Song | Le Chant des Hommes |
Artist | TTC |
Album | Batards Sensibles |
CUIZINIER | |
Déconcertante est cette immense attente | |
Car ces dix ans d'attente se terminent au printemps | |
Aujourd'hui j'ai 20 ans je ne suis plus un enfant | |
Profitant de la vie comme jamais auparavant | |
J'ai quitté ma cabane pour une belle caravane | |
Confectionné une flûte avec ma sarbacane | |
Les soucis disparaissent car croissante est l'ivresse | |
Je domine, m'acoquine toutes les mantes et tigresses. | |
TEKI LATEX | |
Dans ma tête un air de saxophone, | |
Un vieux jazzman qui ne parle à personne, | |
Les souvenirs se mêlent aux klaxons, | |
Le visage de cette fille m'empoisonne. | |
TIDO BERMAN | |
Un peignoir mauve à capuche verte, une belle émeraude dans son regard clair. | |
Un ciel découvert, une piste et je décolle ou une pelle un cimetière et je | |
creuse, m'enterre. | |
Que choisir ou attendre mais pourquoi je respire, pour gravir écraser tous les | |
autres ou bâtir des Immeubles et prouver que je suis bon pour un échange de | |
plaisir un week-end, | |
Une vie en tandem, une vie en tandem, une vie en tandem, une vie en tandem... | |
CUIZINIER | |
Laissez vivre les sirènes, elles sont si fragiles de la porcelaine. | |
Les saisir est une aubaine mais je préfère les regarder dorer sous le soleil. | |
Fermant les yeux j'écoute au casque à fond les décibels | |
Cette musique rétroactive je fais les plus beaux rêves. | |
TEKI LATEX | |
À travers les rideaux gris les phares des voitures animent ma nuit | |
Et même si je ne la connais pas je sais déjà qu'elle n'est plus là. | |
Les bruits de la rue s'effacent et c'est mon cœur qui change de tempo. | |
Les yeux fixés vers le plafond je me raconte à demi-mot | |
TIDO BERMAN | |
Mon orgue se met à jouer seul le soir, | |
Est-ce une drogue? | |
Et je rêve je saigne, je crève je l'aime. | |
Quand je ferme les yeux, mes oreilles sont des paraboles, | |
Intentionné son visage dessiné, | |
Animée par l'envie d'extérioriser elle se réchauffe contre moi c'est une | |
cheminée. | |
Décompression totale dans maison de campagne, | |
Piscine, | |
Plongeoir, | |
Tennis, | |
Peignoir. | |
Parfois je suis si froid, tu sais. | |
Pensif et si loin j'admets. | |
Aimer, tout semble trop court, j'ai peur de tout perdre quand elle pleure de | |
bonheur..... | |
TEKI LATEX | |
Je rentre en retard navré | |
D'un rendez vous d'affaires | |
Dans mes vêtements trempés | |
Tu me dis de me taire | |
Au lieu de m'agacer | |
Tu ferais mieux de faire | |
Semblant d'avoir pensé | |
À mon anniversaire. | |
CUIZINIER | |
Car chaque jour | |
Les hommes courent après l'amour | |
Entêtés, tétanisés, dévalisés, à nu | |
Mais décidés à viser la lune | |
De miel plus d'une semaine je t'assure | |
Et que la lumière s'allume | |
Car l'amour court après les hommes chaque jour. | |
TTC X 2 | |
Entends-tu le chant des hommes qui courent après l'amour ? | |
Ce bruit sourd résonne nuit après nuit, jour après jour. |
CUIZINIER | |
Dé concertante est cette immense attente | |
Car ces dix ans d' attente se terminent au printemps | |
Aujourd' hui j' ai 20 ans je ne suis plus un enfant | |
Profitant de la vie comme jamais auparavant | |
J' ai quitté ma cabane pour une belle caravane | |
Confectionné une fl te avec ma sarbacane | |
Les soucis disparaissent car croissante est l' ivresse | |
Je domine, m' acoquine toutes les mantes et tigresses. | |
TEKI LATEX | |
Dans ma t te un air de saxophone, | |
Un vieux jazzman qui ne parle à personne, | |
Les souvenirs se m lent aux klaxons, | |
Le visage de cette fille m' empoisonne. | |
TIDO BERMAN | |
Un peignoir mauve à capuche verte, une belle é meraude dans son regard clair. | |
Un ciel dé couvert, une piste et je dé colle ou une pelle un cimetiè re et je | |
creuse, m' enterre. | |
Que choisir ou attendre mais pourquoi je respire, pour gravir é craser tous les | |
autres ou b tir des Immeubles et prouver que je suis bon pour un é change de | |
plaisir un weekend, | |
Une vie en tandem, une vie en tandem, une vie en tandem, une vie en tandem... | |
CUIZINIER | |
Laissez vivre les sirè nes, elles sont si fragiles de la porcelaine. | |
Les saisir est une aubaine mais je pré fè re les regarder dorer sous le soleil. | |
Fermant les yeux j'é coute au casque à fond les dé cibels | |
Cette musique ré troactive je fais les plus beaux r ves. | |
TEKI LATEX | |
À travers les rideaux gris les phares des voitures animent ma nuit | |
Et m me si je ne la connais pas je sais dé jà qu' elle n' est plus là. | |
Les bruits de la rue s' effacent et c' est mon c ur qui change de tempo. | |
Les yeux fixé s vers le plafond je me raconte à demimot | |
TIDO BERMAN | |
Mon orgue se met à jouer seul le soir, | |
Estce une drogue? | |
Et je r ve je saigne, je crè ve je l' aime. | |
Quand je ferme les yeux, mes oreilles sont des paraboles, | |
Intentionné son visage dessiné, | |
Animé e par l' envie d' exté rioriser elle se ré chauffe contre moi c' est une | |
cheminé e. | |
Dé compression totale dans maison de campagne, | |
Piscine, | |
Plongeoir, | |
Tennis, | |
Peignoir. | |
Parfois je suis si froid, tu sais. | |
Pensif et si loin j' admets. | |
Aimer, tout semble trop court, j' ai peur de tout perdre quand elle pleure de | |
bonheur..... | |
TEKI LATEX | |
Je rentre en retard navré | |
D' un rendez vous d' affaires | |
Dans mes v tements trempé s | |
Tu me dis de me taire | |
Au lieu de m' agacer | |
Tu ferais mieux de faire | |
Semblant d' avoir pensé | |
À mon anniversaire. | |
CUIZINIER | |
Car chaque jour | |
Les hommes courent aprè s l' amour | |
Ent té s, té tanisé s, dé valisé s, à nu | |
Mais dé cidé s à viser la lune | |
De miel plus d' une semaine je t' assure | |
Et que la lumiè re s' allume | |
Car l' amour court aprè s les hommes chaque jour. | |
TTC X 2 | |
Entendstu le chant des hommes qui courent aprè s l' amour nbsp? | |
Ce bruit sourd ré sonne nuit aprè s nuit, jour aprè s jour. |