Song | Bienvenue Sur Mon Boulevard |
Artist | Jean-Jacques Goldman |
Album | Non Homologué |
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作词 : Goldman | |
J'ai rencontré des mecs qui changeaient de costard | |
D'après le cours du kopeck ou celui du dollar | |
Des monstres dégoûtants, des crapauds pleins de bave | |
Ecroulés de rire en contemplant d'autres épaves | |
J'ai vu des femmes et des enfants, les yeux fardés, tout noirs | |
Perdus et pourtant si sûrs d'eux, bizarre, bizarre | |
Des gigots qui gigotent et des clodos qui mégotent | |
Des musiciens qui jouent toujours la même note | |
Je les ai rencontrés un soir | |
Dans ma vie, ma rue, au hasard | |
Ils sont restés dans ma mémoire | |
Chacun rangé dans son tiroir | |
Bienvenue sur mon boulevard | |
Quand vient la nuit, quand ma raison s'égare | |
Ombres paumées, recalés de l'espoir | |
Compagnons du blues et du dérisoire | |
Oubliés dans les moments de candeur | |
Vous revenez dès que j'ai mal au coeur | |
Partager mes faiblesses et mes erreurs | |
Vous êtes un peu de mes amarres, un peu de mon histoire | |
Bienvenue sur mon boulevard | |
Quand vient la nuit, quand ma raison s'égare | |
J'ai vu des vermeils et des bleus, des vertes et des bien mûres | |
Des muets mauvais qui écrivaient sur les murs | |
Les filles étaient de joie, les hommes étaient de peine | |
Point commun : dans leurs yeux c'est bien la même haine | |
Des révolutionnaires qui voulaient remplacer | |
Les méfaits de leurs pères pas leurs propres excès |
zuo ci : Goldman | |
J' ai rencontre des mecs qui changeaient de costard | |
D' apre s le cours du kopeck ou celui du dollar | |
Des monstres de go tants, des crapauds pleins de bave | |
Ecroule s de rire en contemplant d' autres e paves | |
J' ai vu des femmes et des enfants, les yeux farde s, tout noirs | |
Perdus et pourtant si s rs d' eux, bizarre, bizarre | |
Des gigots qui gigotent et des clodos qui me gotent | |
Des musiciens qui jouent toujours la m me note | |
Je les ai rencontre s un soir | |
Dans ma vie, ma rue, au hasard | |
Ils sont reste s dans ma me moire | |
Chacun range dans son tiroir | |
Bienvenue sur mon boulevard | |
Quand vient la nuit, quand ma raison s'e gare | |
Ombres paume es, recale s de l' espoir | |
Compagnons du blues et du de risoire | |
Oublie s dans les moments de candeur | |
Vous revenez de s que j' ai mal au coeur | |
Partager mes faiblesses et mes erreurs | |
Vous tes un peu de mes amarres, un peu de mon histoire | |
Bienvenue sur mon boulevard | |
Quand vient la nuit, quand ma raison s'e gare | |
J' ai vu des vermeils et des bleus, des vertes et des bien m res | |
Des muets mauvais qui e crivaient sur les murs | |
Les filles e taient de joie, les hommes e taient de peine | |
Point commun nbsp: dans leurs yeux c' est bien la m me haine | |
Des re volutionnaires qui voulaient remplacer | |
Les me faits de leurs pe res pas leurs propres exce s |
zuò cí : Goldman | |
J' ai rencontré des mecs qui changeaient de costard | |
D' aprè s le cours du kopeck ou celui du dollar | |
Des monstres dé go tants, des crapauds pleins de bave | |
Ecroulé s de rire en contemplant d' autres é paves | |
J' ai vu des femmes et des enfants, les yeux fardé s, tout noirs | |
Perdus et pourtant si s rs d' eux, bizarre, bizarre | |
Des gigots qui gigotent et des clodos qui mé gotent | |
Des musiciens qui jouent toujours la m me note | |
Je les ai rencontré s un soir | |
Dans ma vie, ma rue, au hasard | |
Ils sont resté s dans ma mé moire | |
Chacun rangé dans son tiroir | |
Bienvenue sur mon boulevard | |
Quand vient la nuit, quand ma raison s'é gare | |
Ombres paumé es, recalé s de l' espoir | |
Compagnons du blues et du dé risoire | |
Oublié s dans les moments de candeur | |
Vous revenez dè s que j' ai mal au coeur | |
Partager mes faiblesses et mes erreurs | |
Vous tes un peu de mes amarres, un peu de mon histoire | |
Bienvenue sur mon boulevard | |
Quand vient la nuit, quand ma raison s'é gare | |
J' ai vu des vermeils et des bleus, des vertes et des bien m res | |
Des muets mauvais qui é crivaient sur les murs | |
Les filles é taient de joie, les hommes é taient de peine | |
Point commun nbsp: dans leurs yeux c' est bien la m me haine | |
Des ré volutionnaires qui voulaient remplacer | |
Les mé faits de leurs pè res pas leurs propres excè s |