Song | Vienne |
Artist | Barbara |
Album | Les 50 Plus Belles Chansons : Barbara |
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Si je t'écris ce soir de Vienne, | |
J'aimerais bien que tu comprennes | |
Que j'ai choisi l'absence | |
Comme dernière chance. | |
Notre ciel devenait si lourd | |
Si je t'écris ce soir de Vienne | |
Que c'est beau l'automne à Vienne | |
C'est que, sans réfléchir, | |
J'ai préféré partir | |
Et je suis à Vienne sans toi. | |
Je marche, je rêve dans Vienne | |
Sur trois temps de valse lointaine. | |
Il semble que les ombres | |
Tournent et se confondent. | |
Qu'ils étaient beaux les soirs de Vienne. | |
Ta lettre a du croiser la mienne. | |
Non, je ne veux pas que tu viennes. | |
Je suis seul | |
Et j'aime être libre. | |
Que j'aime cet exil à Vienne sans toi. | |
Une vieille dame autrichienne | |
Comme il n'en existe qu'à Vienne | |
Me logeait dans ma chambre | |
Tombent de pourpre et d'ambre | |
De lourdes tentures de soies | |
C'est beau à travers les persiennes | |
Je vois l'église Saint-Etienne | |
Et quand le soir se pose | |
Ses bleus, ses gris, ses mauves | |
Et la nuit par dessus les toits | |
C'est beau Vienne, c'est beau Vienne | |
Cela va faire une semaine, | |
Déjà, que je suis seul à Vienne. | |
C'est curieux le hasard : | |
J'ai croisé l'autre soir | |
Nos amis de Lontaccini. | |
Cela va faire une semaine. | |
Ils étaient de passage à Vienne. | |
Ils n'ont rien demandé | |
Mais se sont étonnés | |
De me voir à Vienne sans toi. | |
Moi, moi, je me promène. | |
Je suis bien, je suis bien. | |
Et puis, de semaine en semaine, | |
Voila que je suis seul à Vienne. | |
Tes lettres se font rares. | |
Peut être qu'autre part, | |
Tu as trouvé l'oubli de moi. | |
Je lis et j'écris mais, quand même, | |
Ce qu'il est long l'automne à Vienne. | |
Dans ce lit à deux places | |
Où, la nuit, je me glace, | |
Tout à coup, j'ai le mal de toi. | |
Que c'est long Vienne, que c'est loin Vienne. | |
Si je t'écris ce soir de Vienne, | |
Tu sais, c'est qu'il faut que tu viennes. | |
J'étais parti. Pardonne moi. | |
Notre ciel devenait si lourd | |
Et toi, de Paris jusqu'à Vienne, | |
Au bout d'une invisible chaîne, | |
Tu me guettes et je pense, | |
Jouant l'indifférence, | |
Tu m'as gardé malgré moi. | |
Il est minuit ce soir à Vienne. | |
Mon Amour, il faut que tu viennes. | |
Tu vois, je m'abandonne. | |
Il est si beau l'automne | |
Et j'aimerais le vivre avec toi. | |
C'est beau Vienne, avec toi Vienne |
Si je t'e cris ce soir de Vienne, | |
J' aimerais bien que tu comprennes | |
Que j' ai choisi l' absence | |
Comme dernie re chance. | |
Notre ciel devenait si lourd | |
Si je t'e cris ce soir de Vienne | |
Que c' est beau l' automne a Vienne | |
C' est que, sans re fle chir, | |
J' ai pre fe re partir | |
Et je suis a Vienne sans toi. | |
Je marche, je r ve dans Vienne | |
Sur trois temps de valse lointaine. | |
Il semble que les ombres | |
Tournent et se confondent. | |
Qu' ils e taient beaux les soirs de Vienne. | |
Ta lettre a du croiser la mienne. | |
Non, je ne veux pas que tu viennes. | |
Je suis seul | |
Et j' aime tre libre. | |
Que j' aime cet exil a Vienne sans toi. | |
Une vieille dame autrichienne | |
Comme il n' en existe qu'a Vienne | |
Me logeait dans ma chambre | |
Tombent de pourpre et d' ambre | |
De lourdes tentures de soies | |
C' est beau a travers les persiennes | |
Je vois l'e glise SaintEtienne | |
Et quand le soir se pose | |
Ses bleus, ses gris, ses mauves | |
Et la nuit par dessus les toits | |
C' est beau Vienne, c' est beau Vienne | |
Cela va faire une semaine, | |
De ja, que je suis seul a Vienne. | |
C' est curieux le hasard nbsp: | |
J' ai croise l' autre soir | |
Nos amis de Lontaccini. | |
Cela va faire une semaine. | |
Ils e taient de passage a Vienne. | |
Ils n' ont rien demande | |
Mais se sont e tonne s | |
De me voir a Vienne sans toi. | |
Moi, moi, je me prome ne. | |
Je suis bien, je suis bien. | |
Et puis, de semaine en semaine, | |
Voila que je suis seul a Vienne. | |
Tes lettres se font rares. | |
Peut tre qu' autre part, | |
Tu as trouve l' oubli de moi. | |
Je lis et j'e cris mais, quand m me, | |
Ce qu' il est long l' automne a Vienne. | |
Dans ce lit a deux places | |
Ou, la nuit, je me glace, | |
Tout a coup, j' ai le mal de toi. | |
Que c' est long Vienne, que c' est loin Vienne. | |
Si je t'e cris ce soir de Vienne, | |
Tu sais, c' est qu' il faut que tu viennes. | |
J'e tais parti. Pardonne moi. | |
Notre ciel devenait si lourd | |
Et toi, de Paris jusqu'a Vienne, | |
Au bout d' une invisible cha ne, | |
Tu me guettes et je pense, | |
Jouant l' indiffe rence, | |
Tu m' as garde malgre moi. | |
Il est minuit ce soir a Vienne. | |
Mon Amour, il faut que tu viennes. | |
Tu vois, je m' abandonne. | |
Il est si beau l' automne | |
Et j' aimerais le vivre avec toi. | |
C' est beau Vienne, avec toi Vienne |
Si je t'é cris ce soir de Vienne, | |
J' aimerais bien que tu comprennes | |
Que j' ai choisi l' absence | |
Comme derniè re chance. | |
Notre ciel devenait si lourd | |
Si je t'é cris ce soir de Vienne | |
Que c' est beau l' automne à Vienne | |
C' est que, sans ré flé chir, | |
J' ai pré fé ré partir | |
Et je suis à Vienne sans toi. | |
Je marche, je r ve dans Vienne | |
Sur trois temps de valse lointaine. | |
Il semble que les ombres | |
Tournent et se confondent. | |
Qu' ils é taient beaux les soirs de Vienne. | |
Ta lettre a du croiser la mienne. | |
Non, je ne veux pas que tu viennes. | |
Je suis seul | |
Et j' aime tre libre. | |
Que j' aime cet exil à Vienne sans toi. | |
Une vieille dame autrichienne | |
Comme il n' en existe qu'à Vienne | |
Me logeait dans ma chambre | |
Tombent de pourpre et d' ambre | |
De lourdes tentures de soies | |
C' est beau à travers les persiennes | |
Je vois l'é glise SaintEtienne | |
Et quand le soir se pose | |
Ses bleus, ses gris, ses mauves | |
Et la nuit par dessus les toits | |
C' est beau Vienne, c' est beau Vienne | |
Cela va faire une semaine, | |
Dé jà, que je suis seul à Vienne. | |
C' est curieux le hasard nbsp: | |
J' ai croisé l' autre soir | |
Nos amis de Lontaccini. | |
Cela va faire une semaine. | |
Ils é taient de passage à Vienne. | |
Ils n' ont rien demandé | |
Mais se sont é tonné s | |
De me voir à Vienne sans toi. | |
Moi, moi, je me promè ne. | |
Je suis bien, je suis bien. | |
Et puis, de semaine en semaine, | |
Voila que je suis seul à Vienne. | |
Tes lettres se font rares. | |
Peut tre qu' autre part, | |
Tu as trouvé l' oubli de moi. | |
Je lis et j'é cris mais, quand m me, | |
Ce qu' il est long l' automne à Vienne. | |
Dans ce lit à deux places | |
Où, la nuit, je me glace, | |
Tout à coup, j' ai le mal de toi. | |
Que c' est long Vienne, que c' est loin Vienne. | |
Si je t'é cris ce soir de Vienne, | |
Tu sais, c' est qu' il faut que tu viennes. | |
J'é tais parti. Pardonne moi. | |
Notre ciel devenait si lourd | |
Et toi, de Paris jusqu'à Vienne, | |
Au bout d' une invisible cha ne, | |
Tu me guettes et je pense, | |
Jouant l' indiffé rence, | |
Tu m' as gardé malgré moi. | |
Il est minuit ce soir à Vienne. | |
Mon Amour, il faut que tu viennes. | |
Tu vois, je m' abandonne. | |
Il est si beau l' automne | |
Et j' aimerais le vivre avec toi. | |
C' est beau Vienne, avec toi Vienne |