Nocturne

Nocturne Lyrics

Song Nocturne
Artist Benighted
Album Benighted
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Dans l'obscurité nocturne
Et la brume épaisse du lieu où la mort se cultive
Les âmes rôdent, impérissables.
En ce lieu où je demeure, dégagé d'enveloppe charnelle
Pour un repos éternel,
Je suis mon corps et ce qui l'entoure.
Les yeux ont disparu des orbites de mon crâne
Le sang ne coule plus dans ce corps raide et pâle
Lentement les vers se nourissent de mes chairs
Déjà apparaît la lune
Des ombres se dessinent.
Dans cette atmosphère lugubre
Je devine leur regard m'observant dans le noir
Le bruit sourd du déplacement du socle du cercueil me fait frémir
Le froid enlace mon corps livide
Ils me tirent de ma sépulture
Les articulations s'étirent et cèdent, les os se brisent comme du bois mort
Mon cadavre démembré retombe dans les poussière et les cendres,
Remuant les odeurs de chairs putréfiées.
La peau s'effrite et se déchire tandis qu'ils parviennent à extirper mon cadavre de son antre
Et le place sur la pierre.
Un douloureux requiem se fait entendre,
Orchestrant l'autopsie finale.
Une lame plonge dans ma gorge et m'éventre sur toute la longueur
La vermine s'en échappe, me ronge de l'intérieur,
S'enfuit des os qui craquent.
Mes complaintes se meurent, s'égarent parmi les tombes.
Mes angoisses demeurent, déchirant la nuit sombre.
Impuissant devantles acyes de l'Innomable
Ma décomposition reprend son cours
Le temps m'engloutit, minute par minute.
Tandis que se meure mon âme déchirée,
Le soleil se lève sur ma dépouille mutilée.
Dans l' obscurite nocturne
Et la brume e paisse du lieu ou la mort se cultive
Les mes r dent, impe rissables.
En ce lieu ou je demeure, de gage d' enveloppe charnelle
Pour un repos e ternel,
Je suis mon corps et ce qui l' entoure.
Les yeux ont disparu des orbites de mon cr ne
Le sang ne coule plus dans ce corps raide et p le
Lentement les vers se nourissent de mes chairs
De ja appara t la lune
Des ombres se dessinent.
Dans cette atmosphe re lugubre
Je devine leur regard m' observant dans le noir
Le bruit sourd du de placement du socle du cercueil me fait fre mir
Le froid enlace mon corps livide
Ils me tirent de ma se pulture
Les articulations s'e tirent et ce dent, les os se brisent comme du bois mort
Mon cadavre de membre retombe dans les poussie re et les cendres,
Remuant les odeurs de chairs putre fie es.
La peau s' effrite et se de chire tandis qu' ils parviennent a extirper mon cadavre de son antre
Et le place sur la pierre.
Un douloureux requiem se fait entendre,
Orchestrant l' autopsie finale.
Une lame plonge dans ma gorge et m'e ventre sur toute la longueur
La vermine s' en e chappe, me ronge de l' inte rieur,
S' enfuit des os qui craquent.
Mes complaintes se meurent, s'e garent parmi les tombes.
Mes angoisses demeurent, de chirant la nuit sombre.
Impuissant devantles acyes de l' Innomable
Ma de composition reprend son cours
Le temps m' engloutit, minute par minute.
Tandis que se meure mon me de chire e,
Le soleil se le ve sur ma de pouille mutile e.
Dans l' obscurité nocturne
Et la brume é paisse du lieu où la mort se cultive
Les mes r dent, impé rissables.
En ce lieu où je demeure, dé gagé d' enveloppe charnelle
Pour un repos é ternel,
Je suis mon corps et ce qui l' entoure.
Les yeux ont disparu des orbites de mon cr ne
Le sang ne coule plus dans ce corps raide et p le
Lentement les vers se nourissent de mes chairs
Dé jà appara t la lune
Des ombres se dessinent.
Dans cette atmosphè re lugubre
Je devine leur regard m' observant dans le noir
Le bruit sourd du dé placement du socle du cercueil me fait fré mir
Le froid enlace mon corps livide
Ils me tirent de ma sé pulture
Les articulations s'é tirent et cè dent, les os se brisent comme du bois mort
Mon cadavre dé membré retombe dans les poussiè re et les cendres,
Remuant les odeurs de chairs putré fié es.
La peau s' effrite et se dé chire tandis qu' ils parviennent à extirper mon cadavre de son antre
Et le place sur la pierre.
Un douloureux requiem se fait entendre,
Orchestrant l' autopsie finale.
Une lame plonge dans ma gorge et m'é ventre sur toute la longueur
La vermine s' en é chappe, me ronge de l' inté rieur,
S' enfuit des os qui craquent.
Mes complaintes se meurent, s'é garent parmi les tombes.
Mes angoisses demeurent, dé chirant la nuit sombre.
Impuissant devantles acyes de l' Innomable
Ma dé composition reprend son cours
Le temps m' engloutit, minute par minute.
Tandis que se meure mon me dé chiré e,
Le soleil se lè ve sur ma dé pouille mutilé e.
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