Song | Petit Colibri |
Artist | Vive la Fête |
Album | Disque D'Or |
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作曲 : Mommens, Pynoo | |
L’avion se pose enfin sans refermer les ailes | |
Le ciel s’emplit alors de millions d’hirondelles | |
À tire d’aile viennent les corbeaux les faucons les hiboux | |
D’Afrique arrivent les ibis les flamants les marabouts | |
L’oiseau Roc célébré par les conteurs et les poètes | |
Plane tenant dans les serres le crâne d’Adam la première tête | |
L’aigle fond de l’horizon en poussant un grand cri | |
Et d’Amérique vient le petit colibri | |
De Chine sont venus les pihis longs et souples | |
Qui n’ont qu’une seule aile et qui volent par couples | |
Puis voici la colombe esprit immaculé | |
Qu’escortent l’oiseau-lyre et le paon ocellé | |
Le phénix ce bûcher qui soi-même s’engendre | |
Un instant voile tout de son ardente cendre | |
Les sirènes laissant les périlleux détroits | |
Arrivent en chantant bellement toutes trois | |
Et tous aigle phénix et pihis de la Chine | |
Fraternisent avec la volante machine | |
Maintenant tu marches dans Paris tout seul parmi la foule | |
Des troupeaux d’autobus mugissants près de toi roulent | |
L’angoisse de l’amour te serre le gosier | |
Comme si tu ne devais jamais plus être aimé | |
Si tu vivais dans l’ancien temps tu entrerais dans un monastère | |
Vous avez honte quand vous vous surprenez à dire une prière | |
Tu te moques de toi et comme le feu de l’Enfer ton rire pétille | |
Les étincelles de ton rire dorent le fond de ta vie | |
C’est un tableau pendu dans un sombre musée | |
Et quelquefois tu vas le regarder de près | |
Aujourd’hui tu marches dans Paris les femmes sont ensanglantées | |
C’était et je voudrais ne pas m’en souvenir c’était au déclin de la beauté | |
Entourée de flammes ferventes Notre-Dame m’a regardé à Chartres | |
Le sang de votre Sacré-Cœur m’a inondé à Montmartre | |
Je suis malade d’ouïr les paroles bienheureuses | |
L’avion se pose enfin sans refermer les ailes | |
Le ciel s’emplit alors de millions d’hirondelles | |
À tire d’aile viennent les corbeaux les faucons les hiboux | |
D’Afrique arrivent les ibis les flamants les marabouts | |
L’oiseau Roc célébré par les conteurs et les poètes | |
Plane tenant dans les serres le crâne d’Adam la première tête | |
L’aigle fond de l’horizon en poussant un grand cri | |
Et d’Amérique vient le petit colibri |
zuo qu : Mommens, Pynoo | |
L' avion se pose enfin sans refermer les ailes | |
Le ciel s' emplit alors de millions d' hirondelles | |
À tire d' aile viennent les corbeaux les faucons les hiboux | |
D' Afrique arrivent les ibis les flamants les marabouts | |
L' oiseau Roc ce le bre par les conteurs et les poe tes | |
Plane tenant dans les serres le cr ne d' Adam la premie re t te | |
L' aigle fond de l' horizon en poussant un grand cri | |
Et d' Ame rique vient le petit colibri | |
De Chine sont venus les pihis longs et souples | |
Qui n' ont qu' une seule aile et qui volent par couples | |
Puis voici la colombe esprit immacule | |
Qu' escortent l' oiseaulyre et le paon ocelle | |
Le phe nix ce b cher qui soim me s' engendre | |
Un instant voile tout de son ardente cendre | |
Les sire nes laissant les pe rilleux de troits | |
Arrivent en chantant bellement toutes trois | |
Et tous aigle phe nix et pihis de la Chine | |
Fraternisent avec la volante machine | |
Maintenant tu marches dans Paris tout seul parmi la foule | |
Des troupeaux d' autobus mugissants pre s de toi roulent | |
L' angoisse de l' amour te serre le gosier | |
Comme si tu ne devais jamais plus tre aime | |
Si tu vivais dans l' ancien temps tu entrerais dans un monaste re | |
Vous avez honte quand vous vous surprenez a dire une prie re | |
Tu te moques de toi et comme le feu de l' Enfer ton rire pe tille | |
Les e tincelles de ton rire dorent le fond de ta vie | |
C' est un tableau pendu dans un sombre muse e | |
Et quelquefois tu vas le regarder de pre s | |
Aujourd' hui tu marches dans Paris les femmes sont ensanglante es | |
C'e tait et je voudrais ne pas m' en souvenir c'e tait au de clin de la beaute | |
Entoure e de flammes ferventes NotreDame m' a regarde a Chartres | |
Le sang de votre Sacre C ur m' a inonde a Montmartre | |
Je suis malade d' ou r les paroles bienheureuses | |
L' avion se pose enfin sans refermer les ailes | |
Le ciel s' emplit alors de millions d' hirondelles | |
À tire d' aile viennent les corbeaux les faucons les hiboux | |
D' Afrique arrivent les ibis les flamants les marabouts | |
L' oiseau Roc ce le bre par les conteurs et les poe tes | |
Plane tenant dans les serres le cr ne d' Adam la premie re t te | |
L' aigle fond de l' horizon en poussant un grand cri | |
Et d' Ame rique vient le petit colibri |
zuò qǔ : Mommens, Pynoo | |
L' avion se pose enfin sans refermer les ailes | |
Le ciel s' emplit alors de millions d' hirondelles | |
À tire d' aile viennent les corbeaux les faucons les hiboux | |
D' Afrique arrivent les ibis les flamants les marabouts | |
L' oiseau Roc cé lé bré par les conteurs et les poè tes | |
Plane tenant dans les serres le cr ne d' Adam la premiè re t te | |
L' aigle fond de l' horizon en poussant un grand cri | |
Et d' Amé rique vient le petit colibri | |
De Chine sont venus les pihis longs et souples | |
Qui n' ont qu' une seule aile et qui volent par couples | |
Puis voici la colombe esprit immaculé | |
Qu' escortent l' oiseaulyre et le paon ocellé | |
Le phé nix ce b cher qui soim me s' engendre | |
Un instant voile tout de son ardente cendre | |
Les sirè nes laissant les pé rilleux dé troits | |
Arrivent en chantant bellement toutes trois | |
Et tous aigle phé nix et pihis de la Chine | |
Fraternisent avec la volante machine | |
Maintenant tu marches dans Paris tout seul parmi la foule | |
Des troupeaux d' autobus mugissants prè s de toi roulent | |
L' angoisse de l' amour te serre le gosier | |
Comme si tu ne devais jamais plus tre aimé | |
Si tu vivais dans l' ancien temps tu entrerais dans un monastè re | |
Vous avez honte quand vous vous surprenez à dire une priè re | |
Tu te moques de toi et comme le feu de l' Enfer ton rire pé tille | |
Les é tincelles de ton rire dorent le fond de ta vie | |
C' est un tableau pendu dans un sombre musé e | |
Et quelquefois tu vas le regarder de prè s | |
Aujourd' hui tu marches dans Paris les femmes sont ensanglanté es | |
C'é tait et je voudrais ne pas m' en souvenir c'é tait au dé clin de la beauté | |
Entouré e de flammes ferventes NotreDame m' a regardé à Chartres | |
Le sang de votre Sacré C ur m' a inondé à Montmartre | |
Je suis malade d' ou r les paroles bienheureuses | |
L' avion se pose enfin sans refermer les ailes | |
Le ciel s' emplit alors de millions d' hirondelles | |
À tire d' aile viennent les corbeaux les faucons les hiboux | |
D' Afrique arrivent les ibis les flamants les marabouts | |
L' oiseau Roc cé lé bré par les conteurs et les poè tes | |
Plane tenant dans les serres le cr ne d' Adam la premiè re t te | |
L' aigle fond de l' horizon en poussant un grand cri | |
Et d' Amé rique vient le petit colibri |