Derrie re le bruit

	作词 : Nicolas Gémus
	作曲 : Nicolas Gémus
	Quand les mystères, auront retrouvé leurs réponses et qu’ils nous foutront la paix,
	Quand les faiseurs de guerres, n’auront plus de soldats à conduire vers la mort,
	Oui j’y rêve encore,
	Quand des mots comme démocratie, bonheur, justice, égalité,
	Cèderont leur place à quelque chose de plus concret,
	Alors, peut-être qu’à ce moment-là, on découvrira la paix.
	On a chassé les oiseaux à coup de fusil,
	Pis après on se plaint que nos matins sont gris,
	On a regardé faner l’amour et après,
	On comprend pas que le monde soit mal fait.
	Quand les masques et les mascarades, auront déserté les visages pour mettre fin à la parade,
	Quand les paroles d’un enfant, seront entendues comme le sont celles des savants,
	Et quand on s’attardera moins souvent, au bourdonnement du téléphone,
	Qu’au sifflement du vent,
	Alors, peut-être qu’à ce moment-là, on découvrira le vrai,
	On a caché la douleur derrière le bruit,
	Pis après on se plaint du silence de la nuit,
	On s’est laissé durcir le coeur et après,
	On comprend pas que le monde soit si laid.
	Et moi j’ai éteins ton sourire à coups d’absence,
	Pis après je me plains que le monde fait pas d’sens,
	Avant de chanter la morale à mon pays,
	J’pourrais peut-être commencer par regarder ma vie.

	zuò cí : Nicolas Gé mus
	zuò qǔ : Nicolas Gé mus
	Quand les mystè res, auront retrouvé leurs ré ponses et qu' ils nous foutront la paix,
	Quand les faiseurs de guerres, n' auront plus de soldats à conduire vers la mort,
	Oui j' y r ve encore,
	Quand des mots comme dé mocratie, bonheur, justice, é galité,
	Cè deront leur place à quelque chose de plus concret,
	Alors, peut tre qu'à ce momentlà, on dé couvrira la paix.
	On a chassé les oiseaux à coup de fusil,
	Pis aprè s on se plaint que nos matins sont gris,
	On a regardé faner l' amour et aprè s,
	On comprend pas que le monde soit mal fait.
	Quand les masques et les mascarades, auront dé serté les visages pour mettre fin à la parade,
	Quand les paroles d' un enfant, seront entendues comme le sont celles des savants,
	Et quand on s' attardera moins souvent, au bourdonnement du té lé phone,
	Qu' au sifflement du vent,
	Alors, peut tre qu'à ce momentlà, on dé couvrira le vrai,
	On a caché la douleur derriè re le bruit,
	Pis aprè s on se plaint du silence de la nuit,
	On s' est laissé durcir le coeur et aprè s,
	On comprend pas que le monde soit si laid.
	Et moi j' ai é teins ton sourire à coups d' absence,
	Pis aprè s je me plains que le monde fait pas d' sens,
	Avant de chanter la morale à mon pays,
	J' pourrais peut tre commencer par regarder ma vie.