Song | La Geisha |
Artist | Jeanne Mas |
Album | Platinum |
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Comme un vieux fleuve abandonné | |
Que l'indifférence a séché | |
Son histoire n'est plus qu'un roseau fané | |
Qui se meurt ; | |
Elle lui avait juré dévotion | |
Aveugle et fière sans objection | |
Idolâtrant cet homme plus fort que la raison | |
Qui s'endort. | |
L'amour s'enfuit, le drame s'enflamme, | |
Comme une légende un peu banale ; | |
Quand le soleil ira se coucher sur un lac inventé | |
Elle ira loin se réfugier, ses larmes pourront brûler | |
Ne cherchez pas la geisha. | |
Comme un vieux fleuve abandonné | |
Couvert de sable, de pierres cassées | |
Loin du monde témoin de ce bonheur | |
Effacé. | |
La tristesse a brisé ses yeux, | |
Le ciel pâlit, l'été se meurt | |
Et le temps s'enfuit sans dissuader son cœur. | |
Elle vit de lui, l'attend encore, | |
Fidèle, soumise jusqu'à la mort. | |
Quand le soleil ira se coucher sur un lac inventé | |
Ses mains frêles voudront se coller, ne cesseront de prier | |
Ne cherchez pas la geisha. | |
Quand les dragons se retirent, les cieux renferment leur ennui | |
Les collines deviennent si vertes, se purifient | |
Mais sur le fond de la scène un corps chemine, se fatigue | |
Si patiente elle cherche l'homme qu'elle a choisi. | |
Comme un vieux fleuve abandonné | |
Elle s'est offerte au vent glacé | |
Son espoir faillit, son regard a changé de couleur, | |
L'amour blessé, l'attente se meurt | |
De sang tachée, elle sauve l'honneur. | |
Quand le soleil ira se coucher sur un lac inventé | |
Elle ne sera plus là pour prier, elle n'ira plus pleurer, | |
Ne cherchez pas la geisha. | |
Quand les dragons se retirent, les cieux renferment leur ennui | |
Les collines deviennent si vertes, se purifient | |
Mais sur le fond de la scène une étoile blanche a surgi | |
Dans sa lumière si intense elle nous sourit. |
Comme un vieux fleuve abandonne | |
Que l' indiffe rence a se che | |
Son histoire n' est plus qu' un roseau fane | |
Qui se meurt nbsp | |
Elle lui avait jure de votion | |
Aveugle et fie re sans objection | |
Idol trant cet homme plus fort que la raison | |
Qui s' endort. | |
L' amour s' enfuit, le drame s' enflamme, | |
Comme une le gende un peu banale nbsp | |
Quand le soleil ira se coucher sur un lac invente | |
Elle ira loin se re fugier, ses larmes pourront br ler | |
Ne cherchez pas la geisha. | |
Comme un vieux fleuve abandonne | |
Couvert de sable, de pierres casse es | |
Loin du monde te moin de ce bonheur | |
Efface. | |
La tristesse a brise ses yeux, | |
Le ciel p lit, l'e te se meurt | |
Et le temps s' enfuit sans dissuader son c ur. | |
Elle vit de lui, l' attend encore, | |
Fide le, soumise jusqu'a la mort. | |
Quand le soleil ira se coucher sur un lac invente | |
Ses mains fr les voudront se coller, ne cesseront de prier | |
Ne cherchez pas la geisha. | |
Quand les dragons se retirent, les cieux renferment leur ennui | |
Les collines deviennent si vertes, se purifient | |
Mais sur le fond de la sce ne un corps chemine, se fatigue | |
Si patiente elle cherche l' homme qu' elle a choisi. | |
Comme un vieux fleuve abandonne | |
Elle s' est offerte au vent glace | |
Son espoir faillit, son regard a change de couleur, | |
L' amour blesse, l' attente se meurt | |
De sang tache e, elle sauve l' honneur. | |
Quand le soleil ira se coucher sur un lac invente | |
Elle ne sera plus la pour prier, elle n' ira plus pleurer, | |
Ne cherchez pas la geisha. | |
Quand les dragons se retirent, les cieux renferment leur ennui | |
Les collines deviennent si vertes, se purifient | |
Mais sur le fond de la sce ne une e toile blanche a surgi | |
Dans sa lumie re si intense elle nous sourit. |
Comme un vieux fleuve abandonné | |
Que l' indiffé rence a sé ché | |
Son histoire n' est plus qu' un roseau fané | |
Qui se meurt nbsp | |
Elle lui avait juré dé votion | |
Aveugle et fiè re sans objection | |
Idol trant cet homme plus fort que la raison | |
Qui s' endort. | |
L' amour s' enfuit, le drame s' enflamme, | |
Comme une lé gende un peu banale nbsp | |
Quand le soleil ira se coucher sur un lac inventé | |
Elle ira loin se ré fugier, ses larmes pourront br ler | |
Ne cherchez pas la geisha. | |
Comme un vieux fleuve abandonné | |
Couvert de sable, de pierres cassé es | |
Loin du monde té moin de ce bonheur | |
Effacé. | |
La tristesse a brisé ses yeux, | |
Le ciel p lit, l'é té se meurt | |
Et le temps s' enfuit sans dissuader son c ur. | |
Elle vit de lui, l' attend encore, | |
Fidè le, soumise jusqu'à la mort. | |
Quand le soleil ira se coucher sur un lac inventé | |
Ses mains fr les voudront se coller, ne cesseront de prier | |
Ne cherchez pas la geisha. | |
Quand les dragons se retirent, les cieux renferment leur ennui | |
Les collines deviennent si vertes, se purifient | |
Mais sur le fond de la scè ne un corps chemine, se fatigue | |
Si patiente elle cherche l' homme qu' elle a choisi. | |
Comme un vieux fleuve abandonné | |
Elle s' est offerte au vent glacé | |
Son espoir faillit, son regard a changé de couleur, | |
L' amour blessé, l' attente se meurt | |
De sang taché e, elle sauve l' honneur. | |
Quand le soleil ira se coucher sur un lac inventé | |
Elle ne sera plus là pour prier, elle n' ira plus pleurer, | |
Ne cherchez pas la geisha. | |
Quand les dragons se retirent, les cieux renferment leur ennui | |
Les collines deviennent si vertes, se purifient | |
Mais sur le fond de la scè ne une é toile blanche a surgi | |
Dans sa lumiè re si intense elle nous sourit. |