Song | Eldorado |
Artist | Bernard Lavilliers |
Album | Nuit d'Amore |
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Dans la brasserie du nord de style 1900, | |
Les voyageurs payaient en or trébuchant, | |
Rongés par le cancer infernal de la fuite. | |
Vivre déraciné, vivre tard, vivre vite, | |
Je suis en plein délire dévoré par les fièvres. | |
J'essaie de modifier dans le creux de ma main, | |
La ligne d'un bonheur inconnu, incertain, | |
Car le malheur rend fou... | |
Terminus nord, ma créole | |
Vacille dans les vapeurs d'alcool, | |
J'entends des sifflets des sourdos, | |
Des cris de singe, des chants d'oiseaux. | |
Tu me regardes, tu te demandes | |
S'il est trop tôt ou bien trop tard | |
Pour me demander si je pars | |
Sais-tu au moins ce que tu cherches, Gringo | |
Sais-tu au moins ce que tu cherches, Gringo | |
Sais-tu au moins ce que tu cherches... | |
C'est toujours plus loin, toujours plus fou, toujours plus beau, | |
C'est toujours étrange comme un mélange de gaz et d'eau, | |
C'est dans l'aventure et la magie, mon beau, | |
Dans la démesure et la folie | |
Qu' tu trouveras Eldorado, | |
Qu' tu trouveras Eldorado. | |
T'as cherché, t'as cherché, t'as cherché trop loin | |
Le bonheur qui était au creux de ta main. | |
Dans la jungle, à la lune pleine. | |
Les papillons ne se brûlent pas sur les lanternes, | |
Ils montent celle nuit-là vers les hautes ténèbres, | |
On regarde de loin briller leurs ailes bleues. | |
On raconte ces choses dans le nord du Brésil. | |
Il m'a semblé les voir se perdre dans les fils | |
Des araignées velues dévoreuses de rêve. | |
Mais, la jungle rend fou ... | |
Assis à l'ombre des mangos, | |
Dans la taverne d' Eldorado, | |
Les rêves d'or ont la peau dure | |
Comme les diamants sous le carbure. | |
Elle me regarde et me soupèse, | |
Il est trop tard ou bien trop tôt, | |
Elle me questionne sons dire un mot, | |
As-tu trouvé ce que tu cherches, Gringo | |
As-tu trouvé ce que tu cherches, Gringo | |
As-tu trouvé ce que tu cherches... | |
C'est toujours plus loin, toujours plus fou, toujours plus beau, | |
C'est toujours étrange comme un mélange de gaz et d'eau, | |
C'est dans l'aventure et la magie mon beau, | |
Dans la démesure et la folie | |
Qu' tu trouveras Eldorado | |
Qu' tu trouveras Eldorado. | |
T'as cherché, t'as cherché, t'as cherché trop loin | |
Le bonheur qui était au creux de ta main | |
T'as cherché, t'as cherché, t'as cherché trop loin | |
Le bonheur qui était au creux de ta main | |
Vieilles légendes indiennes, rêves mystérieux des jungles, | |
La voix grave d'une femme parle du pays des morts, | |
Où juste à quelques miles brille la Cité d'Or. | |
Ton silence affamé à décodé les signes, | |
La nuit qui va tomber tourne ses feuilles noires | |
Du côté du couchant, du sang et de l'espoir | |
Du côté des chercheurs tombés dans les abîmes, | |
Du côté du parfum des femmes. | |
Mais le parfum rend fou... | |
Le son saturé d' la radio, | |
Dans la taverne d' Eldorado, | |
Fait hurler les hommes et les chiens. | |
Je bois et je ne pense à rien. | |
J' lai eue très vite et sans un mot, | |
Elle ne sait pas ce que je vaux, | |
Elle ne sait pas ce que je cherche, | |
Sais-tu au moins ce que tu cherches, gringo | |
Sais-tu au moins ce que tu cherches, gringo | |
Sais-tu au moins ce que tu cherches... | |
C'est toujours plus loin, toujours plus fou, toujours plus beau, | |
C'est toujours étrange comme un mélange de gaz et d'eau, | |
C'est dans l'aventure et la magie mon beau, | |
Dans la démesure et la folie | |
Qu' tu trouveras Eldorado, | |
Qu' tu trouveras Eldorado | |
T'as cherché, t'as cherché, t'as cherché trop loin | |
Le bonheur qui était au creux de ta main. | |
T'as cherché, t'as cherché, t'as cherché trop loin | |
Le bonheur qui était au creux de ta main. | |
T'as cherché, t'as cherché, t'as cherché trop loin | |
Le bonheur qui était au creux de ta main. |
Dans la brasserie du nord de style 1900, | |
Les voyageurs payaient en or tre buchant, | |
Ronge s par le cancer infernal de la fuite. | |
Vivre de racine, vivre tard, vivre vite, | |
Je suis en plein de lire de vore par les fie vres. | |
J' essaie de modifier dans le creux de ma main, | |
La ligne d' un bonheur inconnu, incertain, | |
Car le malheur rend fou... | |
Terminus nord, ma cre ole | |
Vacille dans les vapeurs d' alcool, | |
J' entends des sifflets des sourdos, | |
Des cris de singe, des chants d' oiseaux. | |
Tu me regardes, tu te demandes | |
S' il est trop t t ou bien trop tard | |
Pour me demander si je pars | |
Saistu au moins ce que tu cherches, Gringo | |
Saistu au moins ce que tu cherches, Gringo | |
Saistu au moins ce que tu cherches... | |
C' est toujours plus loin, toujours plus fou, toujours plus beau, | |
C' est toujours e trange comme un me lange de gaz et d' eau, | |
C' est dans l' aventure et la magie, mon beau, | |
Dans la de mesure et la folie | |
Qu' tu trouveras Eldorado, | |
Qu' tu trouveras Eldorado. | |
T' as cherche, t' as cherche, t' as cherche trop loin | |
Le bonheur qui e tait au creux de ta main. | |
Dans la jungle, a la lune pleine. | |
Les papillons ne se br lent pas sur les lanternes, | |
Ils montent celle nuitla vers les hautes te ne bres, | |
On regarde de loin briller leurs ailes bleues. | |
On raconte ces choses dans le nord du Bre sil. | |
Il m' a semble les voir se perdre dans les fils | |
Des araigne es velues de voreuses de r ve. | |
Mais, la jungle rend fou ... | |
Assis a l' ombre des mangos, | |
Dans la taverne d' Eldorado, | |
Les r ves d' or ont la peau dure | |
Comme les diamants sous le carbure. | |
Elle me regarde et me soupe se, | |
Il est trop tard ou bien trop t t, | |
Elle me questionne sons dire un mot, | |
Astu trouve ce que tu cherches, Gringo | |
Astu trouve ce que tu cherches, Gringo | |
Astu trouve ce que tu cherches... | |
C' est toujours plus loin, toujours plus fou, toujours plus beau, | |
C' est toujours e trange comme un me lange de gaz et d' eau, | |
C' est dans l' aventure et la magie mon beau, | |
Dans la de mesure et la folie | |
Qu' tu trouveras Eldorado | |
Qu' tu trouveras Eldorado. | |
T' as cherche, t' as cherche, t' as cherche trop loin | |
Le bonheur qui e tait au creux de ta main | |
T' as cherche, t' as cherche, t' as cherche trop loin | |
Le bonheur qui e tait au creux de ta main | |
Vieilles le gendes indiennes, r ves myste rieux des jungles, | |
La voix grave d' une femme parle du pays des morts, | |
Ou juste a quelques miles brille la Cite d' Or. | |
Ton silence affame a de code les signes, | |
La nuit qui va tomber tourne ses feuilles noires | |
Du c te du couchant, du sang et de l' espoir | |
Du c te des chercheurs tombe s dans les ab mes, | |
Du c te du parfum des femmes. | |
Mais le parfum rend fou... | |
Le son sature d' la radio, | |
Dans la taverne d' Eldorado, | |
Fait hurler les hommes et les chiens. | |
Je bois et je ne pense a rien. | |
J' lai eue tre s vite et sans un mot, | |
Elle ne sait pas ce que je vaux, | |
Elle ne sait pas ce que je cherche, | |
Saistu au moins ce que tu cherches, gringo | |
Saistu au moins ce que tu cherches, gringo | |
Saistu au moins ce que tu cherches... | |
C' est toujours plus loin, toujours plus fou, toujours plus beau, | |
C' est toujours e trange comme un me lange de gaz et d' eau, | |
C' est dans l' aventure et la magie mon beau, | |
Dans la de mesure et la folie | |
Qu' tu trouveras Eldorado, | |
Qu' tu trouveras Eldorado | |
T' as cherche, t' as cherche, t' as cherche trop loin | |
Le bonheur qui e tait au creux de ta main. | |
T' as cherche, t' as cherche, t' as cherche trop loin | |
Le bonheur qui e tait au creux de ta main. | |
T' as cherche, t' as cherche, t' as cherche trop loin | |
Le bonheur qui e tait au creux de ta main. |
Dans la brasserie du nord de style 1900, | |
Les voyageurs payaient en or tré buchant, | |
Rongé s par le cancer infernal de la fuite. | |
Vivre dé raciné, vivre tard, vivre vite, | |
Je suis en plein dé lire dé voré par les fiè vres. | |
J' essaie de modifier dans le creux de ma main, | |
La ligne d' un bonheur inconnu, incertain, | |
Car le malheur rend fou... | |
Terminus nord, ma cré ole | |
Vacille dans les vapeurs d' alcool, | |
J' entends des sifflets des sourdos, | |
Des cris de singe, des chants d' oiseaux. | |
Tu me regardes, tu te demandes | |
S' il est trop t t ou bien trop tard | |
Pour me demander si je pars | |
Saistu au moins ce que tu cherches, Gringo | |
Saistu au moins ce que tu cherches, Gringo | |
Saistu au moins ce que tu cherches... | |
C' est toujours plus loin, toujours plus fou, toujours plus beau, | |
C' est toujours é trange comme un mé lange de gaz et d' eau, | |
C' est dans l' aventure et la magie, mon beau, | |
Dans la dé mesure et la folie | |
Qu' tu trouveras Eldorado, | |
Qu' tu trouveras Eldorado. | |
T' as cherché, t' as cherché, t' as cherché trop loin | |
Le bonheur qui é tait au creux de ta main. | |
Dans la jungle, à la lune pleine. | |
Les papillons ne se br lent pas sur les lanternes, | |
Ils montent celle nuitlà vers les hautes té nè bres, | |
On regarde de loin briller leurs ailes bleues. | |
On raconte ces choses dans le nord du Bré sil. | |
Il m' a semblé les voir se perdre dans les fils | |
Des araigné es velues dé voreuses de r ve. | |
Mais, la jungle rend fou ... | |
Assis à l' ombre des mangos, | |
Dans la taverne d' Eldorado, | |
Les r ves d' or ont la peau dure | |
Comme les diamants sous le carbure. | |
Elle me regarde et me soupè se, | |
Il est trop tard ou bien trop t t, | |
Elle me questionne sons dire un mot, | |
Astu trouvé ce que tu cherches, Gringo | |
Astu trouvé ce que tu cherches, Gringo | |
Astu trouvé ce que tu cherches... | |
C' est toujours plus loin, toujours plus fou, toujours plus beau, | |
C' est toujours é trange comme un mé lange de gaz et d' eau, | |
C' est dans l' aventure et la magie mon beau, | |
Dans la dé mesure et la folie | |
Qu' tu trouveras Eldorado | |
Qu' tu trouveras Eldorado. | |
T' as cherché, t' as cherché, t' as cherché trop loin | |
Le bonheur qui é tait au creux de ta main | |
T' as cherché, t' as cherché, t' as cherché trop loin | |
Le bonheur qui é tait au creux de ta main | |
Vieilles lé gendes indiennes, r ves mysté rieux des jungles, | |
La voix grave d' une femme parle du pays des morts, | |
Où juste à quelques miles brille la Cité d' Or. | |
Ton silence affamé à dé codé les signes, | |
La nuit qui va tomber tourne ses feuilles noires | |
Du c té du couchant, du sang et de l' espoir | |
Du c té des chercheurs tombé s dans les ab mes, | |
Du c té du parfum des femmes. | |
Mais le parfum rend fou... | |
Le son saturé d' la radio, | |
Dans la taverne d' Eldorado, | |
Fait hurler les hommes et les chiens. | |
Je bois et je ne pense à rien. | |
J' lai eue trè s vite et sans un mot, | |
Elle ne sait pas ce que je vaux, | |
Elle ne sait pas ce que je cherche, | |
Saistu au moins ce que tu cherches, gringo | |
Saistu au moins ce que tu cherches, gringo | |
Saistu au moins ce que tu cherches... | |
C' est toujours plus loin, toujours plus fou, toujours plus beau, | |
C' est toujours é trange comme un mé lange de gaz et d' eau, | |
C' est dans l' aventure et la magie mon beau, | |
Dans la dé mesure et la folie | |
Qu' tu trouveras Eldorado, | |
Qu' tu trouveras Eldorado | |
T' as cherché, t' as cherché, t' as cherché trop loin | |
Le bonheur qui é tait au creux de ta main. | |
T' as cherché, t' as cherché, t' as cherché trop loin | |
Le bonheur qui é tait au creux de ta main. | |
T' as cherché, t' as cherché, t' as cherché trop loin | |
Le bonheur qui é tait au creux de ta main. |