Une silhouette obscure renferme la vie Berçant de lointains échos. L’éclosion n’est que cupide déjection Qui, germant, élimine l’espoir Un fiel impur recouvre cette chair d’orgueil Et c’est en perpétuelle agonie, Que l’immonde créature, nourricière D’un monde noyé dans sa propre culture Règnera sans vie, répandant le mal Dépeignant cet héritage Fait de myriades de pales nuances Car c’est ainsi qu’est fait le monde