Song | Ne Plus Aimer |
Artist | Roch Voisine |
Album | Sauf Si L'Amour |
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C'est une larme, un aveu qui reste au bord de tes yeux | |
Mais mon cœur n'est que silence, l'amour nous tire sa révérence | |
Et je voudrais, loin d'ici, oublier ce jour de pluie | |
Puisque, toi et moi, on sait que cette fois le mal est fait | |
Soudain, le vent se soulève, que va-t-il faire de nos rêves ? | |
Je sens le froid de l'hiver me traverser | |
Et je comprends que l'enfer, c'est de ne plus aimer, ne plus aimer | |
Évitons-nous les offenses, qu'il nous reste l'élégance | |
Malgré cette douleur tenace et le vide qui nous menace | |
On ne voit pas toujours venir, la mort lente du désir | |
Tu essaies de me sourire et j'ai du mal à partir | |
Dans le vent qui se soulève, un à un s'en vont nos rêves | |
Je sens le froid de l'hiver me traverser | |
Et je comprends que l'enfer, c'est de ne plus aimer, ne plus aimer | |
Je voudrais pourtant te dire, je garde en moi de belles choses | |
Et rien ne viendra détruire nos nuits jonchées de roses | |
Puisque, toi et moi, on sait que cette fois le mal est fait | |
Soudain le vent se soulève, que va-t-il faire de nos rêves ? | |
Tu essaies de me sourire, tu essaies de me sourire | |
Et j'ai du mal à partir | |
Dans le vent qui se soulève, un à un s'en vont nos rêves | |
Je sens le froid de l'hiver me traverser | |
Et je comprends que l'enfer, c'est de ne plus aimer, ne plus aimer | |
Ne plus aimer. |
C' est une larme, un aveu qui reste au bord de tes yeux | |
Mais mon c ur n' est que silence, l' amour nous tire sa re ve rence | |
Et je voudrais, loin d' ici, oublier ce jour de pluie | |
Puisque, toi et moi, on sait que cette fois le mal est fait | |
Soudain, le vent se soule ve, que vatil faire de nos r ves ? | |
Je sens le froid de l' hiver me traverser | |
Et je comprends que l' enfer, c' est de ne plus aimer, ne plus aimer | |
É vitonsnous les offenses, qu' il nous reste l'e le gance | |
Malgre cette douleur tenace et le vide qui nous menace | |
On ne voit pas toujours venir, la mort lente du de sir | |
Tu essaies de me sourire et j' ai du mal a partir | |
Dans le vent qui se soule ve, un a un s' en vont nos r ves | |
Je sens le froid de l' hiver me traverser | |
Et je comprends que l' enfer, c' est de ne plus aimer, ne plus aimer | |
Je voudrais pourtant te dire, je garde en moi de belles choses | |
Et rien ne viendra de truire nos nuits jonche es de roses | |
Puisque, toi et moi, on sait que cette fois le mal est fait | |
Soudain le vent se soule ve, que vatil faire de nos r ves ? | |
Tu essaies de me sourire, tu essaies de me sourire | |
Et j' ai du mal a partir | |
Dans le vent qui se soule ve, un a un s' en vont nos r ves | |
Je sens le froid de l' hiver me traverser | |
Et je comprends que l' enfer, c' est de ne plus aimer, ne plus aimer | |
Ne plus aimer. |
C' est une larme, un aveu qui reste au bord de tes yeux | |
Mais mon c ur n' est que silence, l' amour nous tire sa ré vé rence | |
Et je voudrais, loin d' ici, oublier ce jour de pluie | |
Puisque, toi et moi, on sait que cette fois le mal est fait | |
Soudain, le vent se soulè ve, que vatil faire de nos r ves ? | |
Je sens le froid de l' hiver me traverser | |
Et je comprends que l' enfer, c' est de ne plus aimer, ne plus aimer | |
É vitonsnous les offenses, qu' il nous reste l'é lé gance | |
Malgré cette douleur tenace et le vide qui nous menace | |
On ne voit pas toujours venir, la mort lente du dé sir | |
Tu essaies de me sourire et j' ai du mal à partir | |
Dans le vent qui se soulè ve, un à un s' en vont nos r ves | |
Je sens le froid de l' hiver me traverser | |
Et je comprends que l' enfer, c' est de ne plus aimer, ne plus aimer | |
Je voudrais pourtant te dire, je garde en moi de belles choses | |
Et rien ne viendra dé truire nos nuits jonché es de roses | |
Puisque, toi et moi, on sait que cette fois le mal est fait | |
Soudain le vent se soulè ve, que vatil faire de nos r ves ? | |
Tu essaies de me sourire, tu essaies de me sourire | |
Et j' ai du mal à partir | |
Dans le vent qui se soulè ve, un à un s' en vont nos r ves | |
Je sens le froid de l' hiver me traverser | |
Et je comprends que l' enfer, c' est de ne plus aimer, ne plus aimer | |
Ne plus aimer. |