J'ai cent fois refait le match J'ai compté les points chacune de nos larmes Mais quand on aime on ne compte pas On ne veut juste pas perdre Mais personne ne gagne à ce jeu là On remue la poussière pour en faire des éclats de verre On peut remuer ciel et terre mais rien n'y fait et ça ne bouge pas Prisonnier de tes hanches tu m'assènes le baiser de l'ange Alors seulement je baisse ma garde Et je m'abandonne à tes bras L'histoire, l'histoire ne dit pas Comment l'on se dessine, comment l'on s'efface Comment l'on se ranime, comment l'on se noie Comment l'on se respire, comment l'on se tacle Comment l'on se déchire, comment l'on se répare Comment l'on se construit, comment l'on s'échappe L'amour ne tient qu'à un fil Il donne, il prend puis s'en va J'ai cent fois battu les cartes J'ai serré les poings, j'ai sonné l'alarme Mais quand la vie grandit en toi On veut juste renaître en croisant les doigts Tout se complique Il faut redéfinir la couleur de nos rêves Et laisser le cœur s'agrandir Pour voir ce qu'un X un Y peuvent faire Disciple de tes hanches Je pleure en soulevant ce mélange Alors seulement tu baisses ta garde et tu t'abandonnes à mes bras L'histoire, l'histoire ne dit pas Comment l'on se dessine, comment l'on s'efface Comment l'on se ranime, comment l'on se noie Comment l'on se respire, comment l'on se tacle Comment l'on se déchire, comment l'on se répare Comment l'on se construit, comment l'on s'échappe L'amour ne tient qu'à un fil Il donne, il prend puis s'en va Comment l'on se dessine, comment l'on s'efface Comment l'on se respire, comment l'on se tacle Comment l'on se construit, comment l'on s'échappe Comment l'on se respire, comment l'on se tacle L'histoire, l'histoire ne dit pas Comment l'on se dessine, comment l'on s'efface Comment l'on se ranime, comment l'on se noie Comment l'on se respire, comment l'on se tacle Comment l'on se déchire, comment l'on se répare Comment l'on se construit, comment l'on s'échappe L'amour ne tient qu'à un fil Il donne, il prend puis s'en va Comment l'on se respire, comment l'on se tacle