Song | Arkansas |
Artist | MC Solaar |
Album | Cinquieme As: Fifth Ace |
作词 : J., K-Roz, M'Barali | |
À l'âge de six ans. Mon cadeau de Noël | |
Une arme en plastique réplique industrielle. | |
Il y a des guirlandes partout dans la maison. | |
Je remercie Santa Clauss, parce qu'il a été bon | |
À l'âge de sept ans. Il m'en fallait une autre. | |
Malheureusement, je l'ai trouvée à qui la faute. | |
J'étais dev'nu expert dans le tir instinctif. | |
Entendre toutes ces détonations était mon seul kif. | |
Pour moi l'avenir était au bout de mon canon | |
Mon père avait des armes et on tirait devant la maison | |
Sur des bouteilles vides comme dans les films de John Ford | |
Et comme je visais juste, j'ai eu la garde-robe | |
Un treillis camouflage et puis des bottes de pluie | |
Armes automatiques revolver et uzi | |
Fusil d'chasse, Fal, Glock | |
Un jour de bon matin, j'ai tiré sur le coq. | |
Puis dans la cour de l'école je m'embrouille avec une fille | |
Quand j'y pense aujourd'hui. C'était des broutilles | |
Pour me venger. J'prérare une opération. | |
Ouvre le garage sélectionne des munitions. | |
9 heures du matin on se place devant l'école | |
Avec mon pote John. On patiente on boit de l'alcool | |
Tapis dans les feuillages j'attends la sonnerie | |
Avec un genou à terre non c'est pas des conneries | |
Porté par l'adrénaline. J'arme la M 16 | |
Rafale de balles. J'ai eu ma première victime | |
John a l'fusil à lunette. C'est comme un jeu | |
"Tiens je te vends un feu. Tu fumes qui tu veux" | |
On est en Arkansas. Mon père dit sans cesse c'est sensas. | |
Port d'armes. Il aime les actions sans schlass. | |
Deux morts. Onze blessés CNN parlant | |
De moi Steve Carter. Enfant de huit ans. |
zuò cí : J., KRoz, M' Barali | |
À l' ge de six ans. Mon cadeau de No l | |
Une arme en plastique ré plique industrielle. | |
Il y a des guirlandes partout dans la maison. | |
Je remercie Santa Clauss, parce qu' il a é té bon | |
À l' ge de sept ans. Il m' en fallait une autre. | |
Malheureusement, je l' ai trouvé e à qui la faute. | |
J'é tais dev' nu expert dans le tir instinctif. | |
Entendre toutes ces dé tonations é tait mon seul kif. | |
Pour moi l' avenir é tait au bout de mon canon | |
Mon pè re avait des armes et on tirait devant la maison | |
Sur des bouteilles vides comme dans les films de John Ford | |
Et comme je visais juste, j' ai eu la garderobe | |
Un treillis camouflage et puis des bottes de pluie | |
Armes automatiques revolver et uzi | |
Fusil d' chasse, Fal, Glock | |
Un jour de bon matin, j' ai tiré sur le coq. | |
Puis dans la cour de l'é cole je m' embrouille avec une fille | |
Quand j' y pense aujourd' hui. C'é tait des broutilles | |
Pour me venger. J' pré rare une opé ration. | |
Ouvre le garage sé lectionne des munitions. | |
9 heures du matin on se place devant l'é cole | |
Avec mon pote John. On patiente on boit de l' alcool | |
Tapis dans les feuillages j' attends la sonnerie | |
Avec un genou à terre non c' est pas des conneries | |
Porté par l' adré naline. J' arme la M 16 | |
Rafale de balles. J' ai eu ma premiè re victime | |
John a l' fusil à lunette. C' est comme un jeu | |
" Tiens je te vends un feu. Tu fumes qui tu veux" | |
On est en Arkansas. Mon pè re dit sans cesse c' est sensas. | |
Port d' armes. Il aime les actions sans schlass. | |
Deux morts. Onze blessé s CNN parlant | |
De moi Steve Carter. Enfant de huit ans. |