作词 : Doz1jee 作曲 : Doz1jee 4 éléments Un premier élément qu'est l'air on n'y prête plus attention et pourtant il est le premier facteur de vie pour nous autre de chair On a empoisonné la serre et on vit sans s'inquiéter En oubliant simplement que même inspirer a un prix... Comment s'affranchir du gaz, qui irrigue notre cerveau reptilien nous ne semblons plus conscient qu'une vessie de babouin de l'importance que revêt le simple fait de respirer a croire qu'on s'imagine ne pas avoir coupé le cordon... Et par chaque orifice destiné a irriguer nos poumons, On subit l'injection de ces produits nauséabonds Que reste t'il de l'air quand la cime de la montage fière A pour voisine la tour de leurs industries mortifères Fièrement vissées a la terre le second élément vital par ou se déversent vomissures en injection létale se débattant à grands renforts de secousses telluriques Patrimoine non renouvelable qu'on rase jour après jour pour faire du fric. La terre se meurt de ces chauds froids se fissure comme une noix l'océan gronde et les surfaces arables sont arides à la fois comment s'étonner quand on pompe le liquide le gaz et le solide naturel ou qu'on fait leurs substituts polluant pour des desseins industrielles Détraquage massif qu’on impose a la planète depuis 100 ans, Que les détracteurs du progrès s’inquiète du revers de bâton dans les dents, Qu’a trop vouloir en faire ils s’imaginent tout maitriser Pour se faire de l'argent et profit tirer sans conscience et sans regrets ___________ Que reste t’il des 4 éléments dans ce décor dénaturé Que reste t’il de pur, a part ce feu ardent qui dévore les forêts Une société qui a cru en des ressources intarissables Un ramassis d’humains tarés par une soif de pouvoir incontrôlables De quoi De confort, de progrès, d’immortalité, de plaisirs illusoires de désirs auto perfusés de besoins qu’on se crée parce que consommer c’est se sentir exister de gaspillage de bouffe de pognon jeté par les f’nêtres de pouvoir d’autorité de moral usé d'immobilité de morts sous couvert de Dieu pour justifier notre vanité de forets entières comptée en kilo octets de scission de l'atome au prix de notre intégrité 4 éléments dispersés par le vent de l'humanité ____________________________ On jette au feu ardent nos espoirs de faire face au temps on se consume lentement comme l'encens importé d'orient en point cardinaux éparpillés comme les cendres au vent du large on se laisse peu de marge pour bruler le temps qu'il nous reste en marge et nos brulures en cloques se muent et enflent sous le derme comme l' œdème bouillonnant issu d'un foyer infectieux on peut crier au feu, en pyromanes éclairés on se tait on s'improvise pas pompier sans un esprit ignifugé on a tellement pollué l'eau et détruit les glaciers l'arctique se fond Rejoint nos océans radioactifs qu'on laisse avec passivité Contaminé par notre trop plein de rentabilité question Comment peut-on utiliser une énergie qu'on n'sait pas recycler On se donne bien le temps d'étudier le problème trop préoccupé par la rentabilité de l'outils a court terme Monsanto tard que jamais l'homme bionique rempli d'antibio dans ses germes ne sera bientôt qu'un virus de plus a combattre pour l'écosystème le jour ou il pleuvra du chlore sur nos contrées désertiques la nature se chargera elle même d'expulser le parasite ils nous tous ces arriérés barbus qui vivent dans les bois et ces écolos bobo qui tweetent a gogo pour gagner des voix On y va vers ce retour en arrière faute de solution efficace c'est écrit noir sur blanc en toutes les langues a l’entrée a de l’impasse et passe le temps les abus s'accumulent et on refuse de voir qd l'humain devra passer à la caisse au pied du mur de son histoire ________________________ Que reste-t-il des 4 éléments dans ce décor Que reste t’il de pur, a part ce feu ardent qui dévore Une société qui a cru en des ressources intarissables Un ramassis d’humains tarés par une soif immaîtrisable De quoi De confort, de progrès, d’immortalité, De plaisirs illusoires de désirs auto perfusés De besoins qu’on se crée parce que consommer c’est être ???? De gaspillage de bouffe de pognon jeté par les f’nêtres De pouvoir d’autorité de moral usé d'immobilité de morts sous couvert de Dieu pour justifier notre vanité de forets entières comptée en kilo octets de sission de l'atome au prix de notre intégrité 4 éléments dispersés par le vent de l'humanité