In Memoriam

Song In Memoriam
Artist Obscurcis Romancia
Album Theatre of Deception

Lyrics

Dans un vague soupir, je me blottis
Dans cette ritournelle d'inconfort,j'ère dans l'insomnie.
Depuis, les chagrins me laissant ahuri
Jusque dans les tréfonds de mon esprit.
J'endure la terreur malsaine
Qui coule a grands flôts dans mes veines
Et quand elle atteindra mon coeur
Bercer toutes les causes de mes peurs.
Le mensonge m'embrase de ses mains.
Depuis lors, l'angoisse m'accompagne sur mon chemin.
Quand un carrefour soudain surgira,
Je n'ose même pas penser quelle direction elle choisira.
Je doute de tout, je ne sais plus.
Je rage à l'intérieur, je suis perdu.
Quand le choix s'offrira a moi,
Je ne puis de tout coeur qu'espérer ne plus être là.
Et dans une course effrénée,
Je ne souhaite même plus bouger.
La panique, soudain, m'envahit.
Ce n'est que le début d'un combat sans merci.
Dans l'ombre, gisait insolente,
Entourée d'une moiteur decadente,
L'arôme austère de ma confusion.
Peinte sur une toile ton sur ton,
La folie me pousse dans un coin.
Je me dois d'affronter mon destin,
C'est la tête prise dans un étau
Qu'elle me fera avaler chacun de mes mots.
Une garnison de destruction saura annihiler toute ma raison.
L'irrémédiable ensuite se poursuit.
Une rage inévitable m'envahit,
Une force nouvelle se décuple en moi.
Sur mon cou, mes veines commencent a saillir,
Mes poings fermés sur le point de rougir
évoquent enfin la dispartition
De ce qui me restait de vie avant l'implosion.
Écartez-vous, tas de minables, de mon chemin.
La pleine puissance de ma transe n'est plus très loin.
Vaines seront les discussions.
Tous sans exceptions ... ha ha ha!.. périront.
De tout mon être, je n'ai plus aucun contrôle.
Un flôt de violence me fait jouer mon rôle.
Mon visage se crispant, je ne me sens plus meurtri.
Entend moi, vie, ce soir je te détruit.
Me délaissant de ma triste tâche,
L'angoisse me permit un dernier outrage.
Dans ma dernière folie, privé de raison,
Voici accourir la vive noirceur de ma dérision.
Déporté malgré moi vers la véhémence,
La déchéance et l'indifférence,
Jusqu'au tréfonds de ce monde ci-bas,
Me voilà entraîné dans les bras de mon trépas.

Pinyin

Dans un vague soupir, je me blottis
Dans cette ritournelle d' inconfort, j'è re dans l' insomnie.
Depuis, les chagrins me laissant ahuri
Jusque dans les tré fonds de mon esprit.
J' endure la terreur malsaine
Qui coule a grands fl ts dans mes veines
Et quand elle atteindra mon coeur
Bercer toutes les causes de mes peurs.
Le mensonge m' embrase de ses mains.
Depuis lors, l' angoisse m' accompagne sur mon chemin.
Quand un carrefour soudain surgira,
Je n' ose m me pas penser quelle direction elle choisira.
Je doute de tout, je ne sais plus.
Je rage à l' inté rieur, je suis perdu.
Quand le choix s' offrira a moi,
Je ne puis de tout coeur qu' espé rer ne plus tre là.
Et dans une course effré né e,
Je ne souhaite m me plus bouger.
La panique, soudain, m' envahit.
Ce n' est que le dé but d' un combat sans merci.
Dans l' ombre, gisait insolente,
Entouré e d' une moiteur decadente,
L' ar me austè re de ma confusion.
Peinte sur une toile ton sur ton,
La folie me pousse dans un coin.
Je me dois d' affronter mon destin,
C' est la t te prise dans un é tau
Qu' elle me fera avaler chacun de mes mots.
Une garnison de destruction saura annihiler toute ma raison.
L' irré mé diable ensuite se poursuit.
Une rage iné vitable m' envahit,
Une force nouvelle se dé cuple en moi.
Sur mon cou, mes veines commencent a saillir,
Mes poings fermé s sur le point de rougir
é voquent enfin la dispartition
De ce qui me restait de vie avant l' implosion.
É cartezvous, tas de minables, de mon chemin.
La pleine puissance de ma transe n' est plus trè s loin.
Vaines seront les discussions.
Tous sans exceptions ... ha ha ha!.. pé riront.
De tout mon tre, je n' ai plus aucun contr le.
Un fl t de violence me fait jouer mon r le.
Mon visage se crispant, je ne me sens plus meurtri.
Entend moi, vie, ce soir je te dé truit.
Me dé laissant de ma triste t che,
L' angoisse me permit un dernier outrage.
Dans ma derniè re folie, privé de raison,
Voici accourir la vive noirceur de ma dé rision.
Dé porté malgré moi vers la vé hé mence,
La dé ché ance et l' indiffé rence,
Jusqu' au tré fonds de ce monde cibas,
Me voilà entra né dans les bras de mon tré pas.