作曲 : Souchon, Voulzy Traîner son blues Sur le boulevard Dans des cafés, néons blafards, Et voir sa gueule Dans une boule de flipper, Qui dit, qui rit, pis qui pleure. Fumer ses nuits En lunettes noires Près d'un juke-box de hasard Et voir sa vie dans un rétroviseur, Qui dit, qui rit, pis qui pleure. Mettons que moi, Cette vie-là, ces trucs-là, Ça n'serait pas tellement mon style. Mettons que moi, cette vie-là, ces trucs-là, Ça me donne envie de quitter la ville... Ou alors, faudrait que le bord de la mer Vienne chez nous passer l'hiver Avec ses plages et ses îles, L'Estérel à domicile. Parasols, sur mon amour café crème. Je mets des algues et du sel, Je couvre de sable fin Le sale métro du matin. L'amour casqué, cent quatre-vingts Sur le pavé du p'tit matin. Il y a des sanglots dans le carburateur, Qui dit, qui rit, pis qui pleure. Chercher l'amour dans des cinés, Dans les rues de banlieues paumées Et voir cette fille sur un écran couleur, Qui dit, qui rit, pis qui pleure. Mettons que moi, Cette vie-là, ces trucs-là, Ça n'serait pas tellement mon style. Mettons que moi, cette vie-là, ces trucs-là, Ça me donne envie de quitter la ville... Ou alors, faudrait que le bord de la mer Vienne chez nous passer l'hiver Avec ses plages et ses îles, L'Estérel à domicile. Parasols, sur mon amour café crème. Je mets des algues et du sel, Je couvre de sable fin Le sale métro du matin. Ou alors, faudrait que le bord de la mer Vienne chez nous passer l'hiver Avec ses plages et ses îles, L'Estérel à domicile. Parasols, sur mon amour café crème. Je mets des algues et du sel, Je couvre de sable fin Le sale métro du matin.