***Voix d'Hitler lors d'un discours nationaliste*** | |
Comment pourrais-je oublier alors encore enfant | |
À l'école "Nuit et Brouillard" sur l'écran ? | |
Dans le noir nos yeux hagards ne comprenaient pas | |
Comment nos grands parents avaient laisser faire ça. | |
Un tyran, un fou, héros d'une nation, | |
Œuvrant ouvertement pour l'extermination | |
D'une population désignée responsable d'office, | |
Accusée, coupable, offerte en sacrifice | |
À tout un pays affamé de pain et de gloire. | |
Ils semblaient fiers de l'infamie, certains de la victoire, | |
Usant de la folie, | |
Poussant à l'agonie les victimes choisies. | |
Peu d'espoir de survie dans les camps de la mort, pire que du bétail, | |
Je n'crois pas qu'il s'agisse là d'un simple point de détail, | |
Furent bâtis les plus grands abattoirs de l'histoire. | |
Dans d'étranges laboratoires d'obscurs docteurs | |
Mettaient un point d'honneur à cultiver l'horreur, | |
Sourds au cris de douleur d'un peuple qui meurt | |
Pour la sauvegarde de la race blanche. | |
Et le cauchemar recommence. | |
Les somnambules reculent, alerte à la démence, | |
Comme un hasard de l'histoire, le cauchemar recommence. | |
Comment pourrais-je oublier quand, 50 ans plus tard, | |
Ressortais des placards le même vieux scénar'. | |
On avait juste changé le nom des protagonistes, pour faire le vide, | |
On ne dit plus génocide, | |
Mais purification ethnique, | |
Et on nous explique | |
Que l'on a rien à craindre et pas de temps à perdre, | |
Chacun sa merde ! | |
A trop s'en foutre nous sommes devenus des lâches | |
Complices inactifs d'une nouvelle tâche. | |
Dans les livres d'histoire quelques pages qu'on arrache, | |
Mais quelque part, dans notre mémoire se cachent | |
Les images d'un carnage qui reviennent en flash. | |
Aujourd'hui un foyer d'immigrés incendié en Allemagne | |
Partout en Europe, en Italie comme en Espagne, | |
Ici, en France, c'est une évidence | |
Le cauchemar recommence | |
Qui sera demain la cible des racistes irascibles ? | |
Qui seront les coupables ? Qui seront les victimes ? | |
Du même crime perpétué contre l'humanité qui devra prouver qu'il a le droit d'exister ? | |
Qui pourra alors s'en foutre, devenir un lâche complice inactif d'une nouvelle tâche ? | |
Qu'allons nous dire aux enfants quand ils ne comprendrons pas, | |
Comment nous aussi avons laissé faire ça, | |
Pour la sauvegarde de la race blanche ? | |
Que le cauchemar recommence. |
Voix d' Hitler lors d' un discours nationaliste | |
Comment pourraisje oublier alors encore enfant | |
À l'e cole " Nuit et Brouillard" sur l'e cran nbsp? | |
Dans le noir nos yeux hagards ne comprenaient pas | |
Comment nos grands parents avaient laisser faire a. | |
Un tyran, un fou, he ros d' une nation, | |
uvrant ouvertement pour l' extermination | |
D' une population de signe e responsable d' office, | |
Accuse e, coupable, offerte en sacrifice | |
À tout un pays affame de pain et de gloire. | |
Ils semblaient fiers de l' infamie, certains de la victoire, | |
Usant de la folie, | |
Poussant a l' agonie les victimes choisies. | |
Peu d' espoir de survie dans les camps de la mort, pire que du be tail, | |
Je n' crois pas qu' il s' agisse la d' un simple point de de tail, | |
Furent b tis les plus grands abattoirs de l' histoire. | |
Dans d'e tranges laboratoires d' obscurs docteurs | |
Mettaient un point d' honneur a cultiver l' horreur, | |
Sourds au cris de douleur d' un peuple qui meurt | |
Pour la sauvegarde de la race blanche. | |
Et le cauchemar recommence. | |
Les somnambules reculent, alerte a la de mence, | |
Comme un hasard de l' histoire, le cauchemar recommence. | |
Comment pourraisje oublier quand, 50 ans plus tard, | |
Ressortais des placards le m me vieux sce nar'. | |
On avait juste change le nom des protagonistes, pour faire le vide, | |
On ne dit plus ge nocide, | |
Mais purification ethnique, | |
Et on nous explique | |
Que l' on a rien a craindre et pas de temps a perdre, | |
Chacun sa merde nbsp! | |
A trop s' en foutre nous sommes devenus des l ches | |
Complices inactifs d' une nouvelle t che. | |
Dans les livres d' histoire quelques pages qu' on arrache, | |
Mais quelque part, dans notre me moire se cachent | |
Les images d' un carnage qui reviennent en flash. | |
Aujourd' hui un foyer d' immigre s incendie en Allemagne | |
Partout en Europe, en Italie comme en Espagne, | |
Ici, en France, c' est une e vidence | |
Le cauchemar recommence | |
Qui sera demain la cible des racistes irascibles nbsp? | |
Qui seront les coupables nbsp? Qui seront les victimes nbsp? | |
Du m me crime perpe tue contre l' humanite qui devra prouver qu' il a le droit d' exister nbsp? | |
Qui pourra alors s' en foutre, devenir un l che complice inactif d' une nouvelle t che nbsp? | |
Qu' allons nous dire aux enfants quand ils ne comprendrons pas, | |
Comment nous aussi avons laisse faire a, | |
Pour la sauvegarde de la race blanche nbsp? | |
Que le cauchemar recommence. |
Voix d' Hitler lors d' un discours nationaliste | |
Comment pourraisje oublier alors encore enfant | |
À l'é cole " Nuit et Brouillard" sur l'é cran nbsp? | |
Dans le noir nos yeux hagards ne comprenaient pas | |
Comment nos grands parents avaient laisser faire a. | |
Un tyran, un fou, hé ros d' une nation, | |
uvrant ouvertement pour l' extermination | |
D' une population dé signé e responsable d' office, | |
Accusé e, coupable, offerte en sacrifice | |
À tout un pays affamé de pain et de gloire. | |
Ils semblaient fiers de l' infamie, certains de la victoire, | |
Usant de la folie, | |
Poussant à l' agonie les victimes choisies. | |
Peu d' espoir de survie dans les camps de la mort, pire que du bé tail, | |
Je n' crois pas qu' il s' agisse là d' un simple point de dé tail, | |
Furent b tis les plus grands abattoirs de l' histoire. | |
Dans d'é tranges laboratoires d' obscurs docteurs | |
Mettaient un point d' honneur à cultiver l' horreur, | |
Sourds au cris de douleur d' un peuple qui meurt | |
Pour la sauvegarde de la race blanche. | |
Et le cauchemar recommence. | |
Les somnambules reculent, alerte à la dé mence, | |
Comme un hasard de l' histoire, le cauchemar recommence. | |
Comment pourraisje oublier quand, 50 ans plus tard, | |
Ressortais des placards le m me vieux scé nar'. | |
On avait juste changé le nom des protagonistes, pour faire le vide, | |
On ne dit plus gé nocide, | |
Mais purification ethnique, | |
Et on nous explique | |
Que l' on a rien à craindre et pas de temps à perdre, | |
Chacun sa merde nbsp! | |
A trop s' en foutre nous sommes devenus des l ches | |
Complices inactifs d' une nouvelle t che. | |
Dans les livres d' histoire quelques pages qu' on arrache, | |
Mais quelque part, dans notre mé moire se cachent | |
Les images d' un carnage qui reviennent en flash. | |
Aujourd' hui un foyer d' immigré s incendié en Allemagne | |
Partout en Europe, en Italie comme en Espagne, | |
Ici, en France, c' est une é vidence | |
Le cauchemar recommence | |
Qui sera demain la cible des racistes irascibles nbsp? | |
Qui seront les coupables nbsp? Qui seront les victimes nbsp? | |
Du m me crime perpé tué contre l' humanité qui devra prouver qu' il a le droit d' exister nbsp? | |
Qui pourra alors s' en foutre, devenir un l che complice inactif d' une nouvelle t che nbsp? | |
Qu' allons nous dire aux enfants quand ils ne comprendrons pas, | |
Comment nous aussi avons laissé faire a, | |
Pour la sauvegarde de la race blanche nbsp? | |
Que le cauchemar recommence. |