Song | Terminal 2B |
Artist | Raphael |
Album | Pacific 231 |
Je t'envoie un million de baisers de ma bouche | |
Je t'envoie ma lettre de démission de tout ce qui n'est pas toi | |
Je t'envoie des cordées d'anges dans leurs paniers | |
Je t'envoie la luxure de mes pensées | |
Je t'envoie un petit baiser | |
Et cent mille regrets de ne pouvoir te le porter en personne | |
Je t'envoie un poème et une chandelle et une soubrette | |
Et l'ivresse des jours enchaînés | |
Je t'envoie Paris via la Sibérie en FedEx | |
Les ponts et le tournis et la lumière mourante des réverbères | |
Je t'envoie le monde tout entier, la nuit partie vers l'Asie | |
Et la Terre entière sous sa cloche d'hiver | |
Et l'étoile qui passe, et l'étoile qui passe | |
Je t'envoie une carte d'anniversaire | |
Car je n'ai plus vingt ans et que mon cœur se serre | |
Comme si jamais plus je ne devais être aimé | |
Par toi comme avant, par toi comme avant | |
Je t'envoie mes jours perdus et pendus | |
Le bon Dieu me l'a-t-il donné ce temps | |
Ou bien plutôt prêté ou vendu ? | |
Je t'envoie des fenêtres brisées par les oiseaux dans ma poitrine | |
Un petit moineau pour que tu le câlines | |
Je t'envoie mes compliments pour la petite sauterie du théâtre | |
Mais je ne t'en veux pas, oh non, pas à toi, non, pas à toi | |
Je t'envoie mon cœur, je le porte aujourd'hui sous un pull-over rouge | |
Et je pense qu'il devrait très bien t'aller | |
Mais tu sais que le seul type | |
Que je déteste assez au point de lui tirer dessus | |
C'est moi-même | |
Alors, ne t'en fais pas, je serai là demain | |
Cinq heures cinquante, Roissy | |
Terminal 2B | |
Cinq heures cinquante | |
Tapantes ! |
Je t' envoie un million de baisers de ma bouche | |
Je t' envoie ma lettre de dé mission de tout ce qui n' est pas toi | |
Je t' envoie des cordé es d' anges dans leurs paniers | |
Je t' envoie la luxure de mes pensé es | |
Je t' envoie un petit baiser | |
Et cent mille regrets de ne pouvoir te le porter en personne | |
Je t' envoie un poè me et une chandelle et une soubrette | |
Et l' ivresse des jours encha né s | |
Je t' envoie Paris via la Sibé rie en FedEx | |
Les ponts et le tournis et la lumiè re mourante des ré verbè res | |
Je t' envoie le monde tout entier, la nuit partie vers l' Asie | |
Et la Terre entiè re sous sa cloche d' hiver | |
Et l'é toile qui passe, et l'é toile qui passe | |
Je t' envoie une carte d' anniversaire | |
Car je n' ai plus vingt ans et que mon c ur se serre | |
Comme si jamais plus je ne devais tre aimé | |
Par toi comme avant, par toi comme avant | |
Je t' envoie mes jours perdus et pendus | |
Le bon Dieu me l' atil donné ce temps | |
Ou bien plut t pr té ou vendu nbsp? | |
Je t' envoie des fen tres brisé es par les oiseaux dans ma poitrine | |
Un petit moineau pour que tu le c lines | |
Je t' envoie mes compliments pour la petite sauterie du thé tre | |
Mais je ne t' en veux pas, oh non, pas à toi, non, pas à toi | |
Je t' envoie mon c ur, je le porte aujourd' hui sous un pullover rouge | |
Et je pense qu' il devrait trè s bien t' aller | |
Mais tu sais que le seul type | |
Que je dé teste assez au point de lui tirer dessus | |
C' est moim me | |
Alors, ne t' en fais pas, je serai là demain | |
Cinq heures cinquante, Roissy | |
Terminal 2B | |
Cinq heures cinquante | |
Tapantes nbsp! |