En minuscule Lyrics

Song	En minuscule
Artist	Sorel
Album	La parenthèse sauvage
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	作词 : Sorel
	作曲 : Sorel
	Quand elle s’appuies sur ses principes cruelles
	C’est moi qui plie et qui vacille, pas elle.
	Elle qui en viendra toujours à la fin
	A m’abandonner là tout seul comme un chien.
	Elle dresse de vilaines habitudes
	De belles soirées, de rires absurdes.
	Désordonnées dans ses colères
	Poupée d’acier contre poupée de verre.
	Ses idées sages ne sont que de passage.
	Que des pensées vers de lointains naufrages.
	S’ouvrir les veines, les couper à la hache
	S’arracher là et puis tourner la page.
	Elle met un point d’exclamation sur ses passions
	Et moi en minuscule je reste en suspension.
	Pour elle l’impossible n’est de fait
	Qu’une illusion plus qu’imparfaite.
	Il n’est pas de sombres idiots
	dont la rue ne lui fasses cadeaux.
	La nature l’aura rendu belle la belle
	Et offert en tableau le ciel. Mortel !
	Pilier de bar, porcelaine et chiffon
	Je la déchire, elle adore ça au fond !
	Elle met un point d’exclamation sur ses passions
	Et moi en minuscule je reste en suspension.
	Elle me met entre parenthèse la belle sauvage
	Mets sur la grammaire de mes nerfs un point final
	Elle met un point d’exclamation sur ses passions
	Et moi en minuscule je reste en suspension.
	Elle manie la langue et l’allonge, la liste est longue
	De ceux qui pour elle sont dans l’interrogation.
	Elle me met entre parenthèse la belle sauvage
	Mets sur la grammaire de mes nerfs un point final
	Elle manie la langue et le verbe de l’abandon
	Sur moi ponctue parfois son interrogation
	Elle manie la langue et le verbe de l’abandon
	Sur moi ponctue parfois son interrogation
	Elle me met entre parenthèse
	Et se joue de moi à son aise
	Je me sens bien seul sur mon trapèze.
	Pour elle l’impossible n’est de fait
	Qu’une illusion plus qu’imparfaite.
	Il n’est pas de sombres défauts
	dont le temps ne lui fasses cadeaux.
	Elle manie la langue de l’abandon
	Et berce au creuxses bras mes tendres illusions.
	Seul me reste le gout de la passion
	Comme de sombres oraisons
	Qu’elle laisse sous perfusion.
	Elle seme tout autour d’elle la confusion
	Et moi seul comme un con
	J’envoies en l’air toutes mes questions sans réponses.

	zuo ci : Sorel
	zuo qu : Sorel
	Quand elle s' appuies sur ses principes cruelles
	C' est moi qui plie et qui vacille, pas elle.
	Elle qui en viendra toujours a la fin
	A m' abandonner la tout seul comme un chien.
	Elle dresse de vilaines habitudes
	De belles soire es, de rires absurdes.
	De sordonne es dans ses cole res
	Poupe e d' acier contre poupe e de verre.
	Ses ide es sages ne sont que de passage.
	Que des pense es vers de lointains naufrages.
	S' ouvrir les veines, les couper a la hache
	S' arracher la et puis tourner la page.
	Elle met un point d' exclamation sur ses passions
	Et moi en minuscule je reste en suspension.
	Pour elle l' impossible n' est de fait
	Qu' une illusion plus qu' imparfaite.
	Il n' est pas de sombres idiots
	dont la rue ne lui fasses cadeaux.
	La nature l' aura rendu belle la belle
	Et offert en tableau le ciel. Mortel !
	Pilier de bar, porcelaine et chiffon
	Je la de chire, elle adore a au fond !
	Elle met un point d' exclamation sur ses passions
	Et moi en minuscule je reste en suspension.
	Elle me met entre parenthe se la belle sauvage
	Mets sur la grammaire de mes nerfs un point final
	Elle met un point d' exclamation sur ses passions
	Et moi en minuscule je reste en suspension.
	Elle manie la langue et l' allonge, la liste est longue
	De ceux qui pour elle sont dans l' interrogation.
	Elle me met entre parenthe se la belle sauvage
	Mets sur la grammaire de mes nerfs un point final
	Elle manie la langue et le verbe de l' abandon
	Sur moi ponctue parfois son interrogation
	Elle manie la langue et le verbe de l' abandon
	Sur moi ponctue parfois son interrogation
	Elle me met entre parenthe se
	Et se joue de moi a son aise
	Je me sens bien seul sur mon trape ze.
	Pour elle l' impossible n' est de fait
	Qu' une illusion plus qu' imparfaite.
	Il n' est pas de sombres de fauts
	dont le temps ne lui fasses cadeaux.
	Elle manie la langue de l' abandon
	Et berce au creuxses bras mes tendres illusions.
	Seul me reste le gout de la passion
	Comme de sombres oraisons
	Qu' elle laisse sous perfusion.
	Elle seme tout autour d' elle la confusion
	Et moi seul comme un con
	J' envoies en l' air toutes mes questions sans re ponses.

	zuò cí : Sorel
	zuò qǔ : Sorel
	Quand elle s' appuies sur ses principes cruelles
	C' est moi qui plie et qui vacille, pas elle.
	Elle qui en viendra toujours à la fin
	A m' abandonner là tout seul comme un chien.
	Elle dresse de vilaines habitudes
	De belles soiré es, de rires absurdes.
	Dé sordonné es dans ses colè res
	Poupé e d' acier contre poupé e de verre.
	Ses idé es sages ne sont que de passage.
	Que des pensé es vers de lointains naufrages.
	S' ouvrir les veines, les couper à la hache
	S' arracher là et puis tourner la page.
	Elle met un point d' exclamation sur ses passions
	Et moi en minuscule je reste en suspension.
	Pour elle l' impossible n' est de fait
	Qu' une illusion plus qu' imparfaite.
	Il n' est pas de sombres idiots
	dont la rue ne lui fasses cadeaux.
	La nature l' aura rendu belle la belle
	Et offert en tableau le ciel. Mortel !
	Pilier de bar, porcelaine et chiffon
	Je la dé chire, elle adore a au fond !
	Elle met un point d' exclamation sur ses passions
	Et moi en minuscule je reste en suspension.
	Elle me met entre parenthè se la belle sauvage
	Mets sur la grammaire de mes nerfs un point final
	Elle met un point d' exclamation sur ses passions
	Et moi en minuscule je reste en suspension.
	Elle manie la langue et l' allonge, la liste est longue
	De ceux qui pour elle sont dans l' interrogation.
	Elle me met entre parenthè se la belle sauvage
	Mets sur la grammaire de mes nerfs un point final
	Elle manie la langue et le verbe de l' abandon
	Sur moi ponctue parfois son interrogation
	Elle manie la langue et le verbe de l' abandon
	Sur moi ponctue parfois son interrogation
	Elle me met entre parenthè se
	Et se joue de moi à son aise
	Je me sens bien seul sur mon trapè ze.
	Pour elle l' impossible n' est de fait
	Qu' une illusion plus qu' imparfaite.
	Il n' est pas de sombres dé fauts
	dont le temps ne lui fasses cadeaux.
	Elle manie la langue de l' abandon
	Et berce au creuxses bras mes tendres illusions.
	Seul me reste le gout de la passion
	Comme de sombres oraisons
	Qu' elle laisse sous perfusion.
	Elle seme tout autour d' elle la confusion
	Et moi seul comme un con
	J' envoies en l' air toutes mes questions sans ré ponses.

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