Song | La nuit d'Octobre |
Artist | Serge Gainsbourg |
Album | Gainsbourg, Volume 1: Le Poinçonneur des Lilas, 1958-1960 |
Honte à toi qui la première m'a appris la trahison | |
Et d'horreur et de colère m'a fait perdre la raison | |
Et d'horreur et de colère m'a fait perdre la raison | |
Honte à toi femme à l'oeil sombre, don't les funestes amours | |
Ont enseveli dans l'ombre mon printemps et mes beaux jours | |
Ont enseveli dans l'ombre mon printemps et mes beaux jours | |
C'est ta voix, c'est ton sourire, c'est ton regard corrupteur | |
Qui m'ont appris à maudire jusqu'au semblant du bonheur | |
Qui m'ont appris à maudire jusqu'au semblant du bonheur | |
C'est ta jeunesse, c'est tes charmes qui m'ont fait desespérer | |
Et si je doute des larmes c'est que je t'ai vu pleurer | |
Et si je doute des larmes c'est que je t'ai vu pleurer | |
Honte à toi, j'étais encore, aussi simple qu'un enfant | |
Comme une fleur à l'aurore mon coeur s'ouvrait en t'aimant | |
Comme une fleur à l'aurore mon coeur s'ouvrait en t'aimant | |
Certes ce coeur sans défense, pu sans peine être abusé | |
Mais lui laisser l'innocence etait encore plus aisé | |
Mais lui laisser l'innocence etait encore plus aisé | |
Honte à toi, qui fut la mer de mes premieres douleurs | |
Et tu fis de ma paupiere jaillir la source des pleurs | |
Et tu fis de ma paupiere jaillir la source des pleurs | |
Elle coule sois en sûr et rien ne la tarira | |
Elle sort d'une blessure qui jamais ne guerira | |
Elle sort d'une blessure qui jamais ne guerira | |
Mais dans cette source amere, du moins je me laverais | |
Et j'y laisserai j'espere ton souvenir aborré | |
Et j'y laisserai j'espere ton souvenir aborré | |
Et j'y laisserai j'espere ton souvenir aborré |
Honte nbsp toi qui la premi re m' a appris la trahison | |
Et d' horreur et de col re m' a fait perdre la raison | |
Et d' horreur et de col re m' a fait perdre la raison | |
Honte nbsp toi femme nbsp l' oeil sombre, don' t les funestes amours | |
Ont enseveli dans l' ombre mon printemps et mes beaux jours | |
Ont enseveli dans l' ombre mon printemps et mes beaux jours | |
C' est ta voix, c' est ton sourire, c' est ton regard corrupteur | |
Qui m' ont appris nbsp maudire jusqu' au semblant du bonheur | |
Qui m' ont appris nbsp maudire jusqu' au semblant du bonheur | |
C' est ta jeunesse, c' est tes charmes qui m' ont fait desesp rer | |
Et si je doute des larmes c' est que je t' ai vu pleurer | |
Et si je doute des larmes c' est que je t' ai vu pleurer | |
Honte nbsp toi, j' tais encore, aussi simple qu' un enfant | |
Comme une fleur nbsp l' aurore mon coeur s' ouvrait en t' aimant | |
Comme une fleur nbsp l' aurore mon coeur s' ouvrait en t' aimant | |
Certes ce coeur sans d fense, pu sans peine tre abus | |
Mais lui laisser l' innocence etait encore plus ais | |
Mais lui laisser l' innocence etait encore plus ais | |
Honte nbsp toi, qui fut la mer de mes premieres douleurs | |
Et tu fis de ma paupiere jaillir la source des pleurs | |
Et tu fis de ma paupiere jaillir la source des pleurs | |
Elle coule sois en s r et rien ne la tarira | |
Elle sort d' une blessure qui jamais ne guerira | |
Elle sort d' une blessure qui jamais ne guerira | |
Mais dans cette source amere, du moins je me laverais | |
Et j' y laisserai j' espere ton souvenir aborr | |
Et j' y laisserai j' espere ton souvenir aborr | |
Et j' y laisserai j' espere ton souvenir aborr |