Vivant seule, loin de tout, | |
Dressée sur les toits du monde, | |
Je garde toujours un oeil sur toi | |
Lorsque la nuit enserre la ville, | |
Que se meurent les espérances. | |
Au détour d'une rue j'attrapperai ta main | |
Pour te montrer les lumières bleutées | |
Et poursuivre les ombre fuyantes. | |
Au détour d'une rue j'attrapperai ta main | |
Pour ne plus la lâcher | |
Et qu'ensemble nous corrions | |
Comme des fous dans les sombres allées. |
Vivant seule, loin de tout, | |
Dresse e sur les toits du monde, | |
Je garde toujours un oeil sur toi | |
Lorsque la nuit enserre la ville, | |
Que se meurent les espe rances. | |
Au de tour d' une rue j' attrapperai ta main | |
Pour te montrer les lumie res bleute es | |
Et poursuivre les ombre fuyantes. | |
Au de tour d' une rue j' attrapperai ta main | |
Pour ne plus la l cher | |
Et qu' ensemble nous corrions | |
Comme des fous dans les sombres alle es. |
Vivant seule, loin de tout, | |
Dressé e sur les toits du monde, | |
Je garde toujours un oeil sur toi | |
Lorsque la nuit enserre la ville, | |
Que se meurent les espé rances. | |
Au dé tour d' une rue j' attrapperai ta main | |
Pour te montrer les lumiè res bleuté es | |
Et poursuivre les ombre fuyantes. | |
Au dé tour d' une rue j' attrapperai ta main | |
Pour ne plus la l cher | |
Et qu' ensemble nous corrions | |
Comme des fous dans les sombres allé es. |