Song | J'accuse |
Artist | Jeanne Mas |
Album | Platinum |
Download | Image LRC TXT |
C'est une puissance invisible | |
Le choc des mots n'existe pas | |
Lorsque la force joue la violence et l'égoïsme | |
Lorsque rien n'est plus fort que ta voix | |
C'est l'insolence qui prend le rythme | |
Ma liberté sous leurs doigts | |
Sur des colonnes on me résume | |
Elle était seule, ils étaient trois | |
Pourquoi ces gens qui me harponnent et qui me jugent | |
Ce pouvoir qui limite mes droits ? | |
Serre dans les yeux ta solitude | |
Seule toute la haine est ma loi | |
J'accuse les rôles du scénario trop faciles | |
D'humilier des peaux sensibles | |
J'accuse les tireurs de poison qui s'agitent | |
Au fond d'un dégoût tragique | |
Y a pas d'arme qui venge le mal | |
Qui s'acharne au creux de mes larmes | |
Ils ont dépouillé mes blessures | |
Avec des regards indiscrets | |
Comme assoiffés par l'émotion qu'elles leur procurent | |
Comme un jouet qu'on voudrait bien casser | |
C'est leur violence qui prend la suite | |
Comment pouvoir pardonner | |
Cogne, cogne bien plus fort | |
Défends ta déchirure | |
Cogne, cogne bien plus fort | |
Réponds à leur insulte |
C' est une puissance invisible | |
Le choc des mots n' existe pas | |
Lorsque la force joue la violence et l'e go sme | |
Lorsque rien n' est plus fort que ta voix | |
C' est l' insolence qui prend le rythme | |
Ma liberte sous leurs doigts | |
Sur des colonnes on me re sume | |
Elle e tait seule, ils e taient trois | |
Pourquoi ces gens qui me harponnent et qui me jugent | |
Ce pouvoir qui limite mes droits nbsp? | |
Serre dans les yeux ta solitude | |
Seule toute la haine est ma loi | |
J' accuse les r les du sce nario trop faciles | |
D' humilier des peaux sensibles | |
J' accuse les tireurs de poison qui s' agitent | |
Au fond d' un de go t tragique | |
Y a pas d' arme qui venge le mal | |
Qui s' acharne au creux de mes larmes | |
Ils ont de pouille mes blessures | |
Avec des regards indiscrets | |
Comme assoiffe s par l'e motion qu' elles leur procurent | |
Comme un jouet qu' on voudrait bien casser | |
C' est leur violence qui prend la suite | |
Comment pouvoir pardonner | |
Cogne, cogne bien plus fort | |
De fends ta de chirure | |
Cogne, cogne bien plus fort | |
Re ponds a leur insulte |
C' est une puissance invisible | |
Le choc des mots n' existe pas | |
Lorsque la force joue la violence et l'é go sme | |
Lorsque rien n' est plus fort que ta voix | |
C' est l' insolence qui prend le rythme | |
Ma liberté sous leurs doigts | |
Sur des colonnes on me ré sume | |
Elle é tait seule, ils é taient trois | |
Pourquoi ces gens qui me harponnent et qui me jugent | |
Ce pouvoir qui limite mes droits nbsp? | |
Serre dans les yeux ta solitude | |
Seule toute la haine est ma loi | |
J' accuse les r les du scé nario trop faciles | |
D' humilier des peaux sensibles | |
J' accuse les tireurs de poison qui s' agitent | |
Au fond d' un dé go t tragique | |
Y a pas d' arme qui venge le mal | |
Qui s' acharne au creux de mes larmes | |
Ils ont dé pouillé mes blessures | |
Avec des regards indiscrets | |
Comme assoiffé s par l'é motion qu' elles leur procurent | |
Comme un jouet qu' on voudrait bien casser | |
C' est leur violence qui prend la suite | |
Comment pouvoir pardonner | |
Cogne, cogne bien plus fort | |
Dé fends ta dé chirure | |
Cogne, cogne bien plus fort | |
Ré ponds à leur insulte |