Song | Plus Dure Sera La Chute |
Artist | Bernard Lavilliers |
Album | Histoires |
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Un soleil bleu liquide, coule, des projecteurs | |
Il est tombé livide, pas loin des compresseurs | |
Sous les paillettes mauves son regard tremble encore | |
Et son grand corps de fauve fait un dernier effort | |
La musique qui tourne, à vide sur un binaire | |
Plane encore comme un vautour dans le désert | |
Le batteur fait un plans, de cymbales qui crient | |
Des roulements sur les toms, charleston c'est à lui | |
Un soleil noir et lourd, qui épaissit le jour | |
Fonce sur ma planète | |
Des visages inconnu a jamais confondu | |
Se brouillent dans ma tête | |
Le type à la console surveille ses cadrans | |
J'ai plus rien dans le casque | |
Et rien sur le voyant | |
Il est bien sur la huit | |
Il est pas débranché | |
Il est dans la poursuite | |
À merde, il est tombé | |
Ce n'est qu'un petit malaise | |
Affirme le manager | |
Il n'est pas très à l'aise, depuis le dernier concert | |
Je lui ai refilé ça dope, juste avant monter | |
Je fonce vers la scène | |
Surveille les entrées | |
Un soleil noir et lourd, qui épaissie le jour | |
Fonce sur ma planète | |
Des visages inconnus a jamais confondu | |
Se brouillent dans ma tête | |
Une fille glacée dans la nuit tropicale | |
Perce mes artères, sont aiguille de métal | |
Les hommes d'affaire viendront faucher mes dents en or | |
Qu'ils revendront, à mon fan club, au prix très fort? | |
Je suis qu'un produit, un tapis de dollars | |
Je suis qu'un paumé, cynique et dérisoire | |
Je suis qu'un bouffon planqué sous mes paillettes | |
Je ne suis qu'une chanson, qu'on presse et puis qu'on jette | |
Un soleil noir et lourd, qui épaissit le jour | |
Fonce sur ma planète | |
Des visages inconnus à jamais confondu | |
Se brouillent dans ma tête | |
Un soleil bleu liquide, coule, des projecteurs | |
Il est tombé livide, pas loin des compresseurs | |
Sous les paillettes mauves sont regard tremble encore | |
Et son grand corps de fauve fait un dernier effort | |
Je suis qu'un produit, un tapis de dollars | |
Je suis qu'un paumé, cynique et dérisoire | |
Je suis qu'un bouffon planqué sous ses paillettes | |
Je ne suis qu'une chanson, qu'on presse et puis qu'on jette |
Un soleil bleu liquide, coule, des projecteurs | |
Il est tombe livide, pas loin des compresseurs | |
Sous les paillettes mauves son regard tremble encore | |
Et son grand corps de fauve fait un dernier effort | |
La musique qui tourne, a vide sur un binaire | |
Plane encore comme un vautour dans le de sert | |
Le batteur fait un plans, de cymbales qui crient | |
Des roulements sur les toms, charleston c' est a lui | |
Un soleil noir et lourd, qui e paissit le jour | |
Fonce sur ma plane te | |
Des visages inconnu a jamais confondu | |
Se brouillent dans ma t te | |
Le type a la console surveille ses cadrans | |
J' ai plus rien dans le casque | |
Et rien sur le voyant | |
Il est bien sur la huit | |
Il est pas de branche | |
Il est dans la poursuite | |
À merde, il est tombe | |
Ce n' est qu' un petit malaise | |
Affirme le manager | |
Il n' est pas tre s a l' aise, depuis le dernier concert | |
Je lui ai refile a dope, juste avant monter | |
Je fonce vers la sce ne | |
Surveille les entre es | |
Un soleil noir et lourd, qui e paissie le jour | |
Fonce sur ma plane te | |
Des visages inconnus a jamais confondu | |
Se brouillent dans ma t te | |
Une fille glace e dans la nuit tropicale | |
Perce mes arte res, sont aiguille de me tal | |
Les hommes d' affaire viendront faucher mes dents en or | |
Qu' ils revendront, a mon fan club, au prix tre s fort? | |
Je suis qu' un produit, un tapis de dollars | |
Je suis qu' un paume, cynique et de risoire | |
Je suis qu' un bouffon planque sous mes paillettes | |
Je ne suis qu' une chanson, qu' on presse et puis qu' on jette | |
Un soleil noir et lourd, qui e paissit le jour | |
Fonce sur ma plane te | |
Des visages inconnus a jamais confondu | |
Se brouillent dans ma t te | |
Un soleil bleu liquide, coule, des projecteurs | |
Il est tombe livide, pas loin des compresseurs | |
Sous les paillettes mauves sont regard tremble encore | |
Et son grand corps de fauve fait un dernier effort | |
Je suis qu' un produit, un tapis de dollars | |
Je suis qu' un paume, cynique et de risoire | |
Je suis qu' un bouffon planque sous ses paillettes | |
Je ne suis qu' une chanson, qu' on presse et puis qu' on jette |
Un soleil bleu liquide, coule, des projecteurs | |
Il est tombé livide, pas loin des compresseurs | |
Sous les paillettes mauves son regard tremble encore | |
Et son grand corps de fauve fait un dernier effort | |
La musique qui tourne, à vide sur un binaire | |
Plane encore comme un vautour dans le dé sert | |
Le batteur fait un plans, de cymbales qui crient | |
Des roulements sur les toms, charleston c' est à lui | |
Un soleil noir et lourd, qui é paissit le jour | |
Fonce sur ma planè te | |
Des visages inconnu a jamais confondu | |
Se brouillent dans ma t te | |
Le type à la console surveille ses cadrans | |
J' ai plus rien dans le casque | |
Et rien sur le voyant | |
Il est bien sur la huit | |
Il est pas dé branché | |
Il est dans la poursuite | |
À merde, il est tombé | |
Ce n' est qu' un petit malaise | |
Affirme le manager | |
Il n' est pas trè s à l' aise, depuis le dernier concert | |
Je lui ai refilé a dope, juste avant monter | |
Je fonce vers la scè ne | |
Surveille les entré es | |
Un soleil noir et lourd, qui é paissie le jour | |
Fonce sur ma planè te | |
Des visages inconnus a jamais confondu | |
Se brouillent dans ma t te | |
Une fille glacé e dans la nuit tropicale | |
Perce mes artè res, sont aiguille de mé tal | |
Les hommes d' affaire viendront faucher mes dents en or | |
Qu' ils revendront, à mon fan club, au prix trè s fort? | |
Je suis qu' un produit, un tapis de dollars | |
Je suis qu' un paumé, cynique et dé risoire | |
Je suis qu' un bouffon planqué sous mes paillettes | |
Je ne suis qu' une chanson, qu' on presse et puis qu' on jette | |
Un soleil noir et lourd, qui é paissit le jour | |
Fonce sur ma planè te | |
Des visages inconnus à jamais confondu | |
Se brouillent dans ma t te | |
Un soleil bleu liquide, coule, des projecteurs | |
Il est tombé livide, pas loin des compresseurs | |
Sous les paillettes mauves sont regard tremble encore | |
Et son grand corps de fauve fait un dernier effort | |
Je suis qu' un produit, un tapis de dollars | |
Je suis qu' un paumé, cynique et dé risoire | |
Je suis qu' un bouffon planqué sous ses paillettes | |
Je ne suis qu' une chanson, qu' on presse et puis qu' on jette |