Song | Nuits Fauves |
Artist | Fauve |
Album | So Frenchy So Chic 2014 |
Download | Image LRC TXT |
Regarde pas les affiches | |
Fais pas gaffe aux signaux | |
Mets bien tes mains sur tes oreilles | |
Quand t’entends rire les narvalos, sauvagement | |
Ceux qui portent leur membre à bout de bras | |
Qui te disent qu’un cul ça s’attrape / ou ça n’est pas | |
De quoi t’as peur? | |
Alors dis leur que ton machin est contrarié | |
Que parfois quand une fille te parle | |
Tu sens tes billes se rétracter | |
Depuis que cartonne au box-office | |
La grande idée selon laquelle la compassion c’est dépassé | |
Dis-leur que tu te sens seul | |
Et que tu sais plus quoi faire pour trouver un peu de chaleur humaine: | |
Aller au bois pour que quelqu’un accepte enfin | |
De toucher ton zob | |
Tripoter de la lycéenne | |
Porter des robes? | |
Te trémousser en talons hauts comme un gogo | |
Puis arpenter les ruelles sombres en secouant ta clochette | |
C’est un peu à cause de tout ça si tous les soirs c’est la même histoire | |
Métro, apéro, lexo, clopes et films pornos à l’ancienne | |
Sur lesquels tu t’entraînes rageusement | |
Même si ça fait longtemps que ça t’amuse plus vraiment | |
Mais il faut pas que tu désespères | |
Perds pas espoir | |
Promis juré qu’on la vivra notre putain de belle histoire | |
Ce sera plus des mensonges | |
Quelque chose de grand | |
Qui sauve la vie, qui trompe la mort, qui déglingue enfin le blizzard | |
Imagine-toi: t’es là en train de te reprendre un verre au bar | |
Quand tout à coup tu croises un regard qui te perfore de part en part | |
Imagine-toi: t’es là, ça te tombe dessus sans crier gare | |
Un truc bandant, un truc dément, qui redonne la foi | |
Un truc comme ça: | |
"Bonsoir / bonsoir / quelle chance de se croiser ici | |
Bonsoir / bonsoir / bonsoir / bonsoir / je voudrais partager tes nuits" | |
Tu connaîtras les nuits fauves / je te le promets | |
Elle sera tigre en embuscade quand tu viens te glisser sous ses draps | |
Tandis que toi tu feras scintiller tes canines lorsqu'elle enlève le bas | |
Elle t’offrira des feulements dans sa voix lorsqu'elle reprend son souffle | |
Qui s’échappent dans la cour pour aller faire gauler la Lune | |
Des coups de bélier invoqués comme un miracle | |
Et qui veulent dire: "Si tu t’arrêtes, je meurs" | |
Toutes ces choses qui te la feront raidir, rien qu'à te souvenir | |
Pour le million d’années à venir | |
Malheureusement tout ce qu'on t’offre pour l’instant | |
C’est des chattes épilées et des seins en plastique en vidéo | |
C’est terrifiant | |
Tout le monde veut la même chose | |
Même les travelos rêvent du prince charmant | |
Et pourtant on passe notre temps | |
A se mettre des coups de cutter dans les paumes | |
A trop mentir, à force de dire: | |
"Par pitié, range la guimauve | |
Ecarte les jambes, je t’en supplie, me parles pas… | |
Laisse-moi seulement kiffer mon va-et-vient de taulard | |
Et m’endormir direct moins de trois minutes plus tard" | |
A force de faire tout ça, on croyait quoi? | |
On se meurtrit on fait l’amour comme on s’essuie | |
Quel gaspillage | |
Mais il faut pas que tu désespères | |
Perds pas espoir | |
Promis juré qu'on la vivra notre putain de belle histoire | |
Ce sera plus des mensonges | |
Quelque chose de grand | |
Qui sauve la vie, qui trompe la mort, qui déglingue enfin le blizzard | |
Imagine-toi: t’es là en train de te reprendre un verre au bar | |
Quand tout à coup tu croises un regard / qui te perfore de part en part | |
Imagine-toi: t’es là, ça te tombe dessus sans crier gare | |
Un truc bandant, un truc dément, qui redonne la foi | |
Offre-moi dès ce soir | |
Ta peau brune et tes lèvres mauves | |
Tes seins, tes reins, tes cheveux noirs | |
Et qu'on se noie dans les nuits fauves | |
En échange de tout ça | |
Je t’offre ce dont je dispose | |
Mon corps, mon âme, prends tout, tout de suite | |
Et qu'on se noie dans les nuits fauves | |
Et tant pis si on nous prend pour des demeurés | |
Bien sûr qu'on sait qu'ici c’est pas Hollywood | |
Sauf qu'aux dernières nouvelles | |
Le fantasme c’est encore gratuit | |
C’est pour ça qu'on se réfugie dans nos pensées | |
Qu’on ferme les yeux très fort jusqu'à voir des couleurs | |
En attendant que ça passe | |
Y a que comme ça qu’on peut rêver de caresses au réveil | |
Et de regards qui veulent dire: "T’inquiètes plus, t’inquiètes plus" | |
De coups de poings dans le cœur | |
De 40e qui rugissent dans nos poumons, à faire sauter les côtes | |
De torrents dans nos veines | |
D’une épaule pour pleurer sans honte | |
Et d’une oreille pour tout dire | |
Tout dire, toujours, quoiqu'il arrive | |
De serments argentés prononcés face au rayon vert: | |
"Est-ce que tu veux m’épouser? Vivre et mourir à mes côtés?" | |
On rêve de réapprendre à respirer | |
Que la médiocrité qui nous accable | |
Aille se faire enfler au Pakistan | |
On attend désespérément celui ou celle | |
Qui apaisera d’un doigt nos muscles noués | |
Et nos encéphales en sous-régime | |
On attend désespérément celui ou celle | |
Qui fera battre notre cœur | |
Plus grand | |
C’est pour ça qu’il faut pas que tu désespères | |
Perds pas espoir | |
Promis juré qu’on la vivra notre putain de belle histoire | |
Ce sera plus des mensonges | |
Quelque chose de grand | |
Qui sauve la vie, qui trompe la mort, qui déglingue enfin le blizzard | |
Imagine-toi: t’es là / en train de te reprendre un verre au bar | |
Quand tout à coup tu croises un regard / qui te perfore de part en part | |
Imagine-toi: t’es là, ça te tombe dessus sans crier gare | |
Un truc bandant, un truc dément, qui redonne la foi, un truc comme ça | |
"Je voudrais qu'on monte l'escalier en courant, | |
Qu'on catapulte tous nos vêtements, | |
Que tu me fasse l'amour jusqu'à l'aube pendant deux nuits, | |
Que le soir au soleil couchant on se fasse des câlins. | |
J'voudrais tellement partager tes nuits, | |
J'ai tant besoin de ton sourire, | |
J'ai tant besoin qu'on se voit dans les nuits fauves." |
Regarde pas les affiches | |
Fais pas gaffe aux signaux | |
Mets bien tes mains sur tes oreilles | |
Quand t' entends rire les narvalos, sauvagement | |
Ceux qui portent leur membre a bout de bras | |
Qui te disent qu' un cul a s' attrape ou a n' est pas | |
De quoi t' as peur? | |
Alors dis leur que ton machin est contrarie | |
Que parfois quand une fille te parle | |
Tu sens tes billes se re tracter | |
Depuis que cartonne au boxoffice | |
La grande ide e selon laquelle la compassion c' est de passe | |
Disleur que tu te sens seul | |
Et que tu sais plus quoi faire pour trouver un peu de chaleur humaine: | |
Aller au bois pour que quelqu' un accepte enfin | |
De toucher ton zob | |
Tripoter de la lyce enne | |
Porter des robes? | |
Te tre mousser en talons hauts comme un gogo | |
Puis arpenter les ruelles sombres en secouant ta clochette | |
C' est un peu a cause de tout a si tous les soirs c' est la m me histoire | |
Me tro, ape ro, lexo, clopes et films pornos a l' ancienne | |
Sur lesquels tu t' entra nes rageusement | |
M me si a fait longtemps que a t' amuse plus vraiment | |
Mais il faut pas que tu de sespe res | |
Perds pas espoir | |
Promis jure qu' on la vivra notre putain de belle histoire | |
Ce sera plus des mensonges | |
Quelque chose de grand | |
Qui sauve la vie, qui trompe la mort, qui de glingue enfin le blizzard | |
Imaginetoi: t' es la en train de te reprendre un verre au bar | |
Quand tout a coup tu croises un regard qui te perfore de part en part | |
Imaginetoi: t' es la, a te tombe dessus sans crier gare | |
Un truc bandant, un truc de ment, qui redonne la foi | |
Un truc comme a: | |
" Bonsoir bonsoir quelle chance de se croiser ici | |
Bonsoir bonsoir bonsoir bonsoir je voudrais partager tes nuits" | |
Tu conna tras les nuits fauves je te le promets | |
Elle sera tigre en embuscade quand tu viens te glisser sous ses draps | |
Tandis que toi tu feras scintiller tes canines lorsqu' elle enle ve le bas | |
Elle t' offrira des feulements dans sa voix lorsqu' elle reprend son souffle | |
Qui s'e chappent dans la cour pour aller faire gauler la Lune | |
Des coups de be lier invoque s comme un miracle | |
Et qui veulent dire: " Si tu t' arr tes, je meurs" | |
Toutes ces choses qui te la feront raidir, rien qu'a te souvenir | |
Pour le million d' anne es a venir | |
Malheureusement tout ce qu' on t' offre pour l' instant | |
C' est des chattes e pile es et des seins en plastique en vide o | |
C' est terrifiant | |
Tout le monde veut la m me chose | |
M me les travelos r vent du prince charmant | |
Et pourtant on passe notre temps | |
A se mettre des coups de cutter dans les paumes | |
A trop mentir, a force de dire: | |
" Par pitie, range la guimauve | |
Ecarte les jambes, je t' en supplie, me parles pas | |
Laissemoi seulement kiffer mon vaetvient de taulard | |
Et m' endormir direct moins de trois minutes plus tard" | |
A force de faire tout a, on croyait quoi? | |
On se meurtrit on fait l' amour comme on s' essuie | |
Quel gaspillage | |
Mais il faut pas que tu de sespe res | |
Perds pas espoir | |
Promis jure qu' on la vivra notre putain de belle histoire | |
Ce sera plus des mensonges | |
Quelque chose de grand | |
Qui sauve la vie, qui trompe la mort, qui de glingue enfin le blizzard | |
Imaginetoi: t' es la en train de te reprendre un verre au bar | |
Quand tout a coup tu croises un regard qui te perfore de part en part | |
Imaginetoi: t' es la, a te tombe dessus sans crier gare | |
Un truc bandant, un truc de ment, qui redonne la foi | |
Offremoi de s ce soir | |
Ta peau brune et tes le vres mauves | |
Tes seins, tes reins, tes cheveux noirs | |
Et qu' on se noie dans les nuits fauves | |
En e change de tout a | |
Je t' offre ce dont je dispose | |
Mon corps, mon me, prends tout, tout de suite | |
Et qu' on se noie dans les nuits fauves | |
Et tant pis si on nous prend pour des demeure s | |
Bien s r qu' on sait qu' ici c' est pas Hollywood | |
Sauf qu' aux dernie res nouvelles | |
Le fantasme c' est encore gratuit | |
C' est pour a qu' on se re fugie dans nos pense es | |
Qu' on ferme les yeux tre s fort jusqu'a voir des couleurs | |
En attendant que a passe | |
Y a que comme a qu' on peut r ver de caresses au re veil | |
Et de regards qui veulent dire: " T' inquie tes plus, t' inquie tes plus" | |
De coups de poings dans le c ur | |
De 40e qui rugissent dans nos poumons, a faire sauter les c tes | |
De torrents dans nos veines | |
D' une e paule pour pleurer sans honte | |
Et d' une oreille pour tout dire | |
Tout dire, toujours, quoiqu' il arrive | |
De serments argente s prononce s face au rayon vert: | |
" Estce que tu veux m'e pouser? Vivre et mourir a mes c te s?" | |
On r ve de re apprendre a respirer | |
Que la me diocrite qui nous accable | |
Aille se faire enfler au Pakistan | |
On attend de sespe re ment celui ou celle | |
Qui apaisera d' un doigt nos muscles noue s | |
Et nos ence phales en sousre gime | |
On attend de sespe re ment celui ou celle | |
Qui fera battre notre c ur | |
Plus grand | |
C' est pour a qu' il faut pas que tu de sespe res | |
Perds pas espoir | |
Promis jure qu' on la vivra notre putain de belle histoire | |
Ce sera plus des mensonges | |
Quelque chose de grand | |
Qui sauve la vie, qui trompe la mort, qui de glingue enfin le blizzard | |
Imaginetoi: t' es la en train de te reprendre un verre au bar | |
Quand tout a coup tu croises un regard qui te perfore de part en part | |
Imaginetoi: t' es la, a te tombe dessus sans crier gare | |
Un truc bandant, un truc de ment, qui redonne la foi, un truc comme a | |
" Je voudrais qu' on monte l' escalier en courant, | |
Qu' on catapulte tous nos v tements, | |
Que tu me fasse l' amour jusqu'a l' aube pendant deux nuits, | |
Que le soir au soleil couchant on se fasse des c lins. | |
J' voudrais tellement partager tes nuits, | |
J' ai tant besoin de ton sourire, | |
J' ai tant besoin qu' on se voit dans les nuits fauves." |
Regarde pas les affiches | |
Fais pas gaffe aux signaux | |
Mets bien tes mains sur tes oreilles | |
Quand t' entends rire les narvalos, sauvagement | |
Ceux qui portent leur membre à bout de bras | |
Qui te disent qu' un cul a s' attrape ou a n' est pas | |
De quoi t' as peur? | |
Alors dis leur que ton machin est contrarié | |
Que parfois quand une fille te parle | |
Tu sens tes billes se ré tracter | |
Depuis que cartonne au boxoffice | |
La grande idé e selon laquelle la compassion c' est dé passé | |
Disleur que tu te sens seul | |
Et que tu sais plus quoi faire pour trouver un peu de chaleur humaine: | |
Aller au bois pour que quelqu' un accepte enfin | |
De toucher ton zob | |
Tripoter de la lycé enne | |
Porter des robes? | |
Te tré mousser en talons hauts comme un gogo | |
Puis arpenter les ruelles sombres en secouant ta clochette | |
C' est un peu à cause de tout a si tous les soirs c' est la m me histoire | |
Mé tro, apé ro, lexo, clopes et films pornos à l' ancienne | |
Sur lesquels tu t' entra nes rageusement | |
M me si a fait longtemps que a t' amuse plus vraiment | |
Mais il faut pas que tu dé sespè res | |
Perds pas espoir | |
Promis juré qu' on la vivra notre putain de belle histoire | |
Ce sera plus des mensonges | |
Quelque chose de grand | |
Qui sauve la vie, qui trompe la mort, qui dé glingue enfin le blizzard | |
Imaginetoi: t' es là en train de te reprendre un verre au bar | |
Quand tout à coup tu croises un regard qui te perfore de part en part | |
Imaginetoi: t' es là, a te tombe dessus sans crier gare | |
Un truc bandant, un truc dé ment, qui redonne la foi | |
Un truc comme a: | |
" Bonsoir bonsoir quelle chance de se croiser ici | |
Bonsoir bonsoir bonsoir bonsoir je voudrais partager tes nuits" | |
Tu conna tras les nuits fauves je te le promets | |
Elle sera tigre en embuscade quand tu viens te glisser sous ses draps | |
Tandis que toi tu feras scintiller tes canines lorsqu' elle enlè ve le bas | |
Elle t' offrira des feulements dans sa voix lorsqu' elle reprend son souffle | |
Qui s'é chappent dans la cour pour aller faire gauler la Lune | |
Des coups de bé lier invoqué s comme un miracle | |
Et qui veulent dire: " Si tu t' arr tes, je meurs" | |
Toutes ces choses qui te la feront raidir, rien qu'à te souvenir | |
Pour le million d' anné es à venir | |
Malheureusement tout ce qu' on t' offre pour l' instant | |
C' est des chattes é pilé es et des seins en plastique en vidé o | |
C' est terrifiant | |
Tout le monde veut la m me chose | |
M me les travelos r vent du prince charmant | |
Et pourtant on passe notre temps | |
A se mettre des coups de cutter dans les paumes | |
A trop mentir, à force de dire: | |
" Par pitié, range la guimauve | |
Ecarte les jambes, je t' en supplie, me parles pas | |
Laissemoi seulement kiffer mon vaetvient de taulard | |
Et m' endormir direct moins de trois minutes plus tard" | |
A force de faire tout a, on croyait quoi? | |
On se meurtrit on fait l' amour comme on s' essuie | |
Quel gaspillage | |
Mais il faut pas que tu dé sespè res | |
Perds pas espoir | |
Promis juré qu' on la vivra notre putain de belle histoire | |
Ce sera plus des mensonges | |
Quelque chose de grand | |
Qui sauve la vie, qui trompe la mort, qui dé glingue enfin le blizzard | |
Imaginetoi: t' es là en train de te reprendre un verre au bar | |
Quand tout à coup tu croises un regard qui te perfore de part en part | |
Imaginetoi: t' es là, a te tombe dessus sans crier gare | |
Un truc bandant, un truc dé ment, qui redonne la foi | |
Offremoi dè s ce soir | |
Ta peau brune et tes lè vres mauves | |
Tes seins, tes reins, tes cheveux noirs | |
Et qu' on se noie dans les nuits fauves | |
En é change de tout a | |
Je t' offre ce dont je dispose | |
Mon corps, mon me, prends tout, tout de suite | |
Et qu' on se noie dans les nuits fauves | |
Et tant pis si on nous prend pour des demeuré s | |
Bien s r qu' on sait qu' ici c' est pas Hollywood | |
Sauf qu' aux derniè res nouvelles | |
Le fantasme c' est encore gratuit | |
C' est pour a qu' on se ré fugie dans nos pensé es | |
Qu' on ferme les yeux trè s fort jusqu'à voir des couleurs | |
En attendant que a passe | |
Y a que comme a qu' on peut r ver de caresses au ré veil | |
Et de regards qui veulent dire: " T' inquiè tes plus, t' inquiè tes plus" | |
De coups de poings dans le c ur | |
De 40e qui rugissent dans nos poumons, à faire sauter les c tes | |
De torrents dans nos veines | |
D' une é paule pour pleurer sans honte | |
Et d' une oreille pour tout dire | |
Tout dire, toujours, quoiqu' il arrive | |
De serments argenté s prononcé s face au rayon vert: | |
" Estce que tu veux m'é pouser? Vivre et mourir à mes c té s?" | |
On r ve de ré apprendre à respirer | |
Que la mé diocrité qui nous accable | |
Aille se faire enfler au Pakistan | |
On attend dé sespé ré ment celui ou celle | |
Qui apaisera d' un doigt nos muscles noué s | |
Et nos encé phales en sousré gime | |
On attend dé sespé ré ment celui ou celle | |
Qui fera battre notre c ur | |
Plus grand | |
C' est pour a qu' il faut pas que tu dé sespè res | |
Perds pas espoir | |
Promis juré qu' on la vivra notre putain de belle histoire | |
Ce sera plus des mensonges | |
Quelque chose de grand | |
Qui sauve la vie, qui trompe la mort, qui dé glingue enfin le blizzard | |
Imaginetoi: t' es là en train de te reprendre un verre au bar | |
Quand tout à coup tu croises un regard qui te perfore de part en part | |
Imaginetoi: t' es là, a te tombe dessus sans crier gare | |
Un truc bandant, un truc dé ment, qui redonne la foi, un truc comme a | |
" Je voudrais qu' on monte l' escalier en courant, | |
Qu' on catapulte tous nos v tements, | |
Que tu me fasse l' amour jusqu'à l' aube pendant deux nuits, | |
Que le soir au soleil couchant on se fasse des c lins. | |
J' voudrais tellement partager tes nuits, | |
J' ai tant besoin de ton sourire, | |
J' ai tant besoin qu' on se voit dans les nuits fauves." |