Song | Kasia |
Artist | Saez |
Album | Saez (Varsovie, L'Alhambra, Paris) |
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Kasia s'endort dans son appartement | |
Sa mèche de cheveux qui fout le feu à la cinquième | |
C'est New York qui a froid et moi aussi, je crois | |
Mais de la voir posée là, au centre des ombres | |
Comme le rayon d'un Dieu, mais d'un Dieu sans église | |
Dans les cendres d'un feu qui le coeur vous aiguise | |
Comme un chemin de croix, mais qui vous souffre pas | |
Comme une apparition | |
Elle se lèvera bientôt et je serai là avide | |
On parlera un peu dans le marc du café noir | |
Puis elle mettra sur elle de la soie de Bombay | |
Des embruns aux paupières, son âme hallucinée | |
Je suivrai du regard, gravirai les remparts | |
Et dans ses yeux sans fond où l'on cherche des histoires | |
J'y entendrai les voix qui nous mènent à la lumière | |
Qui nous mènent à la mer | |
Kasia dans les étoiles, c'est l'Etoile du Nord | |
Le chemin infini qui relie l'âme au corps | |
C'est la beauté de tout ce qu'on ne peut tenir | |
L'oxygène à mes nuits, la force des sourires | |
Qui file entre les mains, c'est tout ce qu'on ne peut | |
Pas expliquer enfin, c'est la grâce | |
Oui, c'est Dieu | |
Et j'y crois | |
Quand elle danse pour moi, qu'elle me fait sentir plein | |
Qu'elle joue avec mon âme, qu'elle y met son parfum | |
Quand dans mes intérieurs | |
Y a des brumes à l'aurore | |
Elle me prend dans ses doigts, du pourpre | |
Elle fait de l'or | |
Et c'est là que je vais loin, loin du chemin des tristes | |
Quand elle m'emporte au fond | |
De ses yeux bien trop clairs | |
Qui ont la couleur d'un Est | |
Toujours un peu à l'Ouest | |
Elle, elle dit que tout va bien | |
Si tu la croises un jour à la pointe du jour | |
Elle t'emmènera, sûr, pour te montrer l'amour | |
Et ces ombres de Chine qui deviennent lumière | |
Et ces vagues toujours qui retournent à la mer | |
Qu'on avait cru perdues, c'est celui qui revient | |
Quand ton âme des nues a perdu son chemin | |
Kasia, quand elle est là, c'est le chant des marins | |
Que tu entends au loin, c'est le dessin d'un sein | |
Qui fait oublier ce mal que l'on s'est fait pour rien | |
Kasia, c'est pas la fin, c'est juste nos destins | |
C'est un peu comme un don, un tableau italien | |
C'est un quatre septembre qui se marie en juin | |
Kasia s'endort dans son appartement | |
Sa mèche de cheveux qui fout le feu à la cinquième | |
C'est New York qui a froid et moi aussi, je crois | |
Mais de la voir, posée là au centre des ombres | |
Je m'assois à ses hanches, et je regarde grâce | |
Et puis, quand je m'y penche sans prendre trop de place | |
Moi, je suis la rivière de ses yeux qui "lumièrent" | |
L'oxygène à ma flamme. |
Kasia s' endort dans son appartement | |
Sa me che de cheveux qui fout le feu a la cinquie me | |
C' est New York qui a froid et moi aussi, je crois | |
Mais de la voir pose e la, au centre des ombres | |
Comme le rayon d' un Dieu, mais d' un Dieu sans e glise | |
Dans les cendres d' un feu qui le coeur vous aiguise | |
Comme un chemin de croix, mais qui vous souffre pas | |
Comme une apparition | |
Elle se le vera bient t et je serai la avide | |
On parlera un peu dans le marc du cafe noir | |
Puis elle mettra sur elle de la soie de Bombay | |
Des embruns aux paupie res, son me hallucine e | |
Je suivrai du regard, gravirai les remparts | |
Et dans ses yeux sans fond ou l' on cherche des histoires | |
J' y entendrai les voix qui nous me nent a la lumie re | |
Qui nous me nent a la mer | |
Kasia dans les e toiles, c' est l' Etoile du Nord | |
Le chemin infini qui relie l' me au corps | |
C' est la beaute de tout ce qu' on ne peut tenir | |
L' oxyge ne a mes nuits, la force des sourires | |
Qui file entre les mains, c' est tout ce qu' on ne peut | |
Pas expliquer enfin, c' est la gr ce | |
Oui, c' est Dieu | |
Et j' y crois | |
Quand elle danse pour moi, qu' elle me fait sentir plein | |
Qu' elle joue avec mon me, qu' elle y met son parfum | |
Quand dans mes inte rieurs | |
Y a des brumes a l' aurore | |
Elle me prend dans ses doigts, du pourpre | |
Elle fait de l' or | |
Et c' est la que je vais loin, loin du chemin des tristes | |
Quand elle m' emporte au fond | |
De ses yeux bien trop clairs | |
Qui ont la couleur d' un Est | |
Toujours un peu a l' Ouest | |
Elle, elle dit que tout va bien | |
Si tu la croises un jour a la pointe du jour | |
Elle t' emme nera, s r, pour te montrer l' amour | |
Et ces ombres de Chine qui deviennent lumie re | |
Et ces vagues toujours qui retournent a la mer | |
Qu' on avait cru perdues, c' est celui qui revient | |
Quand ton me des nues a perdu son chemin | |
Kasia, quand elle est la, c' est le chant des marins | |
Que tu entends au loin, c' est le dessin d' un sein | |
Qui fait oublier ce mal que l' on s' est fait pour rien | |
Kasia, c' est pas la fin, c' est juste nos destins | |
C' est un peu comme un don, un tableau italien | |
C' est un quatre septembre qui se marie en juin | |
Kasia s' endort dans son appartement | |
Sa me che de cheveux qui fout le feu a la cinquie me | |
C' est New York qui a froid et moi aussi, je crois | |
Mais de la voir, pose e la au centre des ombres | |
Je m' assois a ses hanches, et je regarde gr ce | |
Et puis, quand je m' y penche sans prendre trop de place | |
Moi, je suis la rivie re de ses yeux qui " lumie rent" | |
L' oxyge ne a ma flamme. |
Kasia s' endort dans son appartement | |
Sa mè che de cheveux qui fout le feu à la cinquiè me | |
C' est New York qui a froid et moi aussi, je crois | |
Mais de la voir posé e là, au centre des ombres | |
Comme le rayon d' un Dieu, mais d' un Dieu sans é glise | |
Dans les cendres d' un feu qui le coeur vous aiguise | |
Comme un chemin de croix, mais qui vous souffre pas | |
Comme une apparition | |
Elle se lè vera bient t et je serai là avide | |
On parlera un peu dans le marc du café noir | |
Puis elle mettra sur elle de la soie de Bombay | |
Des embruns aux paupiè res, son me halluciné e | |
Je suivrai du regard, gravirai les remparts | |
Et dans ses yeux sans fond où l' on cherche des histoires | |
J' y entendrai les voix qui nous mè nent à la lumiè re | |
Qui nous mè nent à la mer | |
Kasia dans les é toiles, c' est l' Etoile du Nord | |
Le chemin infini qui relie l' me au corps | |
C' est la beauté de tout ce qu' on ne peut tenir | |
L' oxygè ne à mes nuits, la force des sourires | |
Qui file entre les mains, c' est tout ce qu' on ne peut | |
Pas expliquer enfin, c' est la gr ce | |
Oui, c' est Dieu | |
Et j' y crois | |
Quand elle danse pour moi, qu' elle me fait sentir plein | |
Qu' elle joue avec mon me, qu' elle y met son parfum | |
Quand dans mes inté rieurs | |
Y a des brumes à l' aurore | |
Elle me prend dans ses doigts, du pourpre | |
Elle fait de l' or | |
Et c' est là que je vais loin, loin du chemin des tristes | |
Quand elle m' emporte au fond | |
De ses yeux bien trop clairs | |
Qui ont la couleur d' un Est | |
Toujours un peu à l' Ouest | |
Elle, elle dit que tout va bien | |
Si tu la croises un jour à la pointe du jour | |
Elle t' emmè nera, s r, pour te montrer l' amour | |
Et ces ombres de Chine qui deviennent lumiè re | |
Et ces vagues toujours qui retournent à la mer | |
Qu' on avait cru perdues, c' est celui qui revient | |
Quand ton me des nues a perdu son chemin | |
Kasia, quand elle est là, c' est le chant des marins | |
Que tu entends au loin, c' est le dessin d' un sein | |
Qui fait oublier ce mal que l' on s' est fait pour rien | |
Kasia, c' est pas la fin, c' est juste nos destins | |
C' est un peu comme un don, un tableau italien | |
C' est un quatre septembre qui se marie en juin | |
Kasia s' endort dans son appartement | |
Sa mè che de cheveux qui fout le feu à la cinquiè me | |
C' est New York qui a froid et moi aussi, je crois | |
Mais de la voir, posé e là au centre des ombres | |
Je m' assois à ses hanches, et je regarde gr ce | |
Et puis, quand je m' y penche sans prendre trop de place | |
Moi, je suis la riviè re de ses yeux qui " lumiè rent" | |
L' oxygè ne à ma flamme. |