Song | Spiritual Manslaughter |
Artist | Benighted |
Album | Identisick |
Aucun nom et la menace de ce chaos obscur | |
La terreur, l'angoisse, des mouvements convulsifs | |
Des flux électriques traversent ses viscères | |
Les blessures sur son corps | |
Bien réelles, rappelant des cicatrices de stigmates | |
Des marques qu'il garde comme le souvenir de l'infection | |
[Chorus:] | |
N'étant ni ange ni bête quand le froid l'envahit | |
Les vents glacés l'amènent dans un monde où | |
Le rêve et la réalité ne font qu'un | |
Puis les craintes cessent, aucun mal ne pouvant plus l'atteindre | |
Persuadé du pouvoir de la réincarnation | |
Insupportable aliénation au service de Dieu | |
Étendre les horizons spirituels | |
Il décrit sa présence dans chaque cellule de son enveloppe charnelle | |
Condamné à mort, ces pantins agenouillés autour de lui | |
Il nous appelle inconscients car nous refusons de croire | |
Des mots dénués de tout sens, obscènes et blasphématoires | |
[Chorus] | |
Et un jour, le vent devint plus froid encore | |
Là, ses proches, enfin, retrouvèrent sa dépouille | |
Le visage grimaçant | |
Et le corps ballant, pendu au bout d'une corde |
Aucun nom et la menace de ce chaos obscur | |
La terreur, l' angoisse, des mouvements convulsifs | |
Des flux é lectriques traversent ses viscè res | |
Les blessures sur son corps | |
Bien ré elles, rappelant des cicatrices de stigmates | |
Des marques qu' il garde comme le souvenir de l' infection | |
Chorus: | |
N'é tant ni ange ni b te quand le froid l' envahit | |
Les vents glacé s l' amè nent dans un monde où | |
Le r ve et la ré alité ne font qu' un | |
Puis les craintes cessent, aucun mal ne pouvant plus l' atteindre | |
Persuadé du pouvoir de la ré incarnation | |
Insupportable alié nation au service de Dieu | |
É tendre les horizons spirituels | |
Il dé crit sa pré sence dans chaque cellule de son enveloppe charnelle | |
Condamné à mort, ces pantins agenouillé s autour de lui | |
Il nous appelle inconscients car nous refusons de croire | |
Des mots dé nué s de tout sens, obscè nes et blasphé matoires | |
Chorus | |
Et un jour, le vent devint plus froid encore | |
Là, ses proches, enfin, retrouvè rent sa dé pouille | |
Le visage grima ant | |
Et le corps ballant, pendu au bout d' une corde |