[01.34.900]invitant la chaude brise marine [05.30.500]Entendre jaillir des profondeurs leur complainte ensorcelée. [05.36.500]Elles m'appelleraient de leur royaume [05.44.000]de nacre et d'écailles aigue marine [05.52.000]pour m'emmener loin des miens, [06.00.000]d'un monde qui m'est étranger. [06.07.500]Leur tenant la main, lentement, [06.15.500]je voudrais sombrer dans de eaux [06.22.000]noires m'accueillant silencieusement. [06.30.000]Dire adieu aux lueurs du matin, [06.36.000]laisser les courants froids purifier mes pensées, [06.45.000]statufier mes chairs, pour trouver [06.53.000]le sommeil tout au fond de l'océan. [01:00.000]La lumière de juillet s'eteint [01:05.000]sur les grèves et songeur, [01:09.000]je laisse mes pensées se [01:12.100]perdre á l'horizon flamboyant. [01:19.000]La rumeur des vagues m'apaise, [01:29.500]je profite de cet instant précieux, [01:40.000]á raviver me sens alanguis. [01:44.500]Hanté par le mirage des jours [01:48.500]heureux j'attends que naissent [01:55.000]au large les échos de la nuit. [02:00.000]Mes pensées se noient à l'horizon. [02:15.000]Mes pensées se noient à l'horizon. [03:02.500]Les heures fielnt, la mer soupire [03:14.900]sous des astres lointains déposés [03:30.000]en une pincée d'or tremblante sur les houles. [05:00.000]Elle ouvre sa danse hypnotique, [05:07.000]et absorbe mon regard décoloré. [05:14.000]Telle une âme en suspension, [05:22.000]je voudrais sans crainte disparaître sous le flots;