Song | Dil |
Artist | Gris |
Album | A Lame Enflammee-Lame Constellee-Digipak |
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Qu’attends-tu, mon frère, fleuri de vieillesse, | |
Tout alourdi des chimères du monde? | |
Tes rires sont épuisés, et tes sourires, | |
Ont une teinte décisive de noyade. | |
Qu’attends-tu, dans la chute des espoirs? | |
Toi qui des soleils voulait connaitre les brûlures, | |
Des anges peser le fardeau, | |
Des larmes entendre les moindres fracas. | |
Toi qui croyait pouvoir extirper de la terre | |
Les filons d’or qui strient les robes du ciel. | |
Toi qui croyait que ton cœur, par les naufrages, | |
Pourrait se jeter du haut des lunes | |
Jusque dans les aubes grandissantes, | |
Échappant à tous les vertiges. | |
Qu’attends-tu… Le temps de ne plus y croire? | |
Alors, tombe, ton amour est sans fin, | |
Vers les étoiles qui te semblent les plus belles. | |
Toi, qui n’a plus peur du vide, maintenant, | |
Qui a embrassé les douleurs et les déluges, | |
Tu sais qu’il n’y aura jamais assez d’ombres | |
Même dans les réservoirs d’abîmes. | |
Toi, qui regarde ton âme s’enflammer, | |
De l’étincelle d’une tendresse infinie | |
Qui rattache chaque battement de cœur | |
Comme des arcs de lumières, | |
Qui fait, dans les mots parsemés d’abandon, | |
Naître des univers immenses… | |
Alors tombe, qu’attends-tu? |
Qu' attendstu, mon fre re, fleuri de vieillesse, | |
Tout alourdi des chime res du monde? | |
Tes rires sont e puise s, et tes sourires, | |
Ont une teinte de cisive de noyade. | |
Qu' attendstu, dans la chute des espoirs? | |
Toi qui des soleils voulait connaitre les br lures, | |
Des anges peser le fardeau, | |
Des larmes entendre les moindres fracas. | |
Toi qui croyait pouvoir extirper de la terre | |
Les filons d' or qui strient les robes du ciel. | |
Toi qui croyait que ton c ur, par les naufrages, | |
Pourrait se jeter du haut des lunes | |
Jusque dans les aubes grandissantes, | |
É chappant a tous les vertiges. | |
Qu' attendstu Le temps de ne plus y croire? | |
Alors, tombe, ton amour est sans fin, | |
Vers les e toiles qui te semblent les plus belles. | |
Toi, qui n' a plus peur du vide, maintenant, | |
Qui a embrasse les douleurs et les de luges, | |
Tu sais qu' il n' y aura jamais assez d' ombres | |
M me dans les re servoirs d' ab mes. | |
Toi, qui regarde ton me s' enflammer, | |
De l'e tincelle d' une tendresse infinie | |
Qui rattache chaque battement de c ur | |
Comme des arcs de lumie res, | |
Qui fait, dans les mots parseme s d' abandon, | |
Na tre des univers immenses | |
Alors tombe, qu' attendstu? |
Qu' attendstu, mon frè re, fleuri de vieillesse, | |
Tout alourdi des chimè res du monde? | |
Tes rires sont é puisé s, et tes sourires, | |
Ont une teinte dé cisive de noyade. | |
Qu' attendstu, dans la chute des espoirs? | |
Toi qui des soleils voulait connaitre les br lures, | |
Des anges peser le fardeau, | |
Des larmes entendre les moindres fracas. | |
Toi qui croyait pouvoir extirper de la terre | |
Les filons d' or qui strient les robes du ciel. | |
Toi qui croyait que ton c ur, par les naufrages, | |
Pourrait se jeter du haut des lunes | |
Jusque dans les aubes grandissantes, | |
É chappant à tous les vertiges. | |
Qu' attendstu Le temps de ne plus y croire? | |
Alors, tombe, ton amour est sans fin, | |
Vers les é toiles qui te semblent les plus belles. | |
Toi, qui n' a plus peur du vide, maintenant, | |
Qui a embrassé les douleurs et les dé luges, | |
Tu sais qu' il n' y aura jamais assez d' ombres | |
M me dans les ré servoirs d' ab mes. | |
Toi, qui regarde ton me s' enflammer, | |
De l'é tincelle d' une tendresse infinie | |
Qui rattache chaque battement de c ur | |
Comme des arcs de lumiè res, | |
Qui fait, dans les mots parsemé s d' abandon, | |
Na tre des univers immenses | |
Alors tombe, qu' attendstu? |