
[01:10.00] Passe, fant me blanc,
[01:13.00] sur le long fleuve noir
[01:16.00] Voici plus de mille ans que sa douce folie
[01:22.50] Murmure sa romance
[01:27.00] a la brise du soir.
[02:03.30] Le vent baise ses seins
[02:07.00] et de ploie en corolle
[02:09.45] Ses grands voiles berce s
[02:13.00] mollement par les eaux
[02:16.10] Les saules frissonnants
[02:20.00] pleurent sur son e paule
[02:22.45] Sur son grand front r veur
[02:26.00] s' inclinent les roseaux.
[02:32.10] Les ne nuphars froisse s
[02:35.20] soupirent autour d' elle
[02:38.00] Elle e veille parfois,
[02:41.00] dans un aune qui dort
[02:44.00] Quelque nid, d' ou s'e chappe un petit frisson d' aile
[02:51.15] Un chant myste rieux tombe des astres d' or.
[03:32.00] O p le Ophe lia!
[03:35.00] belle comme la neige!
[03:38.00] Oui, tu mourus, enfant,
[03:41.45] par un fleuve emporte
[03:45.45] C' est que les vents tombant des grands monts de Norve ge
[03:51.00] T' avaient parle tout bas de l' pre liberte.
[04:00.00] C' est qu' un souffle,
[04:02.00] tordant ta grande chevelure
[04:06.50] A ton esprit r veur portait d'e tranges bruits
[04:13.00] Que ton coeur e coutait le chant de la Nature
[04:19.35] Dans les plaintes de l' arbre
[04:24.00] et les soupirs des nuits.
[04:57.00] C' est que la voix des mers folles
[05:01.00] immense r le
[05:03.50] Brisait ton sein d' enfant,
[05:06.50] trop humain et trop doux
[05:10.00] C' est qu' un matin d' avril,
[05:13.00] un beau cavalier p le
[05:16.00] Un pauvre fou,
[05:19.00] s' assit muet a tes genoux!
[05:26.00] Ciel! Amour! Liberte! Quel r ve, pauvre Folle!
[05:32.00] Tu te fondais a lui comme une neige au feu
[05:38.00] Tes grandes visions e tranglaient ta parole
[05:45,00] Et l' Infini terrible effara ton oeil bleu.
[06:26.00] Et le Poe te dit qu' aux rayons des e toiles
[06:32.00] Tu viens chercher, la nuit,
[06:35.00] les fleurs que tu cueillis
[06:38.00] Et qu' il a vu sur l' eau,
[06:41.30] couche e en ses longs voiles
[06:45.00] La blanche Ophe lia flotter,
[06:40.30] comme un grand lys
[00:00.000] zuò qǔ : Laurent Guardo
[00:01.000] zuò cí : Arthur Rimbaud
[00:32.00] Sur l' onde calme et noire où dorment les é toiles
[00:38.10] La blanche Ophé lia
[00:42.00] flotte comme un grand lys
[00:45.00] Flotte trè s lentement,
[00:48.00] couché e en ses longs voiles
[00:51.00] On entend dans les bois lointains des hallalis.
[01:03.45] Voici plus de mille ans que la triste Ophé lie
[01:10.00] Passe, fant me blanc,
[01:13.00] sur le long fleuve noir
[01:16.00] Voici plus de mille ans que sa douce folie
[01:22.50] Murmure sa romance
[01:27.00] à la brise du soir.
[02:03.30] Le vent baise ses seins
[02:07.00] et dé ploie en corolle
[02:09.45] Ses grands voiles bercé s
[02:13.00] mollement par les eaux
[02:16.10] Les saules frissonnants
[02:20.00] pleurent sur son é paule
[02:22.45] Sur son grand front r veur
[02:26.00] s' inclinent les roseaux.
[02:32.10] Les né nuphars froissé s
[02:35.20] soupirent autour d' elle
[02:38.00] Elle é veille parfois,
[02:41.00] dans un aune qui dort
[02:44.00] Quelque nid, d' où s'é chappe un petit frisson d' aile
[02:51.15] Un chant mysté rieux tombe des astres d' or.
[03:32.00] O p le Ophé lia!
[03:35.00] belle comme la neige!
[03:38.00] Oui, tu mourus, enfant,
[03:41.45] par un fleuve emporté
[03:45.45] C' est que les vents tombant des grands monts de Norvè ge
[03:51.00] T' avaient parlé tout bas de l' pre liberté.
[04:00.00] C' est qu' un souffle,
[04:02.00] tordant ta grande chevelure
[04:06.50] A ton esprit r veur portait d'é tranges bruits
[04:13.00] Que ton coeur é coutait le chant de la Nature
[04:19.35] Dans les plaintes de l' arbre
[04:24.00] et les soupirs des nuits.
[04:57.00] C' est que la voix des mers folles
[05:01.00] immense r le
[05:03.50] Brisait ton sein d' enfant,
[05:06.50] trop humain et trop doux
[05:10.00] C' est qu' un matin d' avril,
[05:13.00] un beau cavalier p le
[05:16.00] Un pauvre fou,
[05:19.00] s' assit muet à tes genoux!
[05:26.00] Ciel! Amour! Liberté! Quel r ve, pauvre Folle!
[05:32.00] Tu te fondais à lui comme une neige au feu
[05:38.00] Tes grandes visions é tranglaient ta parole
[05:45,00] Et l' Infini terrible effara ton oeil bleu.
[06:26.00] Et le Poè te dit qu' aux rayons des é toiles
[06:32.00] Tu viens chercher, la nuit,
[06:35.00] les fleurs que tu cueillis
[06:38.00] Et qu' il a vu sur l' eau,
[06:41.30] couché e en ses longs voiles
[06:45.00] La blanche Ophé lia flotter,
[06:40.30] comme un grand lys
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