Song | Au café du canal - Chant |
Artist | Les Ogres de Barback |
Album | Fausses notes et repris de justesse |
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Chez la jolie Rosette au café du canal | |
Sous le tronc du tilleul qui ombrageait le bal | |
On pouvait lire sous deux coeurs entrelacés | |
Ici on peut apporter ses baisers | |
Moi mes baisers je les avais perdus | |
Et je croyais déjà avoir tout embrassé | |
Et je ne savais pas que tu étais venue | |
Et que ta bouche neuve en était tapissée | |
La chance jusqu'ici ne m'avait pas souri | |
Sur mon berceau les fées n'se penchaient pas beaucoup | |
Et chaque fois que j'tombais sur un carré d'orties | |
Y'avait une guêpe pour me piquer dans l'cou | |
Pourtant ma chance aujourd'hui elle est là | |
Sous la tonnelle verte de tes cils courbés | |
Quand tu m'as regardé pour la première fois! | |
Ma vieille liberté s'est mise à tituber | |
Nous étions seuls au monde en ce bal populeux | |
Et d'une seule main je prisonnait ta taille | |
Tes seins poussaient les plis de ton corsage bleu | |
Ils ont bien failli gagner la bataille | |
J'aime le ciel parc'qu'il est dans tes yeux | |
J'aime l'oiseau parc'qu'il sait ton nom | |
J'aime ton rire et tous ces mots curieux | |
Que tu viens murmurer au col de mon veston! | |
Et je revois tes mains croisées sur ta poitrine | |
Tes habits jetés sur une chaise au pied du lit | |
Ton pauvre coeur faisait des p'tits bons de sardines | |
Quand j'ai posé ma tête contre lui! | |
Dieu tu remercies Dieu ça c'est bien de toi | |
Mais mon amour pour toi est autrement plus fort | |
Est-ce que Dieu aurait pu dormir auprès de toi? | |
Pendant toute une nuit sans toucher à ton corps | |
Chez la jolie Rosette au café du canal | |
Sous le tronc du tilleul qui ombrageait le bal | |
On pouvait lire sous deux coeurs entrelacés | |
Ici on peut apporter ses baisers |
Chez la jolie Rosette au cafe du canal | |
Sous le tronc du tilleul qui ombrageait le bal | |
On pouvait lire sous deux coeurs entrelace s | |
Ici on peut apporter ses baisers | |
Moi mes baisers je les avais perdus | |
Et je croyais de ja avoir tout embrasse | |
Et je ne savais pas que tu e tais venue | |
Et que ta bouche neuve en e tait tapisse e | |
La chance jusqu' ici ne m' avait pas souri | |
Sur mon berceau les fe es n' se penchaient pas beaucoup | |
Et chaque fois que j' tombais sur un carre d' orties | |
Y' avait une gu pe pour me piquer dans l' cou | |
Pourtant ma chance aujourd' hui elle est la | |
Sous la tonnelle verte de tes cils courbe s | |
Quand tu m' as regarde pour la premie re fois! | |
Ma vieille liberte s' est mise a tituber | |
Nous e tions seuls au monde en ce bal populeux | |
Et d' une seule main je prisonnait ta taille | |
Tes seins poussaient les plis de ton corsage bleu | |
Ils ont bien failli gagner la bataille | |
J' aime le ciel parc' qu' il est dans tes yeux | |
J' aime l' oiseau parc' qu' il sait ton nom | |
J' aime ton rire et tous ces mots curieux | |
Que tu viens murmurer au col de mon veston! | |
Et je revois tes mains croise es sur ta poitrine | |
Tes habits jete s sur une chaise au pied du lit | |
Ton pauvre coeur faisait des p' tits bons de sardines | |
Quand j' ai pose ma t te contre lui! | |
Dieu tu remercies Dieu a c' est bien de toi | |
Mais mon amour pour toi est autrement plus fort | |
Estce que Dieu aurait pu dormir aupre s de toi? | |
Pendant toute une nuit sans toucher a ton corps | |
Chez la jolie Rosette au cafe du canal | |
Sous le tronc du tilleul qui ombrageait le bal | |
On pouvait lire sous deux coeurs entrelace s | |
Ici on peut apporter ses baisers |
Chez la jolie Rosette au café du canal | |
Sous le tronc du tilleul qui ombrageait le bal | |
On pouvait lire sous deux coeurs entrelacé s | |
Ici on peut apporter ses baisers | |
Moi mes baisers je les avais perdus | |
Et je croyais dé jà avoir tout embrassé | |
Et je ne savais pas que tu é tais venue | |
Et que ta bouche neuve en é tait tapissé e | |
La chance jusqu' ici ne m' avait pas souri | |
Sur mon berceau les fé es n' se penchaient pas beaucoup | |
Et chaque fois que j' tombais sur un carré d' orties | |
Y' avait une gu pe pour me piquer dans l' cou | |
Pourtant ma chance aujourd' hui elle est là | |
Sous la tonnelle verte de tes cils courbé s | |
Quand tu m' as regardé pour la premiè re fois! | |
Ma vieille liberté s' est mise à tituber | |
Nous é tions seuls au monde en ce bal populeux | |
Et d' une seule main je prisonnait ta taille | |
Tes seins poussaient les plis de ton corsage bleu | |
Ils ont bien failli gagner la bataille | |
J' aime le ciel parc' qu' il est dans tes yeux | |
J' aime l' oiseau parc' qu' il sait ton nom | |
J' aime ton rire et tous ces mots curieux | |
Que tu viens murmurer au col de mon veston! | |
Et je revois tes mains croisé es sur ta poitrine | |
Tes habits jeté s sur une chaise au pied du lit | |
Ton pauvre coeur faisait des p' tits bons de sardines | |
Quand j' ai posé ma t te contre lui! | |
Dieu tu remercies Dieu a c' est bien de toi | |
Mais mon amour pour toi est autrement plus fort | |
Estce que Dieu aurait pu dormir auprè s de toi? | |
Pendant toute une nuit sans toucher à ton corps | |
Chez la jolie Rosette au café du canal | |
Sous le tronc du tilleul qui ombrageait le bal | |
On pouvait lire sous deux coeurs entrelacé s | |
Ici on peut apporter ses baisers |