celine dion-j'attendais izumi-je t'aime liangliang et j'ecoutais longtemps couler l'eau des fontaines et j'ecoutais le vent chanter infiniment vagues de quietude et de paix d'aussi loin que je me souvienne l'enfance est un immense ocean et je revais longues annees, longue indolence ou rien ne se passe mais ou rien ne s'oublie j'allais sereine et sans connaitre le moindre feu d'une absence ce n'est qu'en te croisant que j'ai su, j'ai compris j'attendais, j'attendais j'attendais ton regard pour expliquer enfin le pourquoi de ces au revoir a tout ce long chemin j'attendais, j'attendais le pays de ton corps le toucher de tes mains ma douce boussole mon nord, le sens a mes demains et j'abordais les troubles rives adolescentes les doutes, les jeux, les mauvais courants je me souviens les coups de sang des musiques et des mots de france amants d'avant y'a bien des vies qu'on nourrit d'etude ou de science destins faits d'aventures, de records ou d'argent des vies d'ecriture et de voyage ou de reve de puissance j'y pensais bien de temps en temps, en ecoutant le vent j'attendais, j'attendais j'attendais ton regard pour expliquer enfin le pourquoi de ces au revoir a tout ce long chemin j'attendais, j'attendais, j'attendais ton amour ton beau ton bel amour je l'attendais pour enfin vivre en donnant a mon tour j'attendais