Song | Murs |
Artist | IAM |
Album | Revoir Un Printemps |
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作曲 : Akhenaton, Freeman, Shurik'N | |
Freeman: | |
Je ne t'offre pas mon regard, t'es ma meilleure garantie | |
C'est pas que je ne t'aime pas | |
Dehors il y en a trop qui m'aiment pas | |
Je t'ai pris bras droit, on m'a dit bats-toi | |
C'est ce que j'ai fait dans ce foutoir et c'est pas ma voie | |
J'ai vu qu'il y avait trop de tox, trop de putes, trop de traîtres | |
Trop de mal, trop de fables, trop de sales, trop foire | |
Trop de poirse, trop de vols, trop de jeunes, trop de peine | |
Trop de flingues, on te rend hommage | |
Akhenaton: | |
J'ai approché de vous comme un spray, une teinte chrome | |
Mon tort, j'ai tourné le dos, ma vie je l'ai vue bonne | |
Horloge de mes heures dispersées, parfois de face | |
Forcé par la canine, je vous ai embrassé | |
Gratter par la lame d'un opinel ignoble | |
Dans le rôle, de la schnouf, étalé dans l'aluminium | |
Striée en sillons sur la table d'un guillaume | |
A vos pieds, cimetiere de mes piles au lithium | |
Shurik'n: | |
Pourquoi, j'ai forcé tant de fois | |
A supporter ma rage, observateur | |
Sage enduit de plâtre qui insulté et outrage violemment convoite | |
Témoin des discussions tardives et secretes d'échanges | |
Bref d'coup d'oeil furtif de tetes | |
Qui se tournent toutes en meme temps | |
Un ange passe laisse une trace | |
Plus belle qu'un mégot qu'on écrase | |
Ou qu'une face qu'on plaque sur la tienne la haine | |
Ça te gene que la nuit revienne | |
Qu'a nouveau sur toi l'amour se déchaîne | |
Akhenaton, Freeman & Shurik'n: | |
{Refrain: x2} | |
Action, frisson, MUR, tesson | |
Friction, gros son, MUR, pulsion | |
Tension, vision, placide MUR | |
Vestige d'illusions | |
Freeman: | |
Ces 2 mains, son front appuyé sur toi, yeux clos | |
A genoux l'enfer le tient par son laxisme | |
Parfait, dégain l'est, ici les coeurs sont bien laids | |
Regardez les, qu'il voit crever doucement | |
Qui bouge, qui laisse sa trace avec un geste bon | |
Qui se mouille, qui brise sa cloison le poison | |
Ils passent devant toi, sans voir qui il y a autour | |
Enfin ! Ils évitent, donc, j'en parle a travers Shure | |
Akhenaton: | |
Havres d'âmes a la dérive, auréoles glauques | |
Murs mastoc, s'imposent comme seigneurs de ces blocs | |
Tatoués ou gravés jusqu'a la moëlle opaque voile | |
Scellant l'intimité de nos proches, comme une vivante toile | |
Et mille chocs, façonnant vos visages | |
Empeche mes yeux de parcourir le paysage | |
Combien de fois ai-je écrit mon idéal sur cet héritage | |
Stériles larmes, art sacré, traits véritables | |
Freeman: | |
Je t'ai toujours eu, a côté de moi, ici l'haitiste | |
Impossible de me lever ça, ce que l'on piste | |
Le vicelard, fils, vise l'artiste, peace des abysses | |
J'ai gardé un coin de toi, dans mon coeur | |
C'est lui qui te parle, j'ai que ça et ça se ressent sale | |
Comment veux-tu ? Que je perde ça j'ai tissé ma toile | |
A travers ton regard, fuck les ronflards | |
C'est avec ma plume, que je vois, que je t'ai quitté trop tard | |
{au Refrain, x2} | |
Shurik'n: | |
Combien de gars t'as vu passer | |
Hagard cassé sur tes flans | |
S'appuyer tirant l'chariot rouillé | |
Pliant sous leurs vies empilées | |
De cars bondés de monde | |
Mais chacun dans le sien, de bandes de mômes | |
Dont le sourire éclaire la journée du plus dur des hommes | |
Comme ceux qui te donnent le tournis, viendra ? Viendra pas ? | |
Heureusement ses potes le voient pas | |
Et toi tu parles pas ton coeur bat au rythme des gens | |
De leurs pas de leurs vies, de leurs choix | |
Ton rictus, ironique cette nuit personne ne le verra | |
Akhenaton: | |
Dites moi combien d'amants se sont aimés | |
Cachés dans vos alcôves | |
Doucement, violemment, riches ou pauvres | |
Clique fauve, nuit folles, miradors de la faune | |
Profondes racines, de ces lignes, qui coupent nos paumes | |
Combien d'affiches vous ont sali | |
Comme si votre âme était a vendre | |
Ont-ils une once de rectitude | |
Droits, murs, témoins de ma sombre solitude | |
Savent bien, qu'on peut devenir con par habitude | |
Combien de pas ont caressé le bitume, exactitude | |
Ils savent qui a Reif et qui tue | |
Live in situ, gloire et lassitude, avis brut | |
Pourquoi la rue est elle ainsi pute ? | |
Shurik'n: | |
T'aurais pu etre autre chose je sais pas un abri bus | |
T'aurais un banc, au moins tu lecherais pas la semelle de tous les gus | |
A qui tu coupes les ailes que pour ça que ça picole et que l'ivresse | |
Les ramene vers toi souvent de façon moins drôle | |
Processus maudit rituel planétaire | |
Rude adversaire marquage sévere | |
Pour toi, ces quelques vers | |
Entre pisse et bris de verre, salutaire | |
L'amour se grave au cutter | |
L'espoir entame ta pierre | |
Comme les balles des faits divers | |
Et les armes d'hiver | |
{au Refrain, x2} |
zuo qu : Akhenaton, Freeman, Shurik' N | |
Freeman: | |
Je ne t' offre pas mon regard, t' es ma meilleure garantie | |
C' est pas que je ne t' aime pas | |
Dehors il y en a trop qui m' aiment pas | |
Je t' ai pris bras droit, on m' a dit batstoi | |
C' est ce que j' ai fait dans ce foutoir et c' est pas ma voie | |
J' ai vu qu' il y avait trop de tox, trop de putes, trop de tra tres | |
Trop de mal, trop de fables, trop de sales, trop foire | |
Trop de poirse, trop de vols, trop de jeunes, trop de peine | |
Trop de flingues, on te rend hommage | |
Akhenaton: | |
J' ai approche de vous comme un spray, une teinte chrome | |
Mon tort, j' ai tourne le dos, ma vie je l' ai vue bonne | |
Horloge de mes heures disperse es, parfois de face | |
Force par la canine, je vous ai embrasse | |
Gratter par la lame d' un opinel ignoble | |
Dans le r le, de la schnouf, e tale dans l' aluminium | |
Strie e en sillons sur la table d' un guillaume | |
A vos pieds, cimetiere de mes piles au lithium | |
Shurik' n: | |
Pourquoi, j' ai force tant de fois | |
A supporter ma rage, observateur | |
Sage enduit de pl tre qui insulte et outrage violemment convoite | |
Te moin des discussions tardives et secretes d'e changes | |
Bref d' coup d' oeil furtif de tetes | |
Qui se tournent toutes en meme temps | |
Un ange passe laisse une trace | |
Plus belle qu' un me got qu' on e crase | |
Ou qu' une face qu' on plaque sur la tienne la haine | |
a te gene que la nuit revienne | |
Qu' a nouveau sur toi l' amour se de cha ne | |
Akhenaton, Freeman Shurik' n: | |
Refrain: x2 | |
Action, frisson, MUR, tesson | |
Friction, gros son, MUR, pulsion | |
Tension, vision, placide MUR | |
Vestige d' illusions | |
Freeman: | |
Ces 2 mains, son front appuye sur toi, yeux clos | |
A genoux l' enfer le tient par son laxisme | |
Parfait, de gain l' est, ici les coeurs sont bien laids | |
Regardez les, qu' il voit crever doucement | |
Qui bouge, qui laisse sa trace avec un geste bon | |
Qui se mouille, qui brise sa cloison le poison | |
Ils passent devant toi, sans voir qui il y a autour | |
Enfin nbsp! Ils e vitent, donc, j' en parle a travers Shure | |
Akhenaton: | |
Havres d' mes a la de rive, aure oles glauques | |
Murs mastoc, s' imposent comme seigneurs de ces blocs | |
Tatoue s ou grave s jusqu' a la mo lle opaque voile | |
Scellant l' intimite de nos proches, comme une vivante toile | |
Et mille chocs, fa onnant vos visages | |
Empeche mes yeux de parcourir le paysage | |
Combien de fois aije e crit mon ide al sur cet he ritage | |
Ste riles larmes, art sacre, traits ve ritables | |
Freeman: | |
Je t' ai toujours eu, a c te de moi, ici l' haitiste | |
Impossible de me lever a, ce que l' on piste | |
Le vicelard, fils, vise l' artiste, peace des abysses | |
J' ai garde un coin de toi, dans mon coeur | |
C' est lui qui te parle, j' ai que a et a se ressent sale | |
Comment veuxtu nbsp? Que je perde a j' ai tisse ma toile | |
A travers ton regard, fuck les ronflards | |
C' est avec ma plume, que je vois, que je t' ai quitte trop tard | |
au Refrain, x2 | |
Shurik' n: | |
Combien de gars t' as vu passer | |
Hagard casse sur tes flans | |
S' appuyer tirant l' chariot rouille | |
Pliant sous leurs vies empile es | |
De cars bonde s de monde | |
Mais chacun dans le sien, de bandes de m mes | |
Dont le sourire e claire la journe e du plus dur des hommes | |
Comme ceux qui te donnent le tournis, viendra nbsp? Viendra pas nbsp? | |
Heureusement ses potes le voient pas | |
Et toi tu parles pas ton coeur bat au rythme des gens | |
De leurs pas de leurs vies, de leurs choix | |
Ton rictus, ironique cette nuit personne ne le verra | |
Akhenaton: | |
Dites moi combien d' amants se sont aime s | |
Cache s dans vos alc ves | |
Doucement, violemment, riches ou pauvres | |
Clique fauve, nuit folles, miradors de la faune | |
Profondes racines, de ces lignes, qui coupent nos paumes | |
Combien d' affiches vous ont sali | |
Comme si votre me e tait a vendre | |
Ontils une once de rectitude | |
Droits, murs, te moins de ma sombre solitude | |
Savent bien, qu' on peut devenir con par habitude | |
Combien de pas ont caresse le bitume, exactitude | |
Ils savent qui a Reif et qui tue | |
Live in situ, gloire et lassitude, avis brut | |
Pourquoi la rue est elle ainsi pute nbsp? | |
Shurik' n: | |
T' aurais pu etre autre chose je sais pas un abri bus | |
T' aurais un banc, au moins tu lecherais pas la semelle de tous les gus | |
A qui tu coupes les ailes que pour a que a picole et que l' ivresse | |
Les ramene vers toi souvent de fa on moins dr le | |
Processus maudit rituel plane taire | |
Rude adversaire marquage se vere | |
Pour toi, ces quelques vers | |
Entre pisse et bris de verre, salutaire | |
L' amour se grave au cutter | |
L' espoir entame ta pierre | |
Comme les balles des faits divers | |
Et les armes d' hiver | |
au Refrain, x2 |
zuò qǔ : Akhenaton, Freeman, Shurik' N | |
Freeman: | |
Je ne t' offre pas mon regard, t' es ma meilleure garantie | |
C' est pas que je ne t' aime pas | |
Dehors il y en a trop qui m' aiment pas | |
Je t' ai pris bras droit, on m' a dit batstoi | |
C' est ce que j' ai fait dans ce foutoir et c' est pas ma voie | |
J' ai vu qu' il y avait trop de tox, trop de putes, trop de tra tres | |
Trop de mal, trop de fables, trop de sales, trop foire | |
Trop de poirse, trop de vols, trop de jeunes, trop de peine | |
Trop de flingues, on te rend hommage | |
Akhenaton: | |
J' ai approché de vous comme un spray, une teinte chrome | |
Mon tort, j' ai tourné le dos, ma vie je l' ai vue bonne | |
Horloge de mes heures dispersé es, parfois de face | |
Forcé par la canine, je vous ai embrassé | |
Gratter par la lame d' un opinel ignoble | |
Dans le r le, de la schnouf, é talé dans l' aluminium | |
Strié e en sillons sur la table d' un guillaume | |
A vos pieds, cimetiere de mes piles au lithium | |
Shurik' n: | |
Pourquoi, j' ai forcé tant de fois | |
A supporter ma rage, observateur | |
Sage enduit de pl tre qui insulté et outrage violemment convoite | |
Té moin des discussions tardives et secretes d'é changes | |
Bref d' coup d' oeil furtif de tetes | |
Qui se tournent toutes en meme temps | |
Un ange passe laisse une trace | |
Plus belle qu' un mé got qu' on é crase | |
Ou qu' une face qu' on plaque sur la tienne la haine | |
a te gene que la nuit revienne | |
Qu' a nouveau sur toi l' amour se dé cha ne | |
Akhenaton, Freeman Shurik' n: | |
Refrain: x2 | |
Action, frisson, MUR, tesson | |
Friction, gros son, MUR, pulsion | |
Tension, vision, placide MUR | |
Vestige d' illusions | |
Freeman: | |
Ces 2 mains, son front appuyé sur toi, yeux clos | |
A genoux l' enfer le tient par son laxisme | |
Parfait, dé gain l' est, ici les coeurs sont bien laids | |
Regardez les, qu' il voit crever doucement | |
Qui bouge, qui laisse sa trace avec un geste bon | |
Qui se mouille, qui brise sa cloison le poison | |
Ils passent devant toi, sans voir qui il y a autour | |
Enfin nbsp! Ils é vitent, donc, j' en parle a travers Shure | |
Akhenaton: | |
Havres d' mes a la dé rive, auré oles glauques | |
Murs mastoc, s' imposent comme seigneurs de ces blocs | |
Tatoué s ou gravé s jusqu' a la mo lle opaque voile | |
Scellant l' intimité de nos proches, comme une vivante toile | |
Et mille chocs, fa onnant vos visages | |
Empeche mes yeux de parcourir le paysage | |
Combien de fois aije é crit mon idé al sur cet hé ritage | |
Sté riles larmes, art sacré, traits vé ritables | |
Freeman: | |
Je t' ai toujours eu, a c té de moi, ici l' haitiste | |
Impossible de me lever a, ce que l' on piste | |
Le vicelard, fils, vise l' artiste, peace des abysses | |
J' ai gardé un coin de toi, dans mon coeur | |
C' est lui qui te parle, j' ai que a et a se ressent sale | |
Comment veuxtu nbsp? Que je perde a j' ai tissé ma toile | |
A travers ton regard, fuck les ronflards | |
C' est avec ma plume, que je vois, que je t' ai quitté trop tard | |
au Refrain, x2 | |
Shurik' n: | |
Combien de gars t' as vu passer | |
Hagard cassé sur tes flans | |
S' appuyer tirant l' chariot rouillé | |
Pliant sous leurs vies empilé es | |
De cars bondé s de monde | |
Mais chacun dans le sien, de bandes de m mes | |
Dont le sourire é claire la journé e du plus dur des hommes | |
Comme ceux qui te donnent le tournis, viendra nbsp? Viendra pas nbsp? | |
Heureusement ses potes le voient pas | |
Et toi tu parles pas ton coeur bat au rythme des gens | |
De leurs pas de leurs vies, de leurs choix | |
Ton rictus, ironique cette nuit personne ne le verra | |
Akhenaton: | |
Dites moi combien d' amants se sont aimé s | |
Caché s dans vos alc ves | |
Doucement, violemment, riches ou pauvres | |
Clique fauve, nuit folles, miradors de la faune | |
Profondes racines, de ces lignes, qui coupent nos paumes | |
Combien d' affiches vous ont sali | |
Comme si votre me é tait a vendre | |
Ontils une once de rectitude | |
Droits, murs, té moins de ma sombre solitude | |
Savent bien, qu' on peut devenir con par habitude | |
Combien de pas ont caressé le bitume, exactitude | |
Ils savent qui a Reif et qui tue | |
Live in situ, gloire et lassitude, avis brut | |
Pourquoi la rue est elle ainsi pute nbsp? | |
Shurik' n: | |
T' aurais pu etre autre chose je sais pas un abri bus | |
T' aurais un banc, au moins tu lecherais pas la semelle de tous les gus | |
A qui tu coupes les ailes que pour a que a picole et que l' ivresse | |
Les ramene vers toi souvent de fa on moins dr le | |
Processus maudit rituel plané taire | |
Rude adversaire marquage sé vere | |
Pour toi, ces quelques vers | |
Entre pisse et bris de verre, salutaire | |
L' amour se grave au cutter | |
L' espoir entame ta pierre | |
Comme les balles des faits divers | |
Et les armes d' hiver | |
au Refrain, x2 |