Elle se prélasse quelque part Quand ses dragons impériaux Crachent, du heurtoir Le feu aux kimonos Et lèvres entrebâillées Sur quelques vagues mers déchaînées Lance à mes vivats La muerte en baisers Puerta del Angel, Puerta del Angel Eres la luz de cada dia para mi alma Puerta del Angel, Puerta del Angel Novia de la muerte, boca abrasadora Polichinelle je vogue en secret Prendre le maquis par ses flancs Dérobés À me perdre où se brisent les courants Si tu avances quand je recule, comment Comment veux-tu que, jetant l’ancre Au creux de ma bouche N’y montent pas les eaux farouches ? Puerta del Angel, Puerta del Angel Eres la luz de cada dia para mi alma Puerta del Angel, Puerta del Angel Novia de la muerte, boca abrasadora Abrasadora Abrasadora Les quat’cents coups que l’on y toque Ne sont ni de boutoir, ni d’estoc Encore moins de crosse Mais de gueule, genre Indignados L’instant d’après, Dieu nous baise Laissant le monde s’éventrer À la japonaise T’entraves ? Moi non plus. Malaise Puerta del Angel, Puerta del Angel Eres la luz de cada dia para mi alma Puerta del Angel, Puerta del Angel Novia de la muerte, boca abrasadora Elle se prélasse quelque part Narquoise aux franchises des miroirs