Suicide social

Suicide social Lyrics

Song Suicide social
Artist Orelsan
Album Le chant des sirènes
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Aujourd'hui sera le dernier jour de mon existence
La dernière fois que je ferme les yeux, mon dernier silence
J'ai longtemps cherché la solution à ces nuisances
Ça m'apparaît maintenant comme une évidence
Fini d'être une photocopie
Fini la monotonie, la lobotomie
Aujourd'hui je ne mettrai ni ma chemise ni ma cravate
Je n'irai pas jusqu'au travail, je ne donnerai pas la patte
Adieu, les employés de bureau et leur vie bien rangée
Si tu pouvais rater la tienne, ça les arrangerait
Ça prendrait un peu de place dans leurs cerveaux étriqués
Ça les conforterait dans leur médiocrité
Adieu, les représentants grassouillets
Qui boivent jamais d'eau comme s'il voulaient pas se mouiller
Les commerciaux qui sentent l'After-shave et le Cassoulet
Met de la mayonnaise sur leur mallette, ils se la boufferaient
Adieu, adieu les vieux comptables séniles
Adieu les secrétaires débiles et leurs discussions stériles
Adieu les jeunes cadres, fraîchement diplômés,
Qu'empileraient des cadavres pour arriver jusqu'au sommet
Adieu, tous ces grands PDG
Essais d'ouvrir ton parachute doré
Quand tu te fait défenestrer
Ils font leur beurre sur des salariés désespérés
Et jouent les vierges effarouchées quand ils se font séquestrer
Tout ces fils de quelqu'un, ces fils d'une pute snob
Qui partagent les 3/4 des richesses du globe
Adieu ces petits patrons, ces pauvres enbourgeoisés
Qui grattent les RTT pour payer leur vacances d'été
Adieu les ouvriers, ces produits périmés
C'est la loi du marché mon pot', tu est bon qu'à te faire virer
Ça t'empêchera d'engraisser ta gamine affreuse
Qui se fera sautée par un pompier, qui va finir coiffeuse
Adieu, la campagne et ses familles crasseuses
Proches du porc au point d'attraper la fièvre aphteuse
Toutes ces vieilles, ces commères qui se bouffent entre elles
Ces vieux radins et leurs économies de bout de chandelle
Adieu cette France profonde, profondément stupide
Cupide, inutile, putride
C'est fini vous êtes en retard d'un siècle,
Plus personne a besoin de vos bandes d'incestes
Adieu tout ces gens prétentieux dans la capitale
Qui essaient de prouver qu'ils valent mieux que toi à chaque fois qu'ils te parlent
Tout ces connards dans la pub, dans la finance, dans la com'
Dans la télé, dans la musique, dans la mode
Ces parisiens jamais contents, médisants
Faussement cultivés, à peine intelligents
Ces répliquants qui pensent avoir le monopole du bon goût
Qui regardent la province d'un œil méprisant
Adieu les sudistes abrutis par leur soleil cuisant
Leur seul but dans la vie, c'est la troisième mi-temps
Accueillant, soi-disant,
Ils te baisent avec le sourire
Tu peut le voir à leur façon de conduire
Adieu, adieu ces nouveaux fascistes
Qui justifient leur vie de merde par des idéaux racistes
Devenu néo-nazi parce que t'avais aucune passion
Au lieu de jouer les SS, trouve une occupation
Adieu les piranhas dans leurs banlieues
Qui voient pas plus loin que le bout de leur haine au point qu'ils se bouffent entre eux
Qui deviennent agressifs une fois qu'ils sont à douze
Seul, ils lèveraient pas le petit doigt dans un combat de pouces
Adieu les jeunes moyens, les pires de tous
Ces baltringues supportent pas la moindre petite secousse
Adieu les fils de bourges, qui possèdent tout mais savent pas quoi en faire
Donne leur l'Eden, ils t'en font un Enfer
Adieu tout ces profs dépressifs
T'as raté ta propre vie, comment tu comptes élever mes fils ?
Adieu les grévistes et leur CGT
Qui passent moins de temps à chercher des solutions que des slogans pétés
Qui fouettent la défaite, du survet' au visage
Qui transforment n'importe quelle manif en fête au village
Adieu les journalistes qui font dire ce qu'ils veulent aux images
Vendraient leurs propres mères pour écouler quelques tirages
Adieu la ménagère devant son écran
Prête à gober la merde qu'on lui jette entre les dents
Qui pose pas de question tant qu'elle consomme
Qui s'étonne même plus de se faire cogner par son homme
Adieu ces associations bien pensantes
Ces dictateurs de la bonne conscience
Bien content qu'on leur fasse du tord
C'est à celui qui condamnera le plus fort
Adieu lesbiennes refoulées, surexcitées
Qui cherchent dans leur féminité une raison d'exister
Adieu ceux qui vivent à travers leur sexualité
Danser sur des chariots, c'est ça votre fierté ?
Les bisounours et leurs pouvoirs de l'arc en ciel
Qui voudraient me faire croire qu'être hétéro c'est à l'ancienne
Tellement, tellement susceptibles
Pour prouver que t'est pas homophobe, faudra bientôt que tu suce des types !
Adieu ma nation
Tout ces incapables dans les administrations
Ces rois de l'inaction
Avec leur bâtiments qui donnent envie de vomir
Qui font exprès d'ouvrir à des heures où personne peut venir
Mèèèè, tout ces moutons pathétiques
Changes une fonction dans leur logiciel, ils se mettent au chômage technique
À peu près le même Q.I. que ces saletés de flics
Qui savent pas construire une phrases en dehors de leurs sales répliques
Adieu les politiques, en parler serait perdre mon temps
Tout les système est complétement incompétent
Adieu les sectes, adieu les religieux
Ceux qui voudraient m'imposer des règles pour que je vive mieux
Adieu les poivrots qui rentrent jamais chez eux
Qui préfèrent se faire enculer par la Française Des Jeux
Adieu les banquiers véreux
Le monde leur appartient
Adieu tout les pigeons qui leur mangent dans la main
Je comprend que j'ai rien à faire ici quand je branche la Un
Adieu la France de Joséphine Ange Gardien
Adieu les hippies, leur naïveté qui ne changera rien
Adieu les SM, libertins et tout ces gens malsains
Adieu ces pseudos artistes engagés
Plein de banalités
Démagogues dans la trachée
Écouter des chanteurs me faire la morales, ça me fait chier
Essais d'écrire des bonnes paroles avant de la prêcher
Adieu les p'tits mongoles qui savent écrire qu'en abrégé
Adieu les sans papiers, les clochard, tout ces tas de déchets
Je les hais, les sportifs, les houligans dans les stades
Les citadins, les bouseux dans leur étables
Les marginaux, les gens respectables
Les chômeurs, les emplois stables
Les génies, les gens passables
De la plus grande crapule à la médaille du mérite
De la première dame au derrnier trav' du pays
Aujourd' hui sera le dernier jour de mon existence
La dernie re fois que je ferme les yeux, mon dernier silence
J' ai longtemps cherche la solution a ces nuisances
a m' appara t maintenant comme une e vidence
Fini d' tre une photocopie
Fini la monotonie, la lobotomie
Aujourd' hui je ne mettrai ni ma chemise ni ma cravate
Je n' irai pas jusqu' au travail, je ne donnerai pas la patte
Adieu, les employe s de bureau et leur vie bien range e
Si tu pouvais rater la tienne, a les arrangerait
a prendrait un peu de place dans leurs cerveaux e trique s
a les conforterait dans leur me diocrite
Adieu, les repre sentants grassouillets
Qui boivent jamais d' eau comme s' il voulaient pas se mouiller
Les commerciaux qui sentent l' Aftershave et le Cassoulet
Met de la mayonnaise sur leur mallette, ils se la boufferaient
Adieu, adieu les vieux comptables se niles
Adieu les secre taires de biles et leurs discussions ste riles
Adieu les jeunes cadres, fra chement dipl me s,
Qu' empileraient des cadavres pour arriver jusqu' au sommet
Adieu, tous ces grands PDG
Essais d' ouvrir ton parachute dore
Quand tu te fait de fenestrer
Ils font leur beurre sur des salarie s de sespe re s
Et jouent les vierges effarouche es quand ils se font se questrer
Tout ces fils de quelqu' un, ces fils d' une pute snob
Qui partagent les 3 4 des richesses du globe
Adieu ces petits patrons, ces pauvres enbourgeoise s
Qui grattent les RTT pour payer leur vacances d'e te
Adieu les ouvriers, ces produits pe rime s
C' est la loi du marche mon pot', tu est bon qu'a te faire virer
a t' emp chera d' engraisser ta gamine affreuse
Qui se fera saute e par un pompier, qui va finir coiffeuse
Adieu, la campagne et ses familles crasseuses
Proches du porc au point d' attraper la fie vre aphteuse
Toutes ces vieilles, ces comme res qui se bouffent entre elles
Ces vieux radins et leurs e conomies de bout de chandelle
Adieu cette France profonde, profonde ment stupide
Cupide, inutile, putride
C' est fini vous tes en retard d' un sie cle,
Plus personne a besoin de vos bandes d' incestes
Adieu tout ces gens pre tentieux dans la capitale
Qui essaient de prouver qu' ils valent mieux que toi a chaque fois qu' ils te parlent
Tout ces connards dans la pub, dans la finance, dans la com'
Dans la te le, dans la musique, dans la mode
Ces parisiens jamais contents, me disants
Faussement cultive s, a peine intelligents
Ces re pliquants qui pensent avoir le monopole du bon go t
Qui regardent la province d' un il me prisant
Adieu les sudistes abrutis par leur soleil cuisant
Leur seul but dans la vie, c' est la troisie me mitemps
Accueillant, soidisant,
Ils te baisent avec le sourire
Tu peut le voir a leur fa on de conduire
Adieu, adieu ces nouveaux fascistes
Qui justifient leur vie de merde par des ide aux racistes
Devenu ne onazi parce que t' avais aucune passion
Au lieu de jouer les SS, trouve une occupation
Adieu les piranhas dans leurs banlieues
Qui voient pas plus loin que le bout de leur haine au point qu' ils se bouffent entre eux
Qui deviennent agressifs une fois qu' ils sont a douze
Seul, ils le veraient pas le petit doigt dans un combat de pouces
Adieu les jeunes moyens, les pires de tous
Ces baltringues supportent pas la moindre petite secousse
Adieu les fils de bourges, qui posse dent tout mais savent pas quoi en faire
Donne leur l' Eden, ils t' en font un Enfer
Adieu tout ces profs de pressifs
T' as rate ta propre vie, comment tu comptes e lever mes fils nbsp?
Adieu les gre vistes et leur CGT
Qui passent moins de temps a chercher des solutions que des slogans pe te s
Qui fouettent la de faite, du survet' au visage
Qui transforment n' importe quelle manif en f te au village
Adieu les journalistes qui font dire ce qu' ils veulent aux images
Vendraient leurs propres me res pour e couler quelques tirages
Adieu la me nage re devant son e cran
Pr te a gober la merde qu' on lui jette entre les dents
Qui pose pas de question tant qu' elle consomme
Qui s'e tonne m me plus de se faire cogner par son homme
Adieu ces associations bien pensantes
Ces dictateurs de la bonne conscience
Bien content qu' on leur fasse du tord
C' est a celui qui condamnera le plus fort
Adieu lesbiennes refoule es, surexcite es
Qui cherchent dans leur fe minite une raison d' exister
Adieu ceux qui vivent a travers leur sexualite
Danser sur des chariots, c' est a votre fierte nbsp?
Les bisounours et leurs pouvoirs de l' arc en ciel
Qui voudraient me faire croire qu' tre he te ro c' est a l' ancienne
Tellement, tellement susceptibles
Pour prouver que t' est pas homophobe, faudra bient t que tu suce des types nbsp!
Adieu ma nation
Tout ces incapables dans les administrations
Ces rois de l' inaction
Avec leur b timents qui donnent envie de vomir
Qui font expre s d' ouvrir a des heures ou personne peut venir
Meeee, tout ces moutons pathe tiques
Changes une fonction dans leur logiciel, ils se mettent au ch mage technique
À peu pre s le m me Q. I. que ces salete s de flics
Qui savent pas construire une phrases en dehors de leurs sales re pliques
Adieu les politiques, en parler serait perdre mon temps
Tout les syste me est comple tement incompe tent
Adieu les sectes, adieu les religieux
Ceux qui voudraient m' imposer des re gles pour que je vive mieux
Adieu les poivrots qui rentrent jamais chez eux
Qui pre fe rent se faire enculer par la Fran aise Des Jeux
Adieu les banquiers ve reux
Le monde leur appartient
Adieu tout les pigeons qui leur mangent dans la main
Je comprend que j' ai rien a faire ici quand je branche la Un
Adieu la France de Jose phine Ange Gardien
Adieu les hippies, leur na vete qui ne changera rien
Adieu les SM, libertins et tout ces gens malsains
Adieu ces pseudos artistes engage s
Plein de banalite s
De magogues dans la trache e
É couter des chanteurs me faire la morales, a me fait chier
Essais d'e crire des bonnes paroles avant de la pr cher
Adieu les p' tits mongoles qui savent e crire qu' en abre ge
Adieu les sans papiers, les clochard, tout ces tas de de chets
Je les hais, les sportifs, les houligans dans les stades
Les citadins, les bouseux dans leur e tables
Les marginaux, les gens respectables
Les ch meurs, les emplois stables
Les ge nies, les gens passables
De la plus grande crapule a la me daille du me rite
De la premie re dame au derrnier trav' du pays
Aujourd' hui sera le dernier jour de mon existence
La derniè re fois que je ferme les yeux, mon dernier silence
J' ai longtemps cherché la solution à ces nuisances
a m' appara t maintenant comme une é vidence
Fini d' tre une photocopie
Fini la monotonie, la lobotomie
Aujourd' hui je ne mettrai ni ma chemise ni ma cravate
Je n' irai pas jusqu' au travail, je ne donnerai pas la patte
Adieu, les employé s de bureau et leur vie bien rangé e
Si tu pouvais rater la tienne, a les arrangerait
a prendrait un peu de place dans leurs cerveaux é triqué s
a les conforterait dans leur mé diocrité
Adieu, les repré sentants grassouillets
Qui boivent jamais d' eau comme s' il voulaient pas se mouiller
Les commerciaux qui sentent l' Aftershave et le Cassoulet
Met de la mayonnaise sur leur mallette, ils se la boufferaient
Adieu, adieu les vieux comptables sé niles
Adieu les secré taires dé biles et leurs discussions sté riles
Adieu les jeunes cadres, fra chement dipl mé s,
Qu' empileraient des cadavres pour arriver jusqu' au sommet
Adieu, tous ces grands PDG
Essais d' ouvrir ton parachute doré
Quand tu te fait dé fenestrer
Ils font leur beurre sur des salarié s dé sespé ré s
Et jouent les vierges effarouché es quand ils se font sé questrer
Tout ces fils de quelqu' un, ces fils d' une pute snob
Qui partagent les 3 4 des richesses du globe
Adieu ces petits patrons, ces pauvres enbourgeoisé s
Qui grattent les RTT pour payer leur vacances d'é té
Adieu les ouvriers, ces produits pé rimé s
C' est la loi du marché mon pot', tu est bon qu'à te faire virer
a t' emp chera d' engraisser ta gamine affreuse
Qui se fera sauté e par un pompier, qui va finir coiffeuse
Adieu, la campagne et ses familles crasseuses
Proches du porc au point d' attraper la fiè vre aphteuse
Toutes ces vieilles, ces commè res qui se bouffent entre elles
Ces vieux radins et leurs é conomies de bout de chandelle
Adieu cette France profonde, profondé ment stupide
Cupide, inutile, putride
C' est fini vous tes en retard d' un siè cle,
Plus personne a besoin de vos bandes d' incestes
Adieu tout ces gens pré tentieux dans la capitale
Qui essaient de prouver qu' ils valent mieux que toi à chaque fois qu' ils te parlent
Tout ces connards dans la pub, dans la finance, dans la com'
Dans la té lé, dans la musique, dans la mode
Ces parisiens jamais contents, mé disants
Faussement cultivé s, à peine intelligents
Ces ré pliquants qui pensent avoir le monopole du bon go t
Qui regardent la province d' un il mé prisant
Adieu les sudistes abrutis par leur soleil cuisant
Leur seul but dans la vie, c' est la troisiè me mitemps
Accueillant, soidisant,
Ils te baisent avec le sourire
Tu peut le voir à leur fa on de conduire
Adieu, adieu ces nouveaux fascistes
Qui justifient leur vie de merde par des idé aux racistes
Devenu né onazi parce que t' avais aucune passion
Au lieu de jouer les SS, trouve une occupation
Adieu les piranhas dans leurs banlieues
Qui voient pas plus loin que le bout de leur haine au point qu' ils se bouffent entre eux
Qui deviennent agressifs une fois qu' ils sont à douze
Seul, ils lè veraient pas le petit doigt dans un combat de pouces
Adieu les jeunes moyens, les pires de tous
Ces baltringues supportent pas la moindre petite secousse
Adieu les fils de bourges, qui possè dent tout mais savent pas quoi en faire
Donne leur l' Eden, ils t' en font un Enfer
Adieu tout ces profs dé pressifs
T' as raté ta propre vie, comment tu comptes é lever mes fils nbsp?
Adieu les gré vistes et leur CGT
Qui passent moins de temps à chercher des solutions que des slogans pé té s
Qui fouettent la dé faite, du survet' au visage
Qui transforment n' importe quelle manif en f te au village
Adieu les journalistes qui font dire ce qu' ils veulent aux images
Vendraient leurs propres mè res pour é couler quelques tirages
Adieu la mé nagè re devant son é cran
Pr te à gober la merde qu' on lui jette entre les dents
Qui pose pas de question tant qu' elle consomme
Qui s'é tonne m me plus de se faire cogner par son homme
Adieu ces associations bien pensantes
Ces dictateurs de la bonne conscience
Bien content qu' on leur fasse du tord
C' est à celui qui condamnera le plus fort
Adieu lesbiennes refoulé es, surexcité es
Qui cherchent dans leur fé minité une raison d' exister
Adieu ceux qui vivent à travers leur sexualité
Danser sur des chariots, c' est a votre fierté nbsp?
Les bisounours et leurs pouvoirs de l' arc en ciel
Qui voudraient me faire croire qu' tre hé té ro c' est à l' ancienne
Tellement, tellement susceptibles
Pour prouver que t' est pas homophobe, faudra bient t que tu suce des types nbsp!
Adieu ma nation
Tout ces incapables dans les administrations
Ces rois de l' inaction
Avec leur b timents qui donnent envie de vomir
Qui font exprè s d' ouvrir à des heures où personne peut venir
Mèèèè, tout ces moutons pathé tiques
Changes une fonction dans leur logiciel, ils se mettent au ch mage technique
À peu prè s le m me Q. I. que ces saleté s de flics
Qui savent pas construire une phrases en dehors de leurs sales ré pliques
Adieu les politiques, en parler serait perdre mon temps
Tout les systè me est complé tement incompé tent
Adieu les sectes, adieu les religieux
Ceux qui voudraient m' imposer des rè gles pour que je vive mieux
Adieu les poivrots qui rentrent jamais chez eux
Qui pré fè rent se faire enculer par la Fran aise Des Jeux
Adieu les banquiers vé reux
Le monde leur appartient
Adieu tout les pigeons qui leur mangent dans la main
Je comprend que j' ai rien à faire ici quand je branche la Un
Adieu la France de José phine Ange Gardien
Adieu les hippies, leur na veté qui ne changera rien
Adieu les SM, libertins et tout ces gens malsains
Adieu ces pseudos artistes engagé s
Plein de banalité s
Dé magogues dans la traché e
É couter des chanteurs me faire la morales, a me fait chier
Essais d'é crire des bonnes paroles avant de la pr cher
Adieu les p' tits mongoles qui savent é crire qu' en abré gé
Adieu les sans papiers, les clochard, tout ces tas de dé chets
Je les hais, les sportifs, les houligans dans les stades
Les citadins, les bouseux dans leur é tables
Les marginaux, les gens respectables
Les ch meurs, les emplois stables
Les gé nies, les gens passables
De la plus grande crapule à la mé daille du mé rite
De la premiè re dame au derrnier trav' du pays
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