Song | Elle Donne Son Corps Avant Son Nom |
Artist | IAM |
Album | Anthologie IAM 2008 |
Download | Image LRC TXT |
On était assis à la terrasse d'un café, relax | |
Deux verres de Perrier sur la table en train de déguster une glace | |
Neuf heures du soir la place était presque pleine mais | |
Pas assez pour ne pas voir arriver le phénomène | |
Méditerranéenne, mixée comme chez nous | |
Basses, aigus, à fond, "wooou" elle envoyait la ganzou | |
Elle est venue s'asseoir à côté de nous | |
Une clope cousine ? | |
Quoi, t'as ton mec, nous on est pas jaloux | |
Deux mètres, cent dix kilos, il s'est pointé | |
Illico aussi sec on est retourné à nos Perriers | |
Je suis pas fou, le type était balèze | |
Pas question de s'embrouiller, de se faire plier par Golgoth 13 | |
Mais la gadji reluquait, regard aguicheur | |
Elle essayait quand même de me faire du pied | |
Une Vodka, la commande est passée | |
Son mec va au comptoir, elle nous fait glisser un billet | |
"Rendez-vous à dix heures à votre appart', dites-moi où c'est | |
Une copine va m'accompagner" | |
Elle se leva, la main crispée sur le papier un clin d'œil discret | |
La soirée était bien commencée, ouais ! | |
{Refrain:} | |
Dans toutes les situations, sans inhibition | |
Elle donne son corps avant son nom | |
Je préparais la pièce et les armures de latex | |
Les sticks de "popo", le stand de tir sur le bultex | |
Et moi à peine arrivé en bas, elles étaient déjà là | |
La pure motivation, mon gars | |
Dans l'ascenseur il ne faisait pas chaud | |
Mais une autre chaleur, leur fit déjà sauter les tricots | |
Elles arrivèrent dans la maison en Wondrebras | |
Vision irréelle, fracture nette de l'œil droit | |
On leur proposa de boire ou de manger un truc | |
Un cappuccino deux sucres roux, elles aimaient le luxe | |
Je leur ai dit "Excusez-moi, prenez-le bien certes | |
Vous êtes raffinées, mais vous avez l'air de deux filles ouvertes" | |
Dix secondes après c'était la cavalcade | |
Et comme Jackie Chan, on a fait nous-mêmes nos cascades | |
Au matin ce ne sont que les draps que j'ai senti | |
Les cascadeuses étaient parties | |
En m'habillant, je palpais mes poches : vides | |
Plus de chèque, plus de carte, plus de liquide | |
Le plan était simple et sans accroc | |
Si on rattrape les gazières, on les éclate à coup de marteau | |
On a foncé au centre ville, on a aperçu les filles | |
Pénétré dans un bar américain | |
Devant la porte, il y avait le type du bar, la baraque | |
On a compris mais trop tard que ce mec était leur mac | |
J'ai du trouver un exutoire pour passer mes nerfs | |
Et un skin a morflé des coups de black et decker | |
Traitez les filles avec respect mais attention | |
Prenez garde à celle qui ne donne pas leur nom | |
{Refrain} |
On e tait assis a la terrasse d' un cafe, relax | |
Deux verres de Perrier sur la table en train de de guster une glace | |
Neuf heures du soir la place e tait presque pleine mais | |
Pas assez pour ne pas voir arriver le phe nome ne | |
Me diterrane enne, mixe e comme chez nous | |
Basses, aigus, a fond, " wooou" elle envoyait la ganzou | |
Elle est venue s' asseoir a c te de nous | |
Une clope cousine nbsp? | |
Quoi, t' as ton mec, nous on est pas jaloux | |
Deux me tres, cent dix kilos, il s' est pointe | |
Illico aussi sec on est retourne a nos Perriers | |
Je suis pas fou, le type e tait bale ze | |
Pas question de s' embrouiller, de se faire plier par Golgoth 13 | |
Mais la gadji reluquait, regard aguicheur | |
Elle essayait quand m me de me faire du pied | |
Une Vodka, la commande est passe e | |
Son mec va au comptoir, elle nous fait glisser un billet | |
" Rendezvous a dix heures a votre appart', ditesmoi ou c' est | |
Une copine va m' accompagner" | |
Elle se leva, la main crispe e sur le papier un clin d' il discret | |
La soire e e tait bien commence e, ouais nbsp! | |
Refrain: | |
Dans toutes les situations, sans inhibition | |
Elle donne son corps avant son nom | |
Je pre parais la pie ce et les armures de latex | |
Les sticks de " popo", le stand de tir sur le bultex | |
Et moi a peine arrive en bas, elles e taient de ja la | |
La pure motivation, mon gars | |
Dans l' ascenseur il ne faisait pas chaud | |
Mais une autre chaleur, leur fit de ja sauter les tricots | |
Elles arrive rent dans la maison en Wondrebras | |
Vision irre elle, fracture nette de l' il droit | |
On leur proposa de boire ou de manger un truc | |
Un cappuccino deux sucres roux, elles aimaient le luxe | |
Je leur ai dit " Excusezmoi, prenezle bien certes | |
Vous tes raffine es, mais vous avez l' air de deux filles ouvertes" | |
Dix secondes apre s c'e tait la cavalcade | |
Et comme Jackie Chan, on a fait nousm mes nos cascades | |
Au matin ce ne sont que les draps que j' ai senti | |
Les cascadeuses e taient parties | |
En m' habillant, je palpais mes poches nbsp: vides | |
Plus de che que, plus de carte, plus de liquide | |
Le plan e tait simple et sans accroc | |
Si on rattrape les gazie res, on les e clate a coup de marteau | |
On a fonce au centre ville, on a aper u les filles | |
Pe ne tre dans un bar ame ricain | |
Devant la porte, il y avait le type du bar, la baraque | |
On a compris mais trop tard que ce mec e tait leur mac | |
J' ai du trouver un exutoire pour passer mes nerfs | |
Et un skin a morfle des coups de black et decker | |
Traitez les filles avec respect mais attention | |
Prenez garde a celle qui ne donne pas leur nom | |
Refrain |
On é tait assis à la terrasse d' un café, relax | |
Deux verres de Perrier sur la table en train de dé guster une glace | |
Neuf heures du soir la place é tait presque pleine mais | |
Pas assez pour ne pas voir arriver le phé nomè ne | |
Mé diterrané enne, mixé e comme chez nous | |
Basses, aigus, à fond, " wooou" elle envoyait la ganzou | |
Elle est venue s' asseoir à c té de nous | |
Une clope cousine nbsp? | |
Quoi, t' as ton mec, nous on est pas jaloux | |
Deux mè tres, cent dix kilos, il s' est pointé | |
Illico aussi sec on est retourné à nos Perriers | |
Je suis pas fou, le type é tait balè ze | |
Pas question de s' embrouiller, de se faire plier par Golgoth 13 | |
Mais la gadji reluquait, regard aguicheur | |
Elle essayait quand m me de me faire du pied | |
Une Vodka, la commande est passé e | |
Son mec va au comptoir, elle nous fait glisser un billet | |
" Rendezvous à dix heures à votre appart', ditesmoi où c' est | |
Une copine va m' accompagner" | |
Elle se leva, la main crispé e sur le papier un clin d' il discret | |
La soiré e é tait bien commencé e, ouais nbsp! | |
Refrain: | |
Dans toutes les situations, sans inhibition | |
Elle donne son corps avant son nom | |
Je pré parais la piè ce et les armures de latex | |
Les sticks de " popo", le stand de tir sur le bultex | |
Et moi à peine arrivé en bas, elles é taient dé jà là | |
La pure motivation, mon gars | |
Dans l' ascenseur il ne faisait pas chaud | |
Mais une autre chaleur, leur fit dé jà sauter les tricots | |
Elles arrivè rent dans la maison en Wondrebras | |
Vision irré elle, fracture nette de l' il droit | |
On leur proposa de boire ou de manger un truc | |
Un cappuccino deux sucres roux, elles aimaient le luxe | |
Je leur ai dit " Excusezmoi, prenezle bien certes | |
Vous tes raffiné es, mais vous avez l' air de deux filles ouvertes" | |
Dix secondes aprè s c'é tait la cavalcade | |
Et comme Jackie Chan, on a fait nousm mes nos cascades | |
Au matin ce ne sont que les draps que j' ai senti | |
Les cascadeuses é taient parties | |
En m' habillant, je palpais mes poches nbsp: vides | |
Plus de chè que, plus de carte, plus de liquide | |
Le plan é tait simple et sans accroc | |
Si on rattrape les gaziè res, on les é clate à coup de marteau | |
On a foncé au centre ville, on a aper u les filles | |
Pé né tré dans un bar amé ricain | |
Devant la porte, il y avait le type du bar, la baraque | |
On a compris mais trop tard que ce mec é tait leur mac | |
J' ai du trouver un exutoire pour passer mes nerfs | |
Et un skin a morflé des coups de black et decker | |
Traitez les filles avec respect mais attention | |
Prenez garde à celle qui ne donne pas leur nom | |
Refrain |