PourtantTu demandais hier Mon avis sur le bonheur L'air de rien, voilque tu t'inqui鑤es La paix te ferait donc peur Je l'attise cet amour Les brindilles vol鑤ent Tu n'y vois que du feu C'est sa vie secr鑤e Pourtant ... pourtant ... pourtant Les mots sont, les mots font, les mots disent Les mots coulent, les mots roulent sur un fil Moi, je laisse ces microbes, ces missiles Aux bavards, aux po鑤es si possible Oh ... comme je t'aime quand tu t'expliques C'est dr鬺e mais ... J'ai rangmes modes et les recettes Incendila bo顃e mon c渦r De ce petit sacrifice me reste Un vertige, une chaleur Je l'attise cet amour Les brindilles vol鑤ent Tu n'y vois que du feu C'est sa vie secr鑤e Pourtant ... pourtant ... pourtant Tu sais, tu me demandais hier Ma vision du bonheur Eh bien, chaque jour elle est plus nette Il ne nous fera plus peur Je l'attise cet amour Les brindilles vol鑤ent Tu n'y vois que du feu C'est sa vie secr鑤e Pourtant ... pourtant ... pourtant Paroles de F. MonetMusique de Matthieu Ch閐id