Song | Tous Les Bateaux S'Envolent |
Artist | Michel Sardou |
Album | Musulmanes |
(Jacques Cardona/Jean-Loup Dabadie/Michel Sardou) | |
Dans une larme d'alcool, dans une larme de toi | |
Tous les bateaux s'envolent, tous les avions se noient | |
Et sur tes jambes nues, mes mains perdues d'avance | |
Montent vers l'inconnu comme un oiseau s'élance | |
Mais dans la liqueur bleue de ton regard qui change | |
Les anges, peu à peu, aux démons se mélangent | |
Naufragé corps et âme, je le suis, je le sais | |
De la beauté des femmes on ne revient jamais | |
Dans un an, dans dix ans, à la même heure, au même endroit | |
Je m'entendrai redire, elle est belle à mourir | |
Comme si c'était la première fois | |
Les voiles des bateaux de toutes les couleurs | |
S'étalent sur les eaux, l'océan est en fleur | |
Sur ton corps endormi, mes mains perdues d'avance | |
Remontent à l'infini comme un jeu d'impatience | |
Mais dans la liqueur bleue de ton regard étrange | |
Les démons ténébreux aux amours se mélangent | |
Naufragé corps et âme, je le suis, je la sais | |
De la beauté des femmes, on ne revient jamais | |
Dans un an, dans dix ans, à la même heure, au même endroit | |
Je te laisserai choisir, je me laisserai séduire | |
Comme si c'était la première fois | |
Dans une larme d'alcool, dans une larme de toi | |
Tous les bateaux s'envolent, tous les avions se noient | |
Et sur tes jambes nues, mes mains perdues d'avance | |
Montent vers l'inconnu comme un oiseau s'élance. |
Jacques Cardona JeanLoup Dabadie Michel Sardou | |
Dans une larme d' alcool, dans une larme de toi | |
Tous les bateaux s' envolent, tous les avions se noient | |
Et sur tes jambes nues, mes mains perdues d' avance | |
Montent vers l' inconnu comme un oiseau s'é lance | |
Mais dans la liqueur bleue de ton regard qui change | |
Les anges, peu à peu, aux dé mons se mé langent | |
Naufragé corps et me, je le suis, je le sais | |
De la beauté des femmes on ne revient jamais | |
Dans un an, dans dix ans, à la m me heure, au m me endroit | |
Je m' entendrai redire, elle est belle à mourir | |
Comme si c'é tait la premiè re fois | |
Les voiles des bateaux de toutes les couleurs | |
S'é talent sur les eaux, l' océ an est en fleur | |
Sur ton corps endormi, mes mains perdues d' avance | |
Remontent à l' infini comme un jeu d' impatience | |
Mais dans la liqueur bleue de ton regard é trange | |
Les dé mons té né breux aux amours se mé langent | |
Naufragé corps et me, je le suis, je la sais | |
De la beauté des femmes, on ne revient jamais | |
Dans un an, dans dix ans, à la m me heure, au m me endroit | |
Je te laisserai choisir, je me laisserai sé duire | |
Comme si c'é tait la premiè re fois | |
Dans une larme d' alcool, dans une larme de toi | |
Tous les bateaux s' envolent, tous les avions se noient | |
Et sur tes jambes nues, mes mains perdues d' avance | |
Montent vers l' inconnu comme un oiseau s'é lance. |