Song | Fallait que je te dise |
Artist | Sniper |
Album | Trait pour trait |
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作曲 : Blacko, Sniper | |
Tunisiano | |
: | |
Fallait que je te dise comme je vais mal | |
Par un disque ou par des mots, en restant peace | |
Enfin fallait que je puisse | |
Te dire que je vis un rythme infernal | |
Que je suis dure à berner, borné, à la fois dur à cerner | |
J'fais rien d'exceptionnel, j'ai des tas de potes à l'habitude | |
Mais mon meilleur ami s'appelle solitude | |
Et j'opère en scred, j'en suis malade et sans remède | |
Car j'ai appris à me taire et pas à demander de l'aide | |
Plutôt réservé, non je ne déconne pas avec ce que je ne connais pas | |
Moi je préfère observer, une pensée aux plus grands | |
Naja et les siens, enfant t'étais si loin, j't'ai vu si peu souvent | |
Enfin j'aurais tellement aimé te voir à mes côtés | |
Me serrer, m'épauler ou m'empêcher de pleurer | |
Fallait que je te dise Ahmed, à mes yeux comme tu es cher | |
Tu es si droit, si fort à la fois et si fier | |
Tu m'a appris à me battre, à penser à | |
ghudwa | |
Tu as transformé mon rap en ayant confiance en moi | |
Tu as pris le rôle du daron qui t'allait de toute beauté | |
Lorsque j'ai fais le con tu m'a chicoté | |
Enfin bon, grande sœur, je t'aime et te remercie | |
Ta beauté et ta pudeur font la fierté de la famille | |
Je regrette de ne pouvoir te le dire je n'y arrive pas | |
Comme je regrette de ne pas te serrer plus souvent dans mes bras | |
Mais je suis comme ça, même s'il n'est pas trop tard | |
Discret et peu bavard, on se dit tout par le regard | |
Oh [?], je te dédie ces quelques phrases | |
Ces quelques phases et mon respect aussi | |
On a grandit ensemble, c'est fou comme on se ressemble | |
Quand tu tombes moi je pleure, quand j'ai froid toi tu trembles | |
Tu t'es assagit, ex- | |
mahbūl | |
aujourd'hui ça roule | |
Ex-baba cool, devenu papa poule | |
Fallait que j'te dise que mon bonheur t'es dédié | |
Tu peux marcher sur mon cœur car mon cœur est à tes pieds | |
Parfois les mots ne sortent pas | |
Ou restent tapis dans le silence, ça ne vient pas, ça ne sort pas | |
Moi je ne regrette rien, je crache ces mots qui me déstressent | |
Je m'adresse aux miens et je me lâche et me confesse | |
J'en ai tellement besoin, mon cœur est en feu de détresse | |
Comme ça me fait du bien de vous parler | |
Aketo | |
: | |
Fallait que je dise tout ce que j'ai | |
Jamais eu le courage de dire aux gens que j'aime à cause du tempérament que j'ai | |
Dur de l'écrire, encore plus dur de le rapper | |
Mais ça me soulage de leur dire ce que je pense et de leur rappeler | |
Leur importance, Abdelkarim, petit frère | |
Je me souviens de ta naissance comme si c'était hier | |
T'es devenu père de cette petite perle appelée Chaînez | |
Ma première nièce, des confidences on s'en est jamais faits | |
T'es un peu comme moi, tu gardes tout pour toi | |
T'as toujours été de ceux qui agissent et qui ne parlent pas | |
J't'ai pris la tête, j't'ai mis des coups | |
J't'ai saoûlé, j'suis désolé, mais des fois tu m'as poussé à bout | |
Je repense à notre enfance, toujours fourrés ensemble | |
Amoureux du rap on a toujours eu ça dans le sang | |
J'ai mal quand je vois que t'es mal et ton silence me tue | |
Petit bonhomme, débrouillard qui a toujours su | |
Se démerder même avec que dalle dans les poches | |
Moi j'ai pas montré le bon exemple, je suis pas exempt de tout reproche | |
Bref, on a grandit, t'as fais ta vie | |
Quoi qu'il arrive je suis là | |
Tu sais que tu peux compter sur moi | |
Anissa petite ninou petit bout de chou | |
Cette fille de la mi-fa pour qui je donnerais tout | |
Petite sœur chérie, t'as grandi trop vite | |
Un caractère bien trempé, t'as toujours été trop speed | |
T'es comme maman toujours le cœur sur le main | |
Tu te laisses pas marcher sur les pieds | |
Entre nous c'est relation compliquée | |
J'fais pas le taliban mais le sang me monte à la tête | |
Juste le fait de penser qu'un fils de pute ait de mauvaises pensées | |
Petite sœurette, j'veux pas qu'on t'assimile | |
À ces petites beurettes qui font les belles en ville | |
Ma vie est la tienne, ne me déçoit pas | |
J't'ai jamais dis « Je t'aime » alors je te le dis là | |
Maman, femme de courage depuis ton plus jeune âge | |
Entre les ménages et les maladies graves | |
T'as élevé tes frères et sœur, tu t'es tué à la tâche | |
Une vie ponctuée de malheur dont je ferai pas l'étalage | |
J'te rends hommage | |
Anissa et toi vous êtes les seules femmes qu'il y a dans mon cœur | |
Vous êtes plus que mon moteur | |
Papa, j'voulais te dire que t'es un homme brave | |
Un homme en or, honnête et droit le matin quand tu pars | |
Pour aller bosser dur et rentrer tard | |
J'vois que t'es fatigué, tu te plains jamais | |
Tu nous as enseigné les bonnes vertus et tu nous a vêtus et nourris | |
Fallait que je dise à ma famille que je les aime, ça y'est c'est dit | |
Parfois les mots ne sortent pas | |
Ou restent tapis dans le silence, ça ne vient pas, ça ne sort pas | |
Moi je ne regrette rien, je crache ces mots qui me déstressent | |
Je m'adresse aux miens et je me lâche et me confesse | |
J'en ai tellement besoin, mon cœur est en feu de détresse | |
Comme ça me fait du bien de vous parler | |
Blacko | |
: | |
Chers amis, je vais peut-être vous décevoir | |
Pardons d'étaler ma vie, de raconter mon histoire | |
Mais j'ai le cœur qui saigne et l'esprit torturé | |
Et de venir vous parler j'ai pas la force | |
Pourquoi avez-vous choisi de ne pas me dire qui je suis | |
Sans me parler de ma couleur ni de mon pays | |
Même mon prénom en a souffert | |
Vous l'avez étouffé parce que c'était le même que mon père | |
Vous m'avez construit et en même temps détruit | |
J'suis sûr que vous m'aimez, je vous aime aussi | |
Comprenez ma douleur, celle d'un enfant qui pleure | |
Il ne sait pas qui il est, ignore combien ça vous leurre | |
Vous ne le connaissez pas, vous ne savez pas l'entendre | |
Il vous a souvent souri alors qu'il pensait à se pendre | |
Il s'est blotti dans le silence | |
Il fait souvent le clown pour masquer ses souffrances | |
Il s'est souvent enfermé dans l'armoire | |
Mettant des gauche de tristesse, des droites de désespoir | |
Se boucher les oreilles, vivez son cauchemar | |
Le cœur piétiné par des choses qu'un enfant ne doit savoir | |
Aujourd'hui il porte sa peine | |
Il pardonne, Maman je t'aime | |
Accepte mes excuses, pardonne ma jalousie | |
J't'ai abandonné face à cette maladie | |
Y'avait ce man au chevet de ton lit | |
Et ma peur de te voir partir pour le paradis | |
Fallait que je te demande pardon | |
Oh pardon maman, je m'allonge à tes pieds | |
Jah dit en dessous y'a le paradis | |
Et toi Fifi, grande sœur, tu es devenu mère | |
Anaïs ta petite, fleur oh tu sais j'en suis fier | |
J'ai juste pété les plombs quand j'ai su qu'elle aurait pas de père | |
Regarde bien son enfance et la nôtre sont similaires | |
Souvent je t'entends quand elle prononce « Papa » | |
Tu fais comme Maman tu lui dis « Tais-toi » | |
Assieds-toi, ferme les yeux, médite et rappelle-toi | |
Et ouvre-les sur ta fille car cette petite fille, c'est toi | |
Toutes les deux je vous aime | |
On a le même sang qui coule dans les veines | |
Donc je vous le redis | |
Toutes les deux je vous aime | |
Protège ta princesse, tu es une reine | |
Ma sista chérie | |
On est peut-être le feu et la glace | |
Mais je suis là pour casser ce qui te tracasse | |
Si t'as un blème tu sais quoi faire | |
Appelle juste ton frère | |
Et toi vieux lion, de l'autre coté de la planète | |
Si ton téléphone sonne pas, te prends pas la tête | |
Tu sais mon cœur éclate face au son de ta voix | |
Mais souvent je regarde les étoiles et celle qui brille, oui c'est toi | |
Tu m'as transmis ta force tu m'as tout appris | |
Donné un sens à ma couleur, forgé mon esprit | |
Papa merci pour le come back dans ma vie | |
Mon vieux lion je t'aime | |
Parfois les mots ne sortent pas | |
Ou restent tapis dans le silence, ça ne vient pas, ça ne sort pas | |
Moi je ne regrette rien, je crache ces mots qui me déstressent | |
Je m'adresse aux miens et je me lâche et me confesse | |
J'en ai tellement besoin, mon cœur est en feu de détresse | |
Comme ça me fait du bien de vous parler | |
Parfois les mots ne sortent pas | |
Ou restent tapis dans le silence, ça ne vient pas, ça ne sort pas | |
Moi je ne regrette rien, je crache ces mots qui me déstressent | |
Je m'adresse aux miens et je me lâche et me confesse | |
J'en ai tellement besoin, mon cœur est en feu de détresse | |
Comme ça me fait du bien de vous parler | |
Je vous aime | |
Maman, je t'aime |
zuo qu : Blacko, Sniper | |
Tunisiano | |
: | |
Fallait que je te dise comme je vais mal | |
Par un disque ou par des mots, en restant peace | |
Enfin fallait que je puisse | |
Te dire que je vis un rythme infernal | |
Que je suis dure a berner, borne, a la fois dur a cerner | |
J' fais rien d' exceptionnel, j' ai des tas de potes a l' habitude | |
Mais mon meilleur ami s' appelle solitude | |
Et j' ope re en scred, j' en suis malade et sans reme de | |
Car j' ai appris a me taire et pas a demander de l' aide | |
Plut t re serve, non je ne de conne pas avec ce que je ne connais pas | |
Moi je pre fe re observer, une pense e aux plus grands | |
Naja et les siens, enfant t'e tais si loin, j' t' ai vu si peu souvent | |
Enfin j' aurais tellement aime te voir a mes c te s | |
Me serrer, m'e pauler ou m' emp cher de pleurer | |
Fallait que je te dise Ahmed, a mes yeux comme tu es cher | |
Tu es si droit, si fort a la fois et si fier | |
Tu m' a appris a me battre, a penser a | |
ghudwa | |
Tu as transforme mon rap en ayant confiance en moi | |
Tu as pris le r le du daron qui t' allait de toute beaute | |
Lorsque j' ai fais le con tu m' a chicote | |
Enfin bon, grande s ur, je t' aime et te remercie | |
Ta beaute et ta pudeur font la fierte de la famille | |
Je regrette de ne pouvoir te le dire je n' y arrive pas | |
Comme je regrette de ne pas te serrer plus souvent dans mes bras | |
Mais je suis comme a, m me s' il n' est pas trop tard | |
Discret et peu bavard, on se dit tout par le regard | |
Oh ?, je te de die ces quelques phrases | |
Ces quelques phases et mon respect aussi | |
On a grandit ensemble, c' est fou comme on se ressemble | |
Quand tu tombes moi je pleure, quand j' ai froid toi tu trembles | |
Tu t' es assagit, ex | |
mahbu l | |
aujourd' hui a roule | |
Exbaba cool, devenu papa poule | |
Fallait que j' te dise que mon bonheur t' es de die | |
Tu peux marcher sur mon c ur car mon c ur est a tes pieds | |
Parfois les mots ne sortent pas | |
Ou restent tapis dans le silence, a ne vient pas, a ne sort pas | |
Moi je ne regrette rien, je crache ces mots qui me de stressent | |
Je m' adresse aux miens et je me l che et me confesse | |
J' en ai tellement besoin, mon c ur est en feu de de tresse | |
Comme a me fait du bien de vous parler | |
Aketo | |
: | |
Fallait que je dise tout ce que j' ai | |
Jamais eu le courage de dire aux gens que j' aime a cause du tempe rament que j' ai | |
Dur de l'e crire, encore plus dur de le rapper | |
Mais a me soulage de leur dire ce que je pense et de leur rappeler | |
Leur importance, Abdelkarim, petit fre re | |
Je me souviens de ta naissance comme si c'e tait hier | |
T' es devenu pe re de cette petite perle appele e Cha nez | |
Ma premie re nie ce, des confidences on s' en est jamais faits | |
T' es un peu comme moi, tu gardes tout pour toi | |
T' as toujours e te de ceux qui agissent et qui ne parlent pas | |
J' t' ai pris la t te, j' t' ai mis des coups | |
J' t' ai sao le, j' suis de sole, mais des fois tu m' as pousse a bout | |
Je repense a notre enfance, toujours fourre s ensemble | |
Amoureux du rap on a toujours eu a dans le sang | |
J' ai mal quand je vois que t' es mal et ton silence me tue | |
Petit bonhomme, de brouillard qui a toujours su | |
Se de merder m me avec que dalle dans les poches | |
Moi j' ai pas montre le bon exemple, je suis pas exempt de tout reproche | |
Bref, on a grandit, t' as fais ta vie | |
Quoi qu' il arrive je suis la | |
Tu sais que tu peux compter sur moi | |
Anissa petite ninou petit bout de chou | |
Cette fille de la mifa pour qui je donnerais tout | |
Petite s ur che rie, t' as grandi trop vite | |
Un caracte re bien trempe, t' as toujours e te trop speed | |
T' es comme maman toujours le c ur sur le main | |
Tu te laisses pas marcher sur les pieds | |
Entre nous c' est relation complique e | |
J' fais pas le taliban mais le sang me monte a la t te | |
Juste le fait de penser qu' un fils de pute ait de mauvaises pense es | |
Petite s urette, j' veux pas qu' on t' assimile | |
À ces petites beurettes qui font les belles en ville | |
Ma vie est la tienne, ne me de oit pas | |
J' t' ai jamais dis nbsp Je t' aime nbsp alors je te le dis la | |
Maman, femme de courage depuis ton plus jeune ge | |
Entre les me nages et les maladies graves | |
T' as e leve tes fre res et s ur, tu t' es tue a la t che | |
Une vie ponctue e de malheur dont je ferai pas l'e talage | |
J' te rends hommage | |
Anissa et toi vous tes les seules femmes qu' il y a dans mon c ur | |
Vous tes plus que mon moteur | |
Papa, j' voulais te dire que t' es un homme brave | |
Un homme en or, honn te et droit le matin quand tu pars | |
Pour aller bosser dur et rentrer tard | |
J' vois que t' es fatigue, tu te plains jamais | |
Tu nous as enseigne les bonnes vertus et tu nous a v tus et nourris | |
Fallait que je dise a ma famille que je les aime, a y' est c' est dit | |
Parfois les mots ne sortent pas | |
Ou restent tapis dans le silence, a ne vient pas, a ne sort pas | |
Moi je ne regrette rien, je crache ces mots qui me de stressent | |
Je m' adresse aux miens et je me l che et me confesse | |
J' en ai tellement besoin, mon c ur est en feu de de tresse | |
Comme a me fait du bien de vous parler | |
Blacko | |
: | |
Chers amis, je vais peut tre vous de cevoir | |
Pardons d'e taler ma vie, de raconter mon histoire | |
Mais j' ai le c ur qui saigne et l' esprit torture | |
Et de venir vous parler j' ai pas la force | |
Pourquoi avezvous choisi de ne pas me dire qui je suis | |
Sans me parler de ma couleur ni de mon pays | |
M me mon pre nom en a souffert | |
Vous l' avez e touffe parce que c'e tait le m me que mon pe re | |
Vous m' avez construit et en m me temps de truit | |
J' suis s r que vous m' aimez, je vous aime aussi | |
Comprenez ma douleur, celle d' un enfant qui pleure | |
Il ne sait pas qui il est, ignore combien a vous leurre | |
Vous ne le connaissez pas, vous ne savez pas l' entendre | |
Il vous a souvent souri alors qu' il pensait a se pendre | |
Il s' est blotti dans le silence | |
Il fait souvent le clown pour masquer ses souffrances | |
Il s' est souvent enferme dans l' armoire | |
Mettant des gauche de tristesse, des droites de de sespoir | |
Se boucher les oreilles, vivez son cauchemar | |
Le c ur pie tine par des choses qu' un enfant ne doit savoir | |
Aujourd' hui il porte sa peine | |
Il pardonne, Maman je t' aime | |
Accepte mes excuses, pardonne ma jalousie | |
J' t' ai abandonne face a cette maladie | |
Y' avait ce man au chevet de ton lit | |
Et ma peur de te voir partir pour le paradis | |
Fallait que je te demande pardon | |
Oh pardon maman, je m' allonge a tes pieds | |
Jah dit en dessous y' a le paradis | |
Et toi Fifi, grande s ur, tu es devenu me re | |
Ana s ta petite, fleur oh tu sais j' en suis fier | |
J' ai juste pe te les plombs quand j' ai su qu' elle aurait pas de pe re | |
Regarde bien son enfance et la n tre sont similaires | |
Souvent je t' entends quand elle prononce nbsp Papa nbsp | |
Tu fais comme Maman tu lui dis nbsp Taistoi nbsp | |
Assiedstoi, ferme les yeux, me dite et rappelletoi | |
Et ouvreles sur ta fille car cette petite fille, c' est toi | |
Toutes les deux je vous aime | |
On a le m me sang qui coule dans les veines | |
Donc je vous le redis | |
Toutes les deux je vous aime | |
Prote ge ta princesse, tu es une reine | |
Ma sista che rie | |
On est peut tre le feu et la glace | |
Mais je suis la pour casser ce qui te tracasse | |
Si t' as un ble me tu sais quoi faire | |
Appelle juste ton fre re | |
Et toi vieux lion, de l' autre cote de la plane te | |
Si ton te le phone sonne pas, te prends pas la t te | |
Tu sais mon c ur e clate face au son de ta voix | |
Mais souvent je regarde les e toiles et celle qui brille, oui c' est toi | |
Tu m' as transmis ta force tu m' as tout appris | |
Donne un sens a ma couleur, forge mon esprit | |
Papa merci pour le come back dans ma vie | |
Mon vieux lion je t' aime | |
Parfois les mots ne sortent pas | |
Ou restent tapis dans le silence, a ne vient pas, a ne sort pas | |
Moi je ne regrette rien, je crache ces mots qui me de stressent | |
Je m' adresse aux miens et je me l che et me confesse | |
J' en ai tellement besoin, mon c ur est en feu de de tresse | |
Comme a me fait du bien de vous parler | |
Parfois les mots ne sortent pas | |
Ou restent tapis dans le silence, a ne vient pas, a ne sort pas | |
Moi je ne regrette rien, je crache ces mots qui me de stressent | |
Je m' adresse aux miens et je me l che et me confesse | |
J' en ai tellement besoin, mon c ur est en feu de de tresse | |
Comme a me fait du bien de vous parler | |
Je vous aime | |
Maman, je t' aime |
zuò qǔ : Blacko, Sniper | |
Tunisiano | |
: | |
Fallait que je te dise comme je vais mal | |
Par un disque ou par des mots, en restant peace | |
Enfin fallait que je puisse | |
Te dire que je vis un rythme infernal | |
Que je suis dure à berner, borné, à la fois dur à cerner | |
J' fais rien d' exceptionnel, j' ai des tas de potes à l' habitude | |
Mais mon meilleur ami s' appelle solitude | |
Et j' opè re en scred, j' en suis malade et sans remè de | |
Car j' ai appris à me taire et pas à demander de l' aide | |
Plut t ré servé, non je ne dé conne pas avec ce que je ne connais pas | |
Moi je pré fè re observer, une pensé e aux plus grands | |
Naja et les siens, enfant t'é tais si loin, j' t' ai vu si peu souvent | |
Enfin j' aurais tellement aimé te voir à mes c té s | |
Me serrer, m'é pauler ou m' emp cher de pleurer | |
Fallait que je te dise Ahmed, à mes yeux comme tu es cher | |
Tu es si droit, si fort à la fois et si fier | |
Tu m' a appris à me battre, à penser à | |
ghudwa | |
Tu as transformé mon rap en ayant confiance en moi | |
Tu as pris le r le du daron qui t' allait de toute beauté | |
Lorsque j' ai fais le con tu m' a chicoté | |
Enfin bon, grande s ur, je t' aime et te remercie | |
Ta beauté et ta pudeur font la fierté de la famille | |
Je regrette de ne pouvoir te le dire je n' y arrive pas | |
Comme je regrette de ne pas te serrer plus souvent dans mes bras | |
Mais je suis comme a, m me s' il n' est pas trop tard | |
Discret et peu bavard, on se dit tout par le regard | |
Oh ?, je te dé die ces quelques phrases | |
Ces quelques phases et mon respect aussi | |
On a grandit ensemble, c' est fou comme on se ressemble | |
Quand tu tombes moi je pleure, quand j' ai froid toi tu trembles | |
Tu t' es assagit, ex | |
mahbū l | |
aujourd' hui a roule | |
Exbaba cool, devenu papa poule | |
Fallait que j' te dise que mon bonheur t' es dé dié | |
Tu peux marcher sur mon c ur car mon c ur est à tes pieds | |
Parfois les mots ne sortent pas | |
Ou restent tapis dans le silence, a ne vient pas, a ne sort pas | |
Moi je ne regrette rien, je crache ces mots qui me dé stressent | |
Je m' adresse aux miens et je me l che et me confesse | |
J' en ai tellement besoin, mon c ur est en feu de dé tresse | |
Comme a me fait du bien de vous parler | |
Aketo | |
: | |
Fallait que je dise tout ce que j' ai | |
Jamais eu le courage de dire aux gens que j' aime à cause du tempé rament que j' ai | |
Dur de l'é crire, encore plus dur de le rapper | |
Mais a me soulage de leur dire ce que je pense et de leur rappeler | |
Leur importance, Abdelkarim, petit frè re | |
Je me souviens de ta naissance comme si c'é tait hier | |
T' es devenu pè re de cette petite perle appelé e Cha nez | |
Ma premiè re niè ce, des confidences on s' en est jamais faits | |
T' es un peu comme moi, tu gardes tout pour toi | |
T' as toujours é té de ceux qui agissent et qui ne parlent pas | |
J' t' ai pris la t te, j' t' ai mis des coups | |
J' t' ai sao lé, j' suis dé solé, mais des fois tu m' as poussé à bout | |
Je repense à notre enfance, toujours fourré s ensemble | |
Amoureux du rap on a toujours eu a dans le sang | |
J' ai mal quand je vois que t' es mal et ton silence me tue | |
Petit bonhomme, dé brouillard qui a toujours su | |
Se dé merder m me avec que dalle dans les poches | |
Moi j' ai pas montré le bon exemple, je suis pas exempt de tout reproche | |
Bref, on a grandit, t' as fais ta vie | |
Quoi qu' il arrive je suis là | |
Tu sais que tu peux compter sur moi | |
Anissa petite ninou petit bout de chou | |
Cette fille de la mifa pour qui je donnerais tout | |
Petite s ur ché rie, t' as grandi trop vite | |
Un caractè re bien trempé, t' as toujours é té trop speed | |
T' es comme maman toujours le c ur sur le main | |
Tu te laisses pas marcher sur les pieds | |
Entre nous c' est relation compliqué e | |
J' fais pas le taliban mais le sang me monte à la t te | |
Juste le fait de penser qu' un fils de pute ait de mauvaises pensé es | |
Petite s urette, j' veux pas qu' on t' assimile | |
À ces petites beurettes qui font les belles en ville | |
Ma vie est la tienne, ne me dé oit pas | |
J' t' ai jamais dis nbsp Je t' aime nbsp alors je te le dis là | |
Maman, femme de courage depuis ton plus jeune ge | |
Entre les mé nages et les maladies graves | |
T' as é levé tes frè res et s ur, tu t' es tué à la t che | |
Une vie ponctué e de malheur dont je ferai pas l'é talage | |
J' te rends hommage | |
Anissa et toi vous tes les seules femmes qu' il y a dans mon c ur | |
Vous tes plus que mon moteur | |
Papa, j' voulais te dire que t' es un homme brave | |
Un homme en or, honn te et droit le matin quand tu pars | |
Pour aller bosser dur et rentrer tard | |
J' vois que t' es fatigué, tu te plains jamais | |
Tu nous as enseigné les bonnes vertus et tu nous a v tus et nourris | |
Fallait que je dise à ma famille que je les aime, a y' est c' est dit | |
Parfois les mots ne sortent pas | |
Ou restent tapis dans le silence, a ne vient pas, a ne sort pas | |
Moi je ne regrette rien, je crache ces mots qui me dé stressent | |
Je m' adresse aux miens et je me l che et me confesse | |
J' en ai tellement besoin, mon c ur est en feu de dé tresse | |
Comme a me fait du bien de vous parler | |
Blacko | |
: | |
Chers amis, je vais peut tre vous dé cevoir | |
Pardons d'é taler ma vie, de raconter mon histoire | |
Mais j' ai le c ur qui saigne et l' esprit torturé | |
Et de venir vous parler j' ai pas la force | |
Pourquoi avezvous choisi de ne pas me dire qui je suis | |
Sans me parler de ma couleur ni de mon pays | |
M me mon pré nom en a souffert | |
Vous l' avez é touffé parce que c'é tait le m me que mon pè re | |
Vous m' avez construit et en m me temps dé truit | |
J' suis s r que vous m' aimez, je vous aime aussi | |
Comprenez ma douleur, celle d' un enfant qui pleure | |
Il ne sait pas qui il est, ignore combien a vous leurre | |
Vous ne le connaissez pas, vous ne savez pas l' entendre | |
Il vous a souvent souri alors qu' il pensait à se pendre | |
Il s' est blotti dans le silence | |
Il fait souvent le clown pour masquer ses souffrances | |
Il s' est souvent enfermé dans l' armoire | |
Mettant des gauche de tristesse, des droites de dé sespoir | |
Se boucher les oreilles, vivez son cauchemar | |
Le c ur pié tiné par des choses qu' un enfant ne doit savoir | |
Aujourd' hui il porte sa peine | |
Il pardonne, Maman je t' aime | |
Accepte mes excuses, pardonne ma jalousie | |
J' t' ai abandonné face à cette maladie | |
Y' avait ce man au chevet de ton lit | |
Et ma peur de te voir partir pour le paradis | |
Fallait que je te demande pardon | |
Oh pardon maman, je m' allonge à tes pieds | |
Jah dit en dessous y' a le paradis | |
Et toi Fifi, grande s ur, tu es devenu mè re | |
Ana s ta petite, fleur oh tu sais j' en suis fier | |
J' ai juste pé té les plombs quand j' ai su qu' elle aurait pas de pè re | |
Regarde bien son enfance et la n tre sont similaires | |
Souvent je t' entends quand elle prononce nbsp Papa nbsp | |
Tu fais comme Maman tu lui dis nbsp Taistoi nbsp | |
Assiedstoi, ferme les yeux, mé dite et rappelletoi | |
Et ouvreles sur ta fille car cette petite fille, c' est toi | |
Toutes les deux je vous aime | |
On a le m me sang qui coule dans les veines | |
Donc je vous le redis | |
Toutes les deux je vous aime | |
Protè ge ta princesse, tu es une reine | |
Ma sista ché rie | |
On est peut tre le feu et la glace | |
Mais je suis là pour casser ce qui te tracasse | |
Si t' as un blè me tu sais quoi faire | |
Appelle juste ton frè re | |
Et toi vieux lion, de l' autre coté de la planè te | |
Si ton té lé phone sonne pas, te prends pas la t te | |
Tu sais mon c ur é clate face au son de ta voix | |
Mais souvent je regarde les é toiles et celle qui brille, oui c' est toi | |
Tu m' as transmis ta force tu m' as tout appris | |
Donné un sens à ma couleur, forgé mon esprit | |
Papa merci pour le come back dans ma vie | |
Mon vieux lion je t' aime | |
Parfois les mots ne sortent pas | |
Ou restent tapis dans le silence, a ne vient pas, a ne sort pas | |
Moi je ne regrette rien, je crache ces mots qui me dé stressent | |
Je m' adresse aux miens et je me l che et me confesse | |
J' en ai tellement besoin, mon c ur est en feu de dé tresse | |
Comme a me fait du bien de vous parler | |
Parfois les mots ne sortent pas | |
Ou restent tapis dans le silence, a ne vient pas, a ne sort pas | |
Moi je ne regrette rien, je crache ces mots qui me dé stressent | |
Je m' adresse aux miens et je me l che et me confesse | |
J' en ai tellement besoin, mon c ur est en feu de dé tresse | |
Comme a me fait du bien de vous parler | |
Je vous aime | |
Maman, je t' aime |