Song | Ophélie |
Artist | Hector Zazou |
Album | Sahara Blue |
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作曲 : Rimbaud, Sylvian, Zazou | |
Sur l'onde calme et noire où dorment les étoiles | |
La blanche Ophélia flotte comme un grand lys, | |
Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles… | |
Voici plus de mille ans que la triste Ophélie | |
Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir; | |
Voici plus de mille ans que sa douce folie | |
Murmure sa romance à la brise du soir. | |
Le vent baise ses seins et déploie en corolle | |
Ses grands voiles bercés mollement par les eaux; | |
Les saules frissonnants pleurent sur son épaule, | |
Sur son grand front rêveur s'inclinent les roseaux. | |
C'est qu'un souffle , tordant ta chevelure, | |
A ton esprit rêveur portait d'étranges bruits; | |
Que ton coeur écoutait le chant de la Nature | |
Dans les plaintes de l'arbre et les soupirs des nuits; | |
C'est que la voix des mers folles, immense râle, | |
Brisait ton sein d'enfant, trop humain et trop doux; | |
C'est qu'un matin d'avril, un beau cavalier pâle, | |
Un pauvre fou, s'assit muet à tes genoux! | |
- Et le Poète dit qu'aux rayons des étoiles | |
Tu viens chercher, la nuit, les fleurs que tu cueillis, | |
Et qu'il a vu sur l'eau, couchée en ses longs voiles, | |
La blanche Ophélia flotter, comme un grand lys. |
zuo qu : Rimbaud, Sylvian, Zazou | |
Sur l' onde calme et noire ou dorment les e toiles | |
La blanche Ophe lia flotte comme un grand lys, | |
Flotte tre s lentement, couche e en ses longs voiles | |
Voici plus de mille ans que la triste Ophe lie | |
Passe, fant me blanc, sur le long fleuve noir | |
Voici plus de mille ans que sa douce folie | |
Murmure sa romance a la brise du soir. | |
Le vent baise ses seins et de ploie en corolle | |
Ses grands voiles berce s mollement par les eaux | |
Les saules frissonnants pleurent sur son e paule, | |
Sur son grand front r veur s' inclinent les roseaux. | |
C' est qu' un souffle , tordant ta chevelure, | |
A ton esprit r veur portait d'e tranges bruits | |
Que ton coeur e coutait le chant de la Nature | |
Dans les plaintes de l' arbre et les soupirs des nuits | |
C' est que la voix des mers folles, immense r le, | |
Brisait ton sein d' enfant, trop humain et trop doux | |
C' est qu' un matin d' avril, un beau cavalier p le, | |
Un pauvre fou, s' assit muet a tes genoux! | |
Et le Poe te dit qu' aux rayons des e toiles | |
Tu viens chercher, la nuit, les fleurs que tu cueillis, | |
Et qu' il a vu sur l' eau, couche e en ses longs voiles, | |
La blanche Ophe lia flotter, comme un grand lys. |
zuò qǔ : Rimbaud, Sylvian, Zazou | |
Sur l' onde calme et noire où dorment les é toiles | |
La blanche Ophé lia flotte comme un grand lys, | |
Flotte trè s lentement, couché e en ses longs voiles | |
Voici plus de mille ans que la triste Ophé lie | |
Passe, fant me blanc, sur le long fleuve noir | |
Voici plus de mille ans que sa douce folie | |
Murmure sa romance à la brise du soir. | |
Le vent baise ses seins et dé ploie en corolle | |
Ses grands voiles bercé s mollement par les eaux | |
Les saules frissonnants pleurent sur son é paule, | |
Sur son grand front r veur s' inclinent les roseaux. | |
C' est qu' un souffle , tordant ta chevelure, | |
A ton esprit r veur portait d'é tranges bruits | |
Que ton coeur é coutait le chant de la Nature | |
Dans les plaintes de l' arbre et les soupirs des nuits | |
C' est que la voix des mers folles, immense r le, | |
Brisait ton sein d' enfant, trop humain et trop doux | |
C' est qu' un matin d' avril, un beau cavalier p le, | |
Un pauvre fou, s' assit muet à tes genoux! | |
Et le Poè te dit qu' aux rayons des é toiles | |
Tu viens chercher, la nuit, les fleurs que tu cueillis, | |
Et qu' il a vu sur l' eau, couché e en ses longs voiles, | |
La blanche Ophé lia flotter, comme un grand lys. |