Attendu - Attendu Que - Difficile De Juger

Song Attendu - Attendu Que - Difficile De Juger
Artist Bernard Lavilliers
Album Samedi Soir A Beyrouth

Lyrics

作曲 : Lavilliers
Attendu que le monde est fabricant de boue
Que les genoux de l'homme sont noirs dès qu'il tombe
Ou qu'il regarde Dieu toujours propre et debout
Et que Dieu l'a voulue cette boue sur le monde
Que même le soleil est fier d'avoir des taches
Attendu que le ciel cultive ses typhons
Qu'il n'y a plus de bonnes et mauvaises saisons
Qu'on secoue les volcans endormis pour qu'ils crachent
{Refrain:}
Attendu la mort rapide, sans contrat,
Nous offrant la vitesse et nos vies transparentes
Allons-y, le vent, le vide, l'au-delà
Pour rejoindre à long terme un néant qui nous hante
Attendu qu'une guerre ou deux suffisent mal
A étancher la soif que nous avons de haine
Que notre sang se donne à tout monstre légal
Que nous sommes esclaves, amoureux de nos chaînes
Attendu que pour rien mes amis sont tombés
Qu'on a prêté serment sur des villes détruites
Que le nouveau béton est déjà lézardé
Que déjà le malheur court à notre poursuite
{au Refrain}
Mais attendu aussi que je tiens à mes rêves
A ma dernière peau, c'est trop tard pour la mue
A mon dernier amour, trop tard pour la relève
A mon dernier poème, à mon dernier verre bu
Attendu tout cela, attendu rien du tout
Ne sachant si je suis le juge ou le coupable
Je finirai aussi par tomber dans la boue
Pour soigner, par le mal, le mal inévitable

Pinyin

zuò qǔ : Lavilliers
Attendu que le monde est fabricant de boue
Que les genoux de l' homme sont noirs dè s qu' il tombe
Ou qu' il regarde Dieu toujours propre et debout
Et que Dieu l' a voulue cette boue sur le monde
Que m me le soleil est fier d' avoir des taches
Attendu que le ciel cultive ses typhons
Qu' il n' y a plus de bonnes et mauvaises saisons
Qu' on secoue les volcans endormis pour qu' ils crachent
Refrain:
Attendu la mort rapide, sans contrat,
Nous offrant la vitesse et nos vies transparentes
Allonsy, le vent, le vide, l' audelà
Pour rejoindre à long terme un né ant qui nous hante
Attendu qu' une guerre ou deux suffisent mal
A é tancher la soif que nous avons de haine
Que notre sang se donne à tout monstre lé gal
Que nous sommes esclaves, amoureux de nos cha nes
Attendu que pour rien mes amis sont tombé s
Qu' on a pr té serment sur des villes dé truites
Que le nouveau bé ton est dé jà lé zardé
Que dé jà le malheur court à notre poursuite
au Refrain
Mais attendu aussi que je tiens à mes r ves
A ma derniè re peau, c' est trop tard pour la mue
A mon dernier amour, trop tard pour la relè ve
A mon dernier poè me, à mon dernier verre bu
Attendu tout cela, attendu rien du tout
Ne sachant si je suis le juge ou le coupable
Je finirai aussi par tomber dans la boue
Pour soigner, par le mal, le mal iné vitable