Song | Le Virus |
Artist | Rohff |
Album | Le Code De L'horreur |
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Le rap Français rappe en solo, trop filou pour ton prof de philo | |
La folie du stylo, je fais des chiffres avec des lettres au culot | |
Je pèse 94 kilos 400 grammes, avec un M16 | |
Je perds un gramme, c'est le drame | |
La violence est commerciale, par son charme j'en témoigne | |
Je suis le dernier écho, d'une symphonie qui s'éloigne | |
Le rap un billet que j'authentifie comme un filigrane | |
Les rappeurs zigzaguent, finissent en ligne droite comme un cardiogramme | |
Sache qu'un aveugle me voit mieux quand je chante | |
Et que j'ai la voix du silence, donc les sourds m'entendent | |
Je suis venu du bled le ventre balloné par malnutrition | |
J'ai dû apprendre à parler devant la télévision | |
Je manie la langue comme un cobra, | |
Mon expression t'étrangle, comme un boa | |
Je me demande à quoi sert le baccalauréat | |
Destin de cancre, je serais resté en sixième | |
Sans antisèche, les premiers de la classe me craignent. | |
Refrain : | |
La lumière m'obscurcit, c'est la poésie du UZI, du Uzi | |
La vie me tape un strip-tease, | |
Et ma plume durcit, ma plume durcit | |
Sur la feuille je me déverse | |
Prend la forme de mon esprit, de mon esprit | |
La vie me tape un strip tease | |
Et ma plume durcit, ma plume durcit | |
Je traîne la vie comme un boulet, mon talon d'Achille meurtri | |
Je suis la main, le coude, l'épaule, le cou la forme de l'esprit | |
Symbole d'une vie céleste qui marque | |
Un des cycles de la mort, comme un trimestre | |
Le naturel humain fait parler la presse, je me dresse | |
Point culminant des paysages urbains, comme le mont Everest | |
J'épate les académiciens, rebelle comme un milicien | |
Ma crédibilité est enviée des politiciens | |
Je balance des machettes reviens au galop | |
Brandissant la tête, des chevaliers des arts et des lettres | |
Une rafale ramène le calme d'une bibliothèque | |
La tolérance une nymphomane, faut la buter pour qu'elle arrête | |
Je conjugue mes raisons, énumérant les contradictions | |
Qui font de moi cet être, que je cherche encore à connaître | |
Je suis une multiple schizophrénie, étouffée dans l'anatomie | |
Vêtu de tissus à défaut d'être enroulé comme une momie | |
Je ne suis fait ni de chair ni de sang, mais de lave et de glace | |
J'écris mon chemin, tu peux suivre mes pensées à la trace | |
Je pisse de l'encre à grosse dose, c'est du hard à l'eau de rose | |
Je déflore les feuilles vierges, elles saignent car ma plume est trop grosse. | |
Refrain : | |
La lumière m'obscurcit, c'est la poésie du UZI, du Uzi | |
La vie me tape un strip-tease, | |
Et ma plume durcit, ma plume durcit | |
Sur la feuille je me déverse | |
Prend la forme de mon esprit, de mon esprit | |
La vie me tape un strip tease | |
Et ma plume durcit, ma plume durcit | |
Ici c'est froid, une vie de russe | |
Je fais bugger ton esprit, je suis le virus | |
Tu peux toujours me trouver dans une roulette Russe | |
Je me déverse sur la feuille, prends la forme du virus. | |
J'emmène la misère plus loin que l'espoir, | |
J'écris l'histoire en faisant des fautes | |
Qui ont le mérite d'être sincères en déchargeant mon savoir | |
Parfois aussi vulgaire qu'une branlette Espagnole | |
C'est l'après-guerre, l'époque de Rohff pas de Marcel Pagnol | |
Je suis pas votre douleur banale qui tant vous afflige | |
Mais le prix à payer pour le mal qu'on nous inflige | |
La gloire des pauvres, la menace des riches | |
Le poids des mensonges colorant leur vie monotone qui vous aguiche | |
Qui suis-je? Un électron libre au viol de ton ego | |
Un grand coup de calibre, artistiquement un fléau négro | |
J'ai joué le jeu sans avoir les bonnes cartes | |
Plus studieux qu'un énarque, plus majestueux qu'un monarque | |
Le 94 a ses couilles enregistrées à la préfecture | |
La marginalité ma culture, je suis fait de ratures | |
Virus de la littérature, comme en agriculture | |
Je laboure mon terrain, impose ma température | |
Y'a de quoi faire transpirer les gorilles dans la brume | |
Faire crier les loups du haut des collines car mon CD c'est la pleine lune | |
Mon coeur un cimetière de sentiments d'amertume | |
Je coupe la langue de molière après qu'elle m'ait léché la plume. | |
Refrain : | |
La lumière m'obscurcit, c'est la poésie du UZI, du Uzi | |
La vie me tape un strip-tease, | |
Et ma plume durcit, ma plume durcit | |
Sur la feuille je me déverse | |
Prend la forme de mon esprit, de mon esprit | |
La vie me tape un strip tease | |
Et ma plume durcit, ma plume durcit |
Le rap Fran ais rappe en solo, trop filou pour ton prof de philo | |
La folie du stylo, je fais des chiffres avec des lettres au culot | |
Je pe se 94 kilos 400 grammes, avec un M16 | |
Je perds un gramme, c' est le drame | |
La violence est commerciale, par son charme j' en te moigne | |
Je suis le dernier e cho, d' une symphonie qui s'e loigne | |
Le rap un billet que j' authentifie comme un filigrane | |
Les rappeurs zigzaguent, finissent en ligne droite comme un cardiogramme | |
Sache qu' un aveugle me voit mieux quand je chante | |
Et que j' ai la voix du silence, donc les sourds m' entendent | |
Je suis venu du bled le ventre ballone par malnutrition | |
J' ai d apprendre a parler devant la te le vision | |
Je manie la langue comme un cobra, | |
Mon expression t'e trangle, comme un boa | |
Je me demande a quoi sert le baccalaure at | |
Destin de cancre, je serais reste en sixie me | |
Sans antise che, les premiers de la classe me craignent. | |
Refrain nbsp: | |
La lumie re m' obscurcit, c' est la poe sie du UZI, du Uzi | |
La vie me tape un striptease, | |
Et ma plume durcit, ma plume durcit | |
Sur la feuille je me de verse | |
Prend la forme de mon esprit, de mon esprit | |
La vie me tape un strip tease | |
Et ma plume durcit, ma plume durcit | |
Je tra ne la vie comme un boulet, mon talon d' Achille meurtri | |
Je suis la main, le coude, l'e paule, le cou la forme de l' esprit | |
Symbole d' une vie ce leste qui marque | |
Un des cycles de la mort, comme un trimestre | |
Le naturel humain fait parler la presse, je me dresse | |
Point culminant des paysages urbains, comme le mont Everest | |
J'e pate les acade miciens, rebelle comme un milicien | |
Ma cre dibilite est envie e des politiciens | |
Je balance des machettes reviens au galop | |
Brandissant la t te, des chevaliers des arts et des lettres | |
Une rafale rame ne le calme d' une bibliothe que | |
La tole rance une nymphomane, faut la buter pour qu' elle arr te | |
Je conjugue mes raisons, e nume rant les contradictions | |
Qui font de moi cet tre, que je cherche encore a conna tre | |
Je suis une multiple schizophre nie, e touffe e dans l' anatomie | |
V tu de tissus a de faut d' tre enroule comme une momie | |
Je ne suis fait ni de chair ni de sang, mais de lave et de glace | |
J'e cris mon chemin, tu peux suivre mes pense es a la trace | |
Je pisse de l' encre a grosse dose, c' est du hard a l' eau de rose | |
Je de flore les feuilles vierges, elles saignent car ma plume est trop grosse. | |
Refrain nbsp: | |
La lumie re m' obscurcit, c' est la poe sie du UZI, du Uzi | |
La vie me tape un striptease, | |
Et ma plume durcit, ma plume durcit | |
Sur la feuille je me de verse | |
Prend la forme de mon esprit, de mon esprit | |
La vie me tape un strip tease | |
Et ma plume durcit, ma plume durcit | |
Ici c' est froid, une vie de russe | |
Je fais bugger ton esprit, je suis le virus | |
Tu peux toujours me trouver dans une roulette Russe | |
Je me de verse sur la feuille, prends la forme du virus. | |
J' emme ne la mise re plus loin que l' espoir, | |
J'e cris l' histoire en faisant des fautes | |
Qui ont le me rite d' tre since res en de chargeant mon savoir | |
Parfois aussi vulgaire qu' une branlette Espagnole | |
C' est l' apre sguerre, l'e poque de Rohff pas de Marcel Pagnol | |
Je suis pas votre douleur banale qui tant vous afflige | |
Mais le prix a payer pour le mal qu' on nous inflige | |
La gloire des pauvres, la menace des riches | |
Le poids des mensonges colorant leur vie monotone qui vous aguiche | |
Qui suisje? Un e lectron libre au viol de ton ego | |
Un grand coup de calibre, artistiquement un fle au ne gro | |
J' ai joue le jeu sans avoir les bonnes cartes | |
Plus studieux qu' un e narque, plus majestueux qu' un monarque | |
Le 94 a ses couilles enregistre es a la pre fecture | |
La marginalite ma culture, je suis fait de ratures | |
Virus de la litte rature, comme en agriculture | |
Je laboure mon terrain, impose ma tempe rature | |
Y' a de quoi faire transpirer les gorilles dans la brume | |
Faire crier les loups du haut des collines car mon CD c' est la pleine lune | |
Mon coeur un cimetie re de sentiments d' amertume | |
Je coupe la langue de molie re apre s qu' elle m' ait le che la plume. | |
Refrain nbsp: | |
La lumie re m' obscurcit, c' est la poe sie du UZI, du Uzi | |
La vie me tape un striptease, | |
Et ma plume durcit, ma plume durcit | |
Sur la feuille je me de verse | |
Prend la forme de mon esprit, de mon esprit | |
La vie me tape un strip tease | |
Et ma plume durcit, ma plume durcit |
Le rap Fran ais rappe en solo, trop filou pour ton prof de philo | |
La folie du stylo, je fais des chiffres avec des lettres au culot | |
Je pè se 94 kilos 400 grammes, avec un M16 | |
Je perds un gramme, c' est le drame | |
La violence est commerciale, par son charme j' en té moigne | |
Je suis le dernier é cho, d' une symphonie qui s'é loigne | |
Le rap un billet que j' authentifie comme un filigrane | |
Les rappeurs zigzaguent, finissent en ligne droite comme un cardiogramme | |
Sache qu' un aveugle me voit mieux quand je chante | |
Et que j' ai la voix du silence, donc les sourds m' entendent | |
Je suis venu du bled le ventre balloné par malnutrition | |
J' ai d apprendre à parler devant la té lé vision | |
Je manie la langue comme un cobra, | |
Mon expression t'é trangle, comme un boa | |
Je me demande à quoi sert le baccalauré at | |
Destin de cancre, je serais resté en sixiè me | |
Sans antisè che, les premiers de la classe me craignent. | |
Refrain nbsp: | |
La lumiè re m' obscurcit, c' est la poé sie du UZI, du Uzi | |
La vie me tape un striptease, | |
Et ma plume durcit, ma plume durcit | |
Sur la feuille je me dé verse | |
Prend la forme de mon esprit, de mon esprit | |
La vie me tape un strip tease | |
Et ma plume durcit, ma plume durcit | |
Je tra ne la vie comme un boulet, mon talon d' Achille meurtri | |
Je suis la main, le coude, l'é paule, le cou la forme de l' esprit | |
Symbole d' une vie cé leste qui marque | |
Un des cycles de la mort, comme un trimestre | |
Le naturel humain fait parler la presse, je me dresse | |
Point culminant des paysages urbains, comme le mont Everest | |
J'é pate les acadé miciens, rebelle comme un milicien | |
Ma cré dibilité est envié e des politiciens | |
Je balance des machettes reviens au galop | |
Brandissant la t te, des chevaliers des arts et des lettres | |
Une rafale ramè ne le calme d' une bibliothè que | |
La tolé rance une nymphomane, faut la buter pour qu' elle arr te | |
Je conjugue mes raisons, é numé rant les contradictions | |
Qui font de moi cet tre, que je cherche encore à conna tre | |
Je suis une multiple schizophré nie, é touffé e dans l' anatomie | |
V tu de tissus à dé faut d' tre enroulé comme une momie | |
Je ne suis fait ni de chair ni de sang, mais de lave et de glace | |
J'é cris mon chemin, tu peux suivre mes pensé es à la trace | |
Je pisse de l' encre à grosse dose, c' est du hard à l' eau de rose | |
Je dé flore les feuilles vierges, elles saignent car ma plume est trop grosse. | |
Refrain nbsp: | |
La lumiè re m' obscurcit, c' est la poé sie du UZI, du Uzi | |
La vie me tape un striptease, | |
Et ma plume durcit, ma plume durcit | |
Sur la feuille je me dé verse | |
Prend la forme de mon esprit, de mon esprit | |
La vie me tape un strip tease | |
Et ma plume durcit, ma plume durcit | |
Ici c' est froid, une vie de russe | |
Je fais bugger ton esprit, je suis le virus | |
Tu peux toujours me trouver dans une roulette Russe | |
Je me dé verse sur la feuille, prends la forme du virus. | |
J' emmè ne la misè re plus loin que l' espoir, | |
J'é cris l' histoire en faisant des fautes | |
Qui ont le mé rite d' tre sincè res en dé chargeant mon savoir | |
Parfois aussi vulgaire qu' une branlette Espagnole | |
C' est l' aprè sguerre, l'é poque de Rohff pas de Marcel Pagnol | |
Je suis pas votre douleur banale qui tant vous afflige | |
Mais le prix à payer pour le mal qu' on nous inflige | |
La gloire des pauvres, la menace des riches | |
Le poids des mensonges colorant leur vie monotone qui vous aguiche | |
Qui suisje? Un é lectron libre au viol de ton ego | |
Un grand coup de calibre, artistiquement un flé au né gro | |
J' ai joué le jeu sans avoir les bonnes cartes | |
Plus studieux qu' un é narque, plus majestueux qu' un monarque | |
Le 94 a ses couilles enregistré es à la pré fecture | |
La marginalité ma culture, je suis fait de ratures | |
Virus de la litté rature, comme en agriculture | |
Je laboure mon terrain, impose ma tempé rature | |
Y' a de quoi faire transpirer les gorilles dans la brume | |
Faire crier les loups du haut des collines car mon CD c' est la pleine lune | |
Mon coeur un cimetiè re de sentiments d' amertume | |
Je coupe la langue de moliè re aprè s qu' elle m' ait lé ché la plume. | |
Refrain nbsp: | |
La lumiè re m' obscurcit, c' est la poé sie du UZI, du Uzi | |
La vie me tape un striptease, | |
Et ma plume durcit, ma plume durcit | |
Sur la feuille je me dé verse | |
Prend la forme de mon esprit, de mon esprit | |
La vie me tape un strip tease | |
Et ma plume durcit, ma plume durcit |