Song | Ceux qui sont en laisse |
Artist | Saez |
Album | Saez (Varsovie, L'Alhambra, Paris) |
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Tu voulais du médiocre et moi j'en avais pas, | |
tu voulais l'univers et moi j'avais que moi, | |
tu voulais le silence quand j'étais que musique, | |
qu'on marche parallèle quand j'allais qu'à l'oblique. | |
Tu voulais des rivières au milieu du désert, | |
tu voulais les voyages, moi j'étais sédentaire, | |
que je fasse des chansons qui m'emmènent au sourire, | |
j'y peux rien moi je n'ai que des larmes à leur dire, | |
et des plaines de pluie pour unique empire. | |
Quand je serai parti que lira mes poèmes | |
un autre romantique qui se verra en moi, | |
il se dira sans doute : " Oh c'est beau comme il l'aime ! " | |
Mais qu'il sache que je n'ai jamais aimé que moi ; | |
qu'au lit ou dans le cœur l'égoïsme est la mère | |
des générosités. | |
Que les femmes me pardonnent de n'être fait pour elles, | |
d'être comme un nuage qui recherche son ciel ! | |
De n'être qu'un navire toujours à la détresse ; | |
et cette envie de fuir de ceux qui sont en laisse ! | |
Pardonnez-moi vous tous qui vous liez les mains ; | |
vous qui pensez qu'à deux vous ferez mieux le chemin, | |
vous qui pensez que l'autre vous sauvera la peau | |
alors que de votre âme il fera des lambeaux ! | |
En amour que l'on soit le plus grand des guerriers | |
ou la triste brebis qui cherche le berger, | |
on finit tous à terre à chercher les morceaux, | |
au bord du précipice à deux pas du grand saut, | |
à deux pas du tombeau. |
Tu voulais du me diocre et moi j' en avais pas, | |
tu voulais l' univers et moi j' avais que moi, | |
tu voulais le silence quand j'e tais que musique, | |
qu' on marche paralle le quand j' allais qu'a l' oblique. | |
Tu voulais des rivie res au milieu du de sert, | |
tu voulais les voyages, moi j'e tais se dentaire, | |
que je fasse des chansons qui m' emme nent au sourire, | |
j' y peux rien moi je n' ai que des larmes a leur dire, | |
et des plaines de pluie pour unique empire. | |
Quand je serai parti que lira mes poe mes | |
un autre romantique qui se verra en moi, | |
il se dira sans doute nbsp: " Oh c' est beau comme il l' aime nbsp! " | |
Mais qu' il sache que je n' ai jamais aime que moi nbsp | |
qu' au lit ou dans le c ur l'e go sme est la me re | |
des ge ne rosite s. | |
Que les femmes me pardonnent de n' tre fait pour elles, | |
d' tre comme un nuage qui recherche son ciel nbsp! | |
De n' tre qu' un navire toujours a la de tresse nbsp | |
et cette envie de fuir de ceux qui sont en laisse nbsp! | |
Pardonnezmoi vous tous qui vous liez les mains nbsp | |
vous qui pensez qu'a deux vous ferez mieux le chemin, | |
vous qui pensez que l' autre vous sauvera la peau | |
alors que de votre me il fera des lambeaux nbsp! | |
En amour que l' on soit le plus grand des guerriers | |
ou la triste brebis qui cherche le berger, | |
on finit tous a terre a chercher les morceaux, | |
au bord du pre cipice a deux pas du grand saut, | |
a deux pas du tombeau. |
Tu voulais du mé diocre et moi j' en avais pas, | |
tu voulais l' univers et moi j' avais que moi, | |
tu voulais le silence quand j'é tais que musique, | |
qu' on marche parallè le quand j' allais qu'à l' oblique. | |
Tu voulais des riviè res au milieu du dé sert, | |
tu voulais les voyages, moi j'é tais sé dentaire, | |
que je fasse des chansons qui m' emmè nent au sourire, | |
j' y peux rien moi je n' ai que des larmes à leur dire, | |
et des plaines de pluie pour unique empire. | |
Quand je serai parti que lira mes poè mes | |
un autre romantique qui se verra en moi, | |
il se dira sans doute nbsp: " Oh c' est beau comme il l' aime nbsp! " | |
Mais qu' il sache que je n' ai jamais aimé que moi nbsp | |
qu' au lit ou dans le c ur l'é go sme est la mè re | |
des gé né rosité s. | |
Que les femmes me pardonnent de n' tre fait pour elles, | |
d' tre comme un nuage qui recherche son ciel nbsp! | |
De n' tre qu' un navire toujours à la dé tresse nbsp | |
et cette envie de fuir de ceux qui sont en laisse nbsp! | |
Pardonnezmoi vous tous qui vous liez les mains nbsp | |
vous qui pensez qu'à deux vous ferez mieux le chemin, | |
vous qui pensez que l' autre vous sauvera la peau | |
alors que de votre me il fera des lambeaux nbsp! | |
En amour que l' on soit le plus grand des guerriers | |
ou la triste brebis qui cherche le berger, | |
on finit tous à terre à chercher les morceaux, | |
au bord du pré cipice à deux pas du grand saut, | |
à deux pas du tombeau. |