Song | Un Merveilleux Été |
Artist | Étienne Daho |
Album | L'invitation |
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Rien ne semble pouvoir venir troubler | |
Ce merveilleux été, | |
La maison est grande ouvert et aérée, | |
J’ai réparé, | |
La toiture et repeint les murs, | |
J’ai pansé mes blessures | |
Et refait ma vie, | |
Ici. | |
Il flotte un si merveilleux parfum sucré | |
De fleurs éclatées, | |
Comme un je-ne-sais-quoi de sacré, | |
Dans le ciel d’été, | |
L’azur est aveuglant et pur, | |
Comme une éclaboussure, | |
Dans ce cadre idéal | |
Et toi, toi | |
Tu veux savoir pourquoi aujourd’hui je ne t’aime plus, | |
Pourquoi depuis un moment, on ne se capte plus | |
Et tu pleures en secret toutes les larmes de ton, corps, | |
Comme si j’étais mort. | |
Il règne une si oppressante chaleur, | |
Comme une torpeur, | |
Alors que monte très haut le mercure, | |
Tu rases les mures, | |
L’odeur de souffre de ton cœur noir, | |
Envahit le soir, | |
D’une sexuelle tension. | |
Les effluves lourdes de la glycine, | |
Près de la piscine, | |
Enivrent mes sens comme la fêlure | |
Qui te défigure. | |
A pleine bouche, je lèche tes larmes et le sang, qui perle lentement | |
De tes poignets blancs | |
Et toi oui toi, | |
Tu veux savoir pourquoi aujourd’hui je ne t’aime plus, | |
Pourquoi depuis un moment, | |
Je ne te désire plus | |
Et tu pleures en secret toutes les larmes de ton corps, | |
Comme si j’étais mort. | |
Piètres mensonges, fuites, sentiments confus, | |
Comment as-tu-pu ? | |
Quelle désespérance ! | |
Que sont devenues ta droiture et ton innocence ? | |
Désormais, en toi, désolé, mais j’ai perdu confiance. | |
Tu veux savoir pourquoi aujourd’hui je ne t’aime plus, | |
Pourquoi depuis un moment, on ne se comprend plus | |
Et tu pleures en secret toutes les larmes de ton corps, | |
Comme si j’étais mort. | |
Tu pleures en secret toutes les larmes de ton corps, | |
Fais comme si j’étais mort. |
Rien ne semble pouvoir venir troubler | |
Ce merveilleux e te, | |
La maison est grande ouvert et ae re e, | |
J' ai re pare, | |
La toiture et repeint les murs, | |
J' ai panse mes blessures | |
Et refait ma vie, | |
Ici. | |
Il flotte un si merveilleux parfum sucre | |
De fleurs e clate es, | |
Comme un jenesaisquoi de sacre, | |
Dans le ciel d'e te, | |
L' azur est aveuglant et pur, | |
Comme une e claboussure, | |
Dans ce cadre ide al | |
Et toi, toi | |
Tu veux savoir pourquoi aujourd' hui je ne t' aime plus, | |
Pourquoi depuis un moment, on ne se capte plus | |
Et tu pleures en secret toutes les larmes de ton, corps, | |
Comme si j'e tais mort. | |
Il re gne une si oppressante chaleur, | |
Comme une torpeur, | |
Alors que monte tre s haut le mercure, | |
Tu rases les mures, | |
L' odeur de souffre de ton c ur noir, | |
Envahit le soir, | |
D' une sexuelle tension. | |
Les effluves lourdes de la glycine, | |
Pre s de la piscine, | |
Enivrent mes sens comme la f lure | |
Qui te de figure. | |
A pleine bouche, je le che tes larmes et le sang, qui perle lentement | |
De tes poignets blancs | |
Et toi oui toi, | |
Tu veux savoir pourquoi aujourd' hui je ne t' aime plus, | |
Pourquoi depuis un moment, | |
Je ne te de sire plus | |
Et tu pleures en secret toutes les larmes de ton corps, | |
Comme si j'e tais mort. | |
Pie tres mensonges, fuites, sentiments confus, | |
Comment astupu nbsp? | |
Quelle de sespe rance nbsp! | |
Que sont devenues ta droiture et ton innocence nbsp? | |
De sormais, en toi, de sole, mais j' ai perdu confiance. | |
Tu veux savoir pourquoi aujourd' hui je ne t' aime plus, | |
Pourquoi depuis un moment, on ne se comprend plus | |
Et tu pleures en secret toutes les larmes de ton corps, | |
Comme si j'e tais mort. | |
Tu pleures en secret toutes les larmes de ton corps, | |
Fais comme si j'e tais mort. |
Rien ne semble pouvoir venir troubler | |
Ce merveilleux é té, | |
La maison est grande ouvert et aé ré e, | |
J' ai ré paré, | |
La toiture et repeint les murs, | |
J' ai pansé mes blessures | |
Et refait ma vie, | |
Ici. | |
Il flotte un si merveilleux parfum sucré | |
De fleurs é claté es, | |
Comme un jenesaisquoi de sacré, | |
Dans le ciel d'é té, | |
L' azur est aveuglant et pur, | |
Comme une é claboussure, | |
Dans ce cadre idé al | |
Et toi, toi | |
Tu veux savoir pourquoi aujourd' hui je ne t' aime plus, | |
Pourquoi depuis un moment, on ne se capte plus | |
Et tu pleures en secret toutes les larmes de ton, corps, | |
Comme si j'é tais mort. | |
Il rè gne une si oppressante chaleur, | |
Comme une torpeur, | |
Alors que monte trè s haut le mercure, | |
Tu rases les mures, | |
L' odeur de souffre de ton c ur noir, | |
Envahit le soir, | |
D' une sexuelle tension. | |
Les effluves lourdes de la glycine, | |
Prè s de la piscine, | |
Enivrent mes sens comme la f lure | |
Qui te dé figure. | |
A pleine bouche, je lè che tes larmes et le sang, qui perle lentement | |
De tes poignets blancs | |
Et toi oui toi, | |
Tu veux savoir pourquoi aujourd' hui je ne t' aime plus, | |
Pourquoi depuis un moment, | |
Je ne te dé sire plus | |
Et tu pleures en secret toutes les larmes de ton corps, | |
Comme si j'é tais mort. | |
Piè tres mensonges, fuites, sentiments confus, | |
Comment astupu nbsp? | |
Quelle dé sespé rance nbsp! | |
Que sont devenues ta droiture et ton innocence nbsp? | |
Dé sormais, en toi, dé solé, mais j' ai perdu confiance. | |
Tu veux savoir pourquoi aujourd' hui je ne t' aime plus, | |
Pourquoi depuis un moment, on ne se comprend plus | |
Et tu pleures en secret toutes les larmes de ton corps, | |
Comme si j'é tais mort. | |
Tu pleures en secret toutes les larmes de ton corps, | |
Fais comme si j'é tais mort. |