Jean-Jacques Goldman Aujourd’hui, on n’a plus le droit Ni d’avoir faim, ni d’avoir froid Dépassé le chacun pour soi Quand je pense à toi, je pense à moi Je te promets pas le grand soir Mais juste à manger et à boire Un peu de pain et de chaleur Dans le restos, les restos du cœur Aujourd’hui, on n’a plus le droit Ni d’avoir faim, ni d’avoir froid Dépassé le chacun pour soi Quand je pense à toi, je pense à moi Je te promets pas le grand soir Mais juste à manger et à boire Un peu de pain et de chaleur Dans le restos, les restos du cœur