Song | Borborygmes |
Artist | Thomas Fersen |
Album | Pièce montée des grands jours |
作曲 : Fersen | |
Roselyne et moi, nous regardons l'plafond, | |
Mon estomac produit des borborygmes, | |
Mon oesophage fait des bruits de siphon, | |
Je n'y peux rien, le ventre est une énigme. | |
Quoi qu'il en soit, j'aimerais filer d'ici, | |
D'autant que son genou appuie sur ma vessie. | |
Je n'aurais pas la jambe ankylosée | |
Si nous avions des lits superposés. | |
Autant aller fumer dans les waters, | |
Je sais c'que c'est que de dormir par terre. | |
J'en ai passé des heures au bord du lit, | |
Quand ma moitié ronflait comme un grizzly. | |
Tissu au mur et mobilier ancien, | |
Il est affreux ce masuqe vénitien, | |
J'ai vu les mêmes hier à Monoprix, | |
Sont les pensées qui meublent mon esprit. | |
Quoi qu'il en soit, ça manque d'aération, | |
D'autant que son haleine vient dans ma direction. | |
Elle n'aurait pas la bouche qui fermente, | |
Si elle suçait des bonbons à la menthe. | |
Autant aller fumer dans les waters, | |
Je sais c'que c'est que de dormir par terre. | |
J'en ai passé des heures sur le balcon, | |
À la fenêtre, ou au bout du wagon. | |
Quoi qu'il en soit, elle voudrait vivre seule. | |
Tanpis pour elle car même si on s'engueule, | |
C'est suffisant un lit de camp pour deux. | |
On ne fait qu'un quand on est amoureux. | |
Autant aller fumer dans les waters, | |
Je sais c'que c'est que de dormir par terre. | |
J'en ai passé des heures sur le balcon, | |
À la fenêtre, ou au bout du wagon |
zuò qǔ : Fersen | |
Roselyne et moi, nous regardons l' plafond, | |
Mon estomac produit des borborygmes, | |
Mon oesophage fait des bruits de siphon, | |
Je n' y peux rien, le ventre est une é nigme. | |
Quoi qu' il en soit, j' aimerais filer d' ici, | |
D' autant que son genou appuie sur ma vessie. | |
Je n' aurais pas la jambe ankylosé e | |
Si nous avions des lits superposé s. | |
Autant aller fumer dans les waters, | |
Je sais c' que c' est que de dormir par terre. | |
J' en ai passé des heures au bord du lit, | |
Quand ma moitié ronflait comme un grizzly. | |
Tissu au mur et mobilier ancien, | |
Il est affreux ce masuqe vé nitien, | |
J' ai vu les m mes hier à Monoprix, | |
Sont les pensé es qui meublent mon esprit. | |
Quoi qu' il en soit, a manque d' aé ration, | |
D' autant que son haleine vient dans ma direction. | |
Elle n' aurait pas la bouche qui fermente, | |
Si elle su ait des bonbons à la menthe. | |
Autant aller fumer dans les waters, | |
Je sais c' que c' est que de dormir par terre. | |
J' en ai passé des heures sur le balcon, | |
À la fen tre, ou au bout du wagon. | |
Quoi qu' il en soit, elle voudrait vivre seule. | |
Tanpis pour elle car m me si on s' engueule, | |
C' est suffisant un lit de camp pour deux. | |
On ne fait qu' un quand on est amoureux. | |
Autant aller fumer dans les waters, | |
Je sais c' que c' est que de dormir par terre. | |
J' en ai passé des heures sur le balcon, | |
À la fen tre, ou au bout du wagon |