Song | Revoir Un Printemps |
Artist | IAM |
Album | Revoir Un Printemps |
作曲 : Akhenaton, Freeman, Shurik'N | |
{Refrain:} | |
Comme quoi la vie finalement nous a tous embarqués, | |
J'en place une pour les bouts de choux, fraîchement débarqués | |
A croire que jusqu'à présent, en hiver on vivait | |
Vu qu'c'est le printemps, à chaque fois que leurs sourires apparaissent | |
Je revois le mien en extase, premier jouet téléguidé | |
Déguisé en cosmonaute, souhait presque réalisé, instant sacralisé | |
Trésor de mon coeur jamais épuisé, pour mon âme apaisante, Alizée. | |
Akhenaton: | |
Revoir le rayon d'lumière, transpercer les nuages, | |
Après la pluie, la chaleur étouffante assécher la tuile | |
Revoir encore une fois, l'croissant lunaire embraser la nuit | |
Embrasser mes anges, quand l'soleil s'noie | |
Faire du sommeil une terre vierge, converser dehors sous les | |
Cierges, revoir son sourire au lever quand j'émerge, sur | |
Au-delà des turpitudes, des dures habitudes de l'hiver | |
Peut être mon enveloppe de môme, abrite un coeur d'Gulliver | |
Revoir les trésors naturels de l'univers, douce ballerine | |
L'hirondelle fonde son nid dans mes songes, sublime galerie | |
A ciel ouvert, les djouns rampent à couvert, nous à l'air libre | |
Mais les pierres horribles, cachent souvent des gemmes superbes | |
Sous le couvercle | |
Revoir la terre s'ouvrir, dévoiler la mer | |
Solitaire dans la chambre, sous la lumière qu'les volets lacèrent | |
Impatient de l'attendre, c'printemps en décembre, en laissant | |
Ces mots dans les cendres, de ces années amères | |
{au Refrain} | |
Freeman: | |
La patience est un arbre, dont la racine est amère et l'fruit doux | |
J'aimerais revoir mes premiers pas, mes premiers rendez vous | |
Quand j'pensais, qu'la vie, pouvait rien nous offrir, à part des sous | |
Maintenant j'sais qu'ça s'résume pas à ça, et qu'c'est un tout, | |
L'tout est d'savoir, voir, penser, avancer, foncer | |
On sait qu'le temps, dans c'monde n'est pas notre allié | |
J'aimerais revoir, l'instant unique, qu'a fait d'moi un père | |
Un homme, un mari, on m'aurait dit ça avant, j'aurais pas t'nu l'pari | |
Normal dans mon coeur, y avait la tempête, les pression et l'orage | |
Et pas beaucoup d'monde qui pouvait supporter cette rage | |
J'aimerais revoir, ces pages, où on apprenait la vie, sans dérapage | |
L'partage d'l'évolution, à qui j'rends hommage, loin des typhons | |
J'aimerais revoir, l'premier sourire, d'mon fiston, mon coeur | |
D'puis c'jour là, j'me sens fier, c'beau gosse, c'est ma grandeur | |
Un printemps éternel, une source intarissable, plein d'couleurs | |
C'est l'jardin d'Eden, qui m'protège d'mes douleurs, | |
Shurik'n: | |
Revoir l'époque où y avait qu'des pelés sur le goudron s'arrachant | |
Autant de printemps répondant à l'appel d'un air innocent | |
Moins pressé d'aller à l'école pour les cours que pour les potes | |
S'y trouvant revoir les parties de bille sous le préau se faisant avec acharnement | |
Tendre moment jalousement gardé comme tous | |
Avènement d'une jeune pousse que l'on couvre d'amour….. | |
Pour que rien ne salisse mille fleurs jaillissent | |
Dès que son sourire m'éclabousse ça m'électrise cette | |
Racine va devenir chêne massif sève de métisse | |
Annonçant le renouveau le retour de mes printemps | |
A travers les siens et construire les siens pour que un jour | |
Il puisse les revivre à son tour | |
Comme volant à mon secours ces graines fleurissent | |
Dans ma tête quand la grisaille | |
Persiste mur d'images refoulant mes tempêtes | |
Voir un printemps superbe à nouveau fleurir | |
{au Refrain} |
zuò qǔ : Akhenaton, Freeman, Shurik' N | |
Refrain: | |
Comme quoi la vie finalement nous a tous embarqué s, | |
J' en place une pour les bouts de choux, fra chement dé barqué s | |
A croire que jusqu'à pré sent, en hiver on vivait | |
Vu qu' c' est le printemps, à chaque fois que leurs sourires apparaissent | |
Je revois le mien en extase, premier jouet té lé guidé | |
Dé guisé en cosmonaute, souhait presque ré alisé, instant sacralisé | |
Tré sor de mon coeur jamais é puisé, pour mon me apaisante, Alizé e. | |
Akhenaton: | |
Revoir le rayon d' lumiè re, transpercer les nuages, | |
Aprè s la pluie, la chaleur é touffante assé cher la tuile | |
Revoir encore une fois, l' croissant lunaire embraser la nuit | |
Embrasser mes anges, quand l' soleil s' noie | |
Faire du sommeil une terre vierge, converser dehors sous les | |
Cierges, revoir son sourire au lever quand j'é merge, sur | |
Audelà des turpitudes, des dures habitudes de l' hiver | |
Peut tre mon enveloppe de m me, abrite un coeur d' Gulliver | |
Revoir les tré sors naturels de l' univers, douce ballerine | |
L' hirondelle fonde son nid dans mes songes, sublime galerie | |
A ciel ouvert, les djouns rampent à couvert, nous à l' air libre | |
Mais les pierres horribles, cachent souvent des gemmes superbes | |
Sous le couvercle | |
Revoir la terre s' ouvrir, dé voiler la mer | |
Solitaire dans la chambre, sous la lumiè re qu' les volets lacè rent | |
Impatient de l' attendre, c' printemps en dé cembre, en laissant | |
Ces mots dans les cendres, de ces anné es amè res | |
au Refrain | |
Freeman: | |
La patience est un arbre, dont la racine est amè re et l' fruit doux | |
J' aimerais revoir mes premiers pas, mes premiers rendez vous | |
Quand j' pensais, qu' la vie, pouvait rien nous offrir, à part des sous | |
Maintenant j' sais qu' a s' ré sume pas à a, et qu' c' est un tout, | |
L' tout est d' savoir, voir, penser, avancer, foncer | |
On sait qu' le temps, dans c' monde n' est pas notre allié | |
J' aimerais revoir, l' instant unique, qu' a fait d' moi un pè re | |
Un homme, un mari, on m' aurait dit a avant, j' aurais pas t' nu l' pari | |
Normal dans mon coeur, y avait la temp te, les pression et l' orage | |
Et pas beaucoup d' monde qui pouvait supporter cette rage | |
J' aimerais revoir, ces pages, où on apprenait la vie, sans dé rapage | |
L' partage d' l'é volution, à qui j' rends hommage, loin des typhons | |
J' aimerais revoir, l' premier sourire, d' mon fiston, mon coeur | |
D' puis c' jour là, j' me sens fier, c' beau gosse, c' est ma grandeur | |
Un printemps é ternel, une source intarissable, plein d' couleurs | |
C' est l' jardin d' Eden, qui m' protè ge d' mes douleurs, | |
Shurik' n: | |
Revoir l'é poque où y avait qu' des pelé s sur le goudron s' arrachant | |
Autant de printemps ré pondant à l' appel d' un air innocent | |
Moins pressé d' aller à l'é cole pour les cours que pour les potes | |
S' y trouvant revoir les parties de bille sous le pré au se faisant avec acharnement | |
Tendre moment jalousement gardé comme tous | |
Avè nement d' une jeune pousse que l' on couvre d' amour.. | |
Pour que rien ne salisse mille fleurs jaillissent | |
Dè s que son sourire m'é clabousse a m'é lectrise cette | |
Racine va devenir ch ne massif sè ve de mé tisse | |
Annon ant le renouveau le retour de mes printemps | |
A travers les siens et construire les siens pour que un jour | |
Il puisse les revivre à son tour | |
Comme volant à mon secours ces graines fleurissent | |
Dans ma t te quand la grisaille | |
Persiste mur d' images refoulant mes temp tes | |
Voir un printemps superbe à nouveau fleurir | |
au Refrain |