Song | La boîte à musique |
Artist | LaBotanique |
Album | 47e parallèle |
作词 : Ronan Moinet | |
作曲 : Thomas Cochini | |
En Lettre rouge 22h tatoué sur les poignets | |
La foule bouge, il est l’heure, les pieds se mettent à danser Devant les portes closes, le visage du vigile est figé Dedans c’est la basse qui groove | |
Nul besoin de la dure réalité | |
Il convient de la laisser de côté | |
Tout débute alors au bar avec deux verres Vite engloutis sur le comptoir | |
Vides et la soirée démarre | |
Démarche cadencée dans ce décor | |
Les nuques ondulent | |
Les corps désordonnés se déhanchent | |
Les cœurs battent la mesure | |
Les regards se croisent et se flattent, flotte la démesure Prêts pour tenter l’aventure | |
Entre les quatre murs de la boite de gauche à droite Les individus dansent... dansent en baskets blanches | |
Refrain | |
La basse lourde tabasse dans la boite à musique La foule sourde s’amasse dans la boite à musique La basse lourde tabasse dans la boite à musique La foule sourde s’amasse dans la boite à musique | |
La basse lourde tabasse dans la boite à musique La foule sourde s’amasse dans la boite à musique La basse lourde tabasse dans la boite à musique La foule sourde s’amasse dans la boite à musique | |
Couplet 2 | |
Le strobo’ nous examine depuis maintenant quelques heures, à l’intérieur de cette boite à musique... quand happé par la mécanique des têtes qui tournent, je me permets un tournant inattendu. Les lumières ne sont plus semblables à celle de l’atmosphère froide dans laquelle nous étions plongés. | |
Ici ce n’est plus la chimie du néon mais le soleil qui brûle nos peaux. Spectateur de ce petit paradis où les clients sont teintés de bronze, où dans le dos s’écoule le sable chaud tel une entêtante mélodie, luxure du temps qui ne s’étend plus. | |
Entre les quatre murs de cet espace infini, les contours de notre petite vie sont devenus un horizon immense qu’il nous faudrait explorer. Petit cocon quotidien s’est mué en sphinx qui danse. | |
Mais face à mes pupilles la synthèse prend fin dans le silence... et c’est la basse qui recommence ! |
zuò cí : Ronan Moinet | |
zuò qǔ : Thomas Cochini | |
En Lettre rouge 22h tatoue sur les poignets | |
La foule bouge, il est l' heure, les pieds se mettent a danser Devant les portes closes, le visage du vigile est fige Dedans c' est la basse qui groove | |
Nul besoin de la dure re alite | |
Il convient de la laisser de co te | |
Tout de bute alors au bar avec deux verres Vite engloutis sur le comptoir | |
Vides et la soire e de marre | |
De marche cadence e dans ce de cor | |
Les nuques ondulent | |
Les corps de sordonne s se de hanchent | |
Les c urs battent la mesure | |
Les regards se croisent et se flattent, flotte la de mesure Pre ts pour tenter l' aventure | |
Entre les quatre murs de la boite de gauche a droite Les individus dansent... dansent en baskets blanches | |
Refrain | |
La basse lourde tabasse dans la boite a musique La foule sourde s' amasse dans la boite a musique La basse lourde tabasse dans la boite a musique La foule sourde s' amasse dans la boite a musique | |
La basse lourde tabasse dans la boite a musique La foule sourde s' amasse dans la boite a musique La basse lourde tabasse dans la boite a musique La foule sourde s' amasse dans la boite a musique | |
Couplet 2 | |
Le strobo' nous examine depuis maintenant quelques heures, a l' inte rieur de cette boite a musique... quand happe par la me canique des te tes qui tournent, je me permets un tournant inattendu. Les lumie res ne sont plus semblables a celle de l' atmosphe re froide dans laquelle nous e tions plonge s. | |
Ici ce n' est plus la chimie du ne on mais le soleil qui bru le nos peaux. Spectateur de ce petit paradis ou les clients sont teinte s de bronze, ou dans le dos s' e coule le sable chaud tel une ente tante me lodie, luxure du temps qui ne s' e tend plus. | |
Entre les quatre murs de cet espace infini, les contours de notre petite vie sont devenus un horizon immense qu' il nous faudrait explorer. Petit cocon quotidien s' est mue en sphinx qui danse. | |
Mais face a mes pupilles la synthe se prend fin dans le silence... et c' est la basse qui recommence ! |