| Song | Dogma's Fall |
| Artist | Furia |
| Album | Kheros |
| Après cette matinée mouvementée, Morgan décida qu'une bonne douche le laverait sûrement de ces événements, et par là même, le relaxerait certainement. Immobile devant son miroir il revit les images de ses songes, tout ce sang, cette femme, ces silhouettes, que pouvait vouloir dire tout cela ? | |
| Sortant de ses rêveries, il eut un sursaut en s'apercevant que le miroir ne le reflétait plus mais désormais il y voyait le visage de Marius. Morgan resta figé, bouche bée devant cette ce phénomène. Son sang se glaça quand une voix se fit entendre : | |
| - Il est temps que tu acceptes, défende et propage le royaume que tes ancêtres ont construit. A toi de montrer ta fidélité envers tes aînés. | |
| Morgan couru hors de la salle de bain, et dans sa chambre se retrouva face à Marius. Il était là, debout, le visage maculé de sang, les bras levés au ciel. | |
| - Le sang des traîtres doit couler ! | |
| Morgan se surprit à lui répondre : | |
| - Vous divaguez, je veux me réveiller, retrouver ma vie où les jours et les nuits, où chaque instants se ressemblent mais que je peux contrôler... Pourquoi mon existence me serait elle difficile à assumer ? | |
| - Donner un sens aux crimes que tu as commis, donner un nom à notre pire ennemi. Rejoins nos rangs, toi seul peux nous venger, ceci est ta destinée, tu ne peux refuser. Voir agoniser tes proies deviner leur peur, les voir implorer ta grâce... | |
| - Des actes que je méprise ! | |
| - Cesse de te sous-estimer, ces pulsions sont naturelles, les enfouir en toi ne facilitera pas ton combat, dit Marius d'une voix calme. | |
| - Je n'envisage pas le combat, je n'ai pas d'ennemi, rien en moi ne me pousse à agir si odieusement... Morgan était maintenant assis sur son lit la tête entre ses mains. Comment trouver ce rival, que je dois affronter, une parenté que je ne peux imaginer... Sur ces mots Morgan releva la tête, Marius avait disparu. | |
| Morgan, seul, s'étala de tout son long sur le matelas. Il se laissa aller, des larmes coulaient sur ses joues. |
| Aprè s cette matiné e mouvementé e, Morgan dé cida qu' une bonne douche le laverait s rement de ces é vé nements, et par là m me, le relaxerait certainement. Immobile devant son miroir il revit les images de ses songes, tout ce sang, cette femme, ces silhouettes, que pouvait vouloir dire tout cela nbsp? | |
| Sortant de ses r veries, il eut un sursaut en s' apercevant que le miroir ne le reflé tait plus mais dé sormais il y voyait le visage de Marius. Morgan resta figé, bouche bé e devant cette ce phé nomè ne. Son sang se gla a quand une voix se fit entendre nbsp: | |
| Il est temps que tu acceptes, dé fende et propage le royaume que tes anc tres ont construit. A toi de montrer ta fidé lité envers tes a né s. | |
| Morgan couru hors de la salle de bain, et dans sa chambre se retrouva face à Marius. Il é tait là, debout, le visage maculé de sang, les bras levé s au ciel. | |
| Le sang des tra tres doit couler nbsp! | |
| Morgan se surprit à lui ré pondre nbsp: | |
| Vous divaguez, je veux me ré veiller, retrouver ma vie où les jours et les nuits, où chaque instants se ressemblent mais que je peux contr ler... Pourquoi mon existence me serait elle difficile à assumer nbsp? | |
| Donner un sens aux crimes que tu as commis, donner un nom à notre pire ennemi. Rejoins nos rangs, toi seul peux nous venger, ceci est ta destiné e, tu ne peux refuser. Voir agoniser tes proies deviner leur peur, les voir implorer ta gr ce... | |
| Des actes que je mé prise nbsp! | |
| Cesse de te sousestimer, ces pulsions sont naturelles, les enfouir en toi ne facilitera pas ton combat, dit Marius d' une voix calme. | |
| Je n' envisage pas le combat, je n' ai pas d' ennemi, rien en moi ne me pousse à agir si odieusement... Morgan é tait maintenant assis sur son lit la t te entre ses mains. Comment trouver ce rival, que je dois affronter, une parenté que je ne peux imaginer... Sur ces mots Morgan releva la t te, Marius avait disparu. | |
| Morgan, seul, s'é tala de tout son long sur le matelas. Il se laissa aller, des larmes coulaient sur ses joues. |