Song | Ni dieu, ni dieue - Chant |
Artist | Les Ogres de Barback |
Album | Du simple au néant |
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Sur cet air lent je voudrais vous parler | |
Enervé, d'un tourment qui m'agresse, insensé! | |
Ce ne sont pour moi pas des façons | |
De dire "femme, tu es la tentation." | |
Et c'est sûrement une histoire de culture | |
Ou cent pour cent de mes idées impures | |
Je ne vois pas le bien, que le mal | |
Qui dit "Femme, je t'aime donc je te voile" | |
C'est un pour sûr : Ras le bol général | |
De ceux qui, purs, infligent la morale | |
De leur religion universelle | |
Qui abaissent les femmes au pluriel | |
De la calotte, des kippas au foulard | |
De la carotte, au bâton qui ce soir | |
Frappera pour avoir douté dieu | |
"Je te bats, femme, mais c'est pour ton mieux" | |
C'est certainement une histoire de raté | |
En m'éduquant mes parents ont oublié | |
De me dire "tu comprends la raison | |
D'une femme qui subit l'excision" | |
Quand ils émiettent l'amour à ton insu | |
Qu'ils te promettent à un homme inconnu | |
Ils brandissent leurs versets de malheur | |
"Tu épouses cet homme, femme, ou tu meurs" | |
Et c'est surtout toujours la même histoire | |
L'homme est un fou de dieu et du pouvoir | |
Et s'ils versent le sang innocent | |
Ils crient "femme, tu te trompe je te prends" | |
Et tu peux voir et tu peux constater | |
Dans la mémoire de notre humanité | |
Pas une ligne pas une explication | |
Qui dit "femme, subis leur punition" | |
Moi qui ne crois en rien ni en personne | |
Pas même en toi de ces mots je te donne | |
Toute mon âme si un jour pacifique | |
Il te laisse, femme, prêcher le mystique | |
Toujours surpris qu'un peuple dans la rue | |
Ensemble crie sa haine et son refus | |
D'un dessin qui insulterait dieu | |
Quand ta faim, femme, les laisse silencieux | |
C'est sans vouloir l'amalgame général | |
Qu'un jour sur noir en blanc, on me régale | |
D'une prière qui sans concession | |
Laisse claire, femme, une place à ton nom | |
Et c'est sans doute pour surmonter la peur | |
Qu'un jour ma route diable ! croise la leur | |
Ils grandissent et après ils deviennent | |
Ceux qui maudissent, femme, ta vie et la mienne | |
Et si profane ils me jugent ici bas | |
S'ils me condamnent de leur divine loi | |
S'ils me tuent ils ne regrettent rien | |
Dieu pardonne, femme, même aux assassins | |
(Merci à Chaminou pour cettes paroles) |
Sur cet air lent je voudrais vous parler | |
Enerve, d' un tourment qui m' agresse, insense! | |
Ce ne sont pour moi pas des fa ons | |
De dire " femme, tu es la tentation." | |
Et c' est s rement une histoire de culture | |
Ou cent pour cent de mes ide es impures | |
Je ne vois pas le bien, que le mal | |
Qui dit " Femme, je t' aime donc je te voile" | |
C' est un pour s r nbsp: Ras le bol ge ne ral | |
De ceux qui, purs, infligent la morale | |
De leur religion universelle | |
Qui abaissent les femmes au pluriel | |
De la calotte, des kippas au foulard | |
De la carotte, au b ton qui ce soir | |
Frappera pour avoir doute dieu | |
" Je te bats, femme, mais c' est pour ton mieux" | |
C' est certainement une histoire de rate | |
En m'e duquant mes parents ont oublie | |
De me dire " tu comprends la raison | |
D' une femme qui subit l' excision" | |
Quand ils e miettent l' amour a ton insu | |
Qu' ils te promettent a un homme inconnu | |
Ils brandissent leurs versets de malheur | |
" Tu e pouses cet homme, femme, ou tu meurs" | |
Et c' est surtout toujours la m me histoire | |
L' homme est un fou de dieu et du pouvoir | |
Et s' ils versent le sang innocent | |
Ils crient " femme, tu te trompe je te prends" | |
Et tu peux voir et tu peux constater | |
Dans la me moire de notre humanite | |
Pas une ligne pas une explication | |
Qui dit " femme, subis leur punition" | |
Moi qui ne crois en rien ni en personne | |
Pas m me en toi de ces mots je te donne | |
Toute mon me si un jour pacifique | |
Il te laisse, femme, pr cher le mystique | |
Toujours surpris qu' un peuple dans la rue | |
Ensemble crie sa haine et son refus | |
D' un dessin qui insulterait dieu | |
Quand ta faim, femme, les laisse silencieux | |
C' est sans vouloir l' amalgame ge ne ral | |
Qu' un jour sur noir en blanc, on me re gale | |
D' une prie re qui sans concession | |
Laisse claire, femme, une place a ton nom | |
Et c' est sans doute pour surmonter la peur | |
Qu' un jour ma route diable nbsp! croise la leur | |
Ils grandissent et apre s ils deviennent | |
Ceux qui maudissent, femme, ta vie et la mienne | |
Et si profane ils me jugent ici bas | |
S' ils me condamnent de leur divine loi | |
S' ils me tuent ils ne regrettent rien | |
Dieu pardonne, femme, m me aux assassins | |
Merci a Chaminou pour cettes paroles |
Sur cet air lent je voudrais vous parler | |
Enervé, d' un tourment qui m' agresse, insensé! | |
Ce ne sont pour moi pas des fa ons | |
De dire " femme, tu es la tentation." | |
Et c' est s rement une histoire de culture | |
Ou cent pour cent de mes idé es impures | |
Je ne vois pas le bien, que le mal | |
Qui dit " Femme, je t' aime donc je te voile" | |
C' est un pour s r nbsp: Ras le bol gé né ral | |
De ceux qui, purs, infligent la morale | |
De leur religion universelle | |
Qui abaissent les femmes au pluriel | |
De la calotte, des kippas au foulard | |
De la carotte, au b ton qui ce soir | |
Frappera pour avoir douté dieu | |
" Je te bats, femme, mais c' est pour ton mieux" | |
C' est certainement une histoire de raté | |
En m'é duquant mes parents ont oublié | |
De me dire " tu comprends la raison | |
D' une femme qui subit l' excision" | |
Quand ils é miettent l' amour à ton insu | |
Qu' ils te promettent à un homme inconnu | |
Ils brandissent leurs versets de malheur | |
" Tu é pouses cet homme, femme, ou tu meurs" | |
Et c' est surtout toujours la m me histoire | |
L' homme est un fou de dieu et du pouvoir | |
Et s' ils versent le sang innocent | |
Ils crient " femme, tu te trompe je te prends" | |
Et tu peux voir et tu peux constater | |
Dans la mé moire de notre humanité | |
Pas une ligne pas une explication | |
Qui dit " femme, subis leur punition" | |
Moi qui ne crois en rien ni en personne | |
Pas m me en toi de ces mots je te donne | |
Toute mon me si un jour pacifique | |
Il te laisse, femme, pr cher le mystique | |
Toujours surpris qu' un peuple dans la rue | |
Ensemble crie sa haine et son refus | |
D' un dessin qui insulterait dieu | |
Quand ta faim, femme, les laisse silencieux | |
C' est sans vouloir l' amalgame gé né ral | |
Qu' un jour sur noir en blanc, on me ré gale | |
D' une priè re qui sans concession | |
Laisse claire, femme, une place à ton nom | |
Et c' est sans doute pour surmonter la peur | |
Qu' un jour ma route diable nbsp! croise la leur | |
Ils grandissent et aprè s ils deviennent | |
Ceux qui maudissent, femme, ta vie et la mienne | |
Et si profane ils me jugent ici bas | |
S' ils me condamnent de leur divine loi | |
S' ils me tuent ils ne regrettent rien | |
Dieu pardonne, femme, m me aux assassins | |
Merci à Chaminou pour cettes paroles |